Les BOBOS veulent RECRUTER un TUEUR À GAGES
SuppriméAyaaaaao : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/entre-grande-delinquance-et-trafic-de-drogue-nantes-dans-la-spirale-de-la-violence-20220902
Extraits choisis :
- Ils parlent fort, dans une langue à eux, qui mélange le wolof et le français, éclatant soudain dans un rire bruyant et forcé.
«Parfois, je les vois compter leur énorme liasse de billets. Un paquet de 5 centimètres d’épaisseur», raconte un homme dans les étages, qui a chaussé ses jumelles et envoyé quelques clichés à la maire Johanna Rolland, sans recevoir de réponse.
Dans la cage d’escalier, certains voisins ont trouvé des excréments «qui n’étaient pas d’animaux» et, souvent, des sacs kraft jonchent le sol avec leur canette vide et les restes de sandwichs qu’ils se font livrer sur leur point de deal.
«C’était un règlement de compte entre bandes. On s’est dit, chouette, ils vont s’entretuer. Mais non, rien. Ils se sont contentés de se tirer dans les mollets», conclut-elle avec dépit.
- Ce jour-là, rapporte Ouest-France, une quarantaine d’étuis de calibre 7,62 et 9 mm ont été retrouvés au sol. «Je sais qu’une cagnotte a été ouverte par un résident en face. Il veut récolter assez d’argent pour passer un contrat», explique-t-elle posément. «Si on en tuait trois ou quatre d’un coup, les dealers quitteraient notre quartier. Parce que la mairie et la police ne font rien, faute de moyens ; voilà où on en arrive. »
- Un jour, la police a trouvé leur cachette. Pour nous punir, ils ont foncé en scooter sur la porte cochère. La caméra de surveillance qu’on a installée, et qu’ils ont détruite après, a même montré une fille se faisant bestialement sodomiser sur ordre de l’un d’eux dans le local à poubelles.
Si même les bobos s'y mettent, on va s'en sortir
https://youtu.be/2_n3jj8rQEQ
Le 25 septembre 2022 à 15:49:42 :
Ayaaaaao : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/entre-grande-delinquance-et-trafic-de-drogue-nantes-dans-la-spirale-de-la-violence-20220902Extraits choisis :
- Ils parlent fort, dans une langue à eux, qui mélange le wolof et le français, éclatant soudain dans un rire bruyant et forcé.
«Parfois, je les vois compter leur énorme liasse de billets. Un paquet de 5 centimètres d’épaisseur», raconte un homme dans les étages, qui a chaussé ses jumelles et envoyé quelques clichés à la maire Johanna Rolland, sans recevoir de réponse.
Dans la cage d’escalier, certains voisins ont trouvé des excréments «qui n’étaient pas d’animaux» et, souvent, des sacs kraft jonchent le sol avec leur canette vide et les restes de sandwichs qu’ils se font livrer sur leur point de deal.
«C’était un règlement de compte entre bandes. On s’est dit, chouette, ils vont s’entretuer. Mais non, rien. Ils se sont contentés de se tirer dans les mollets», conclut-elle avec dépit.
- Ce jour-là, rapporte Ouest-France, une quarantaine d’étuis de calibre 7,62 et 9 mm ont été retrouvés au sol. «Je sais qu’une cagnotte a été ouverte par un résident en face. Il veut récolter assez d’argent pour passer un contrat», explique-t-elle posément. «Si on en tuait trois ou quatre d’un coup, les dealers quitteraient notre quartier. Parce que la mairie et la police ne font rien, faute de moyens ; voilà où on en arrive. »
- Un jour, la police a trouvé leur cachette. Pour nous punir, ils ont foncé en scooter sur la porte cochère. La caméra de surveillance qu’on a installée, et qu’ils ont détruite après, a même montré une fille se faisant bestialement sodomiser sur ordre de l’un d’eux dans le local à poubelles.
Le 25 septembre 2022 à 15:56:37 :
Le 25 septembre 2022 à 15:49:42 :
Ayaaaaao : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/entre-grande-delinquance-et-trafic-de-drogue-nantes-dans-la-spirale-de-la-violence-20220902Extraits choisis :
- Ils parlent fort, dans une langue à eux, qui mélange le wolof et le français, éclatant soudain dans un rire bruyant et forcé.
«Parfois, je les vois compter leur énorme liasse de billets. Un paquet de 5 centimètres d’épaisseur», raconte un homme dans les étages, qui a chaussé ses jumelles et envoyé quelques clichés à la maire Johanna Rolland, sans recevoir de réponse.
Dans la cage d’escalier, certains voisins ont trouvé des excréments «qui n’étaient pas d’animaux» et, souvent, des sacs kraft jonchent le sol avec leur canette vide et les restes de sandwichs qu’ils se font livrer sur leur point de deal.
«C’était un règlement de compte entre bandes. On s’est dit, chouette, ils vont s’entretuer. Mais non, rien. Ils se sont contentés de se tirer dans les mollets», conclut-elle avec dépit.
- Ce jour-là, rapporte Ouest-France, une quarantaine d’étuis de calibre 7,62 et 9 mm ont été retrouvés au sol. «Je sais qu’une cagnotte a été ouverte par un résident en face. Il veut récolter assez d’argent pour passer un contrat», explique-t-elle posément. «Si on en tuait trois ou quatre d’un coup, les dealers quitteraient notre quartier. Parce que la mairie et la police ne font rien, faute de moyens ; voilà où on en arrive. »
- Un jour, la police a trouvé leur cachette. Pour nous punir, ils ont foncé en scooter sur la porte cochère. La caméra de surveillance qu’on a installée, et qu’ils ont détruite après, a même montré une fille se faisant bestialement sodomiser sur ordre de l’un d’eux dans le local à poubelles.
L'état du pays
+ les gauchistes qui parlent de recruter des tueurs à gages mais refusent de voter pour quelqu'un qui veut une politique pénale forte
C'est lunaire.
Le 25 septembre 2022 à 15:57:00 :
Le 25 septembre 2022 à 15:56:37 :
Le 25 septembre 2022 à 15:49:42 :
Ayaaaaao : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/entre-grande-delinquance-et-trafic-de-drogue-nantes-dans-la-spirale-de-la-violence-20220902Extraits choisis :
- Ils parlent fort, dans une langue à eux, qui mélange le wolof et le français, éclatant soudain dans un rire bruyant et forcé.
«Parfois, je les vois compter leur énorme liasse de billets. Un paquet de 5 centimètres d’épaisseur», raconte un homme dans les étages, qui a chaussé ses jumelles et envoyé quelques clichés à la maire Johanna Rolland, sans recevoir de réponse.
Dans la cage d’escalier, certains voisins ont trouvé des excréments «qui n’étaient pas d’animaux» et, souvent, des sacs kraft jonchent le sol avec leur canette vide et les restes de sandwichs qu’ils se font livrer sur leur point de deal.
«C’était un règlement de compte entre bandes. On s’est dit, chouette, ils vont s’entretuer. Mais non, rien. Ils se sont contentés de se tirer dans les mollets», conclut-elle avec dépit.
- Ce jour-là, rapporte Ouest-France, une quarantaine d’étuis de calibre 7,62 et 9 mm ont été retrouvés au sol. «Je sais qu’une cagnotte a été ouverte par un résident en face. Il veut récolter assez d’argent pour passer un contrat», explique-t-elle posément. «Si on en tuait trois ou quatre d’un coup, les dealers quitteraient notre quartier. Parce que la mairie et la police ne font rien, faute de moyens ; voilà où on en arrive. »
- Un jour, la police a trouvé leur cachette. Pour nous punir, ils ont foncé en scooter sur la porte cochère. La caméra de surveillance qu’on a installée, et qu’ils ont détruite après, a même montré une fille se faisant bestialement sodomiser sur ordre de l’un d’eux dans le local à poubelles.
Données du topic
- Auteur
- Rotare2
- Date de création
- 25 septembre 2022 à 15:49:42
- Date de suppression
- 25 septembre 2022 à 16:27:00
- Supprimé par
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