Le poulet UKRAINIEN inonde le marché FR
Le 22 septembre 2022 à 04:51:07 :
Le 22 septembre 2022 à 04:47:53 :
Sans oublier que le 90% des entreprises en ukraine de l'ouest ca appartient à des nonames ou des startup comme...Biden
Gates
Mosanto
PfizerBon appetit
Miam des poulets OGM de chez Monsanto, nourris aux bons grains OGM de chez Monsanto aussi, piqués au Pfizer
Si c'est pas délicieux ça miam
3 doses sans payer. La vaccination à prix malin
Le 22 septembre 2022 à 04:52:24 :
Quand la guerre sera finie.
Ils vont nous inciter à consommer ukrainien pour relancer leur économie.
Par solidarité.
Z’etes pas prêt.
Vous avez choisi du poulet francais ? Ok le chof anti nazi, en prison
Le 22 septembre 2022 à 04:38:08 JimmySavileAYA a écrit :
"Le poulet ukrainien inonde le marché français : les volaillers tricolores tirent la sonnette d’alarme" https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/le-poulet-ukrainien-inonde-le-marche-francais-les-volaillers-tricolores-tirent-la-sonnette-d-alarme-932897.html
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https://www.pressreader.com/france/la-tribune-france/20220917/282106345492328
En gros, c'est les merdes dans les boites de conserves dont il est question. "Poulet standard", cette façon délicate de décrire que ce qu'avale 90% de la population, c'est de la chiasse. C'est le Label Rouge qui devrait être un standard tout court partout. Ces saloperies ukrainiennes, jamais j'achète ça. Si ça sort pas d'une ferme française, ma viande, c'est niet.
Le 22 septembre 2022 à 05:03:43 :
Le 22 septembre 2022 à 04:38:08 JimmySavileAYA a écrit :
"Le poulet ukrainien inonde le marché français : les volaillers tricolores tirent la sonnette d’alarme" https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/le-poulet-ukrainien-inonde-le-marche-francais-les-volaillers-tricolores-tirent-la-sonnette-d-alarme-932897.html
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Le 22 septembre 2022 à 05:08:28 JimmySavileAYA a écrit :
Le 22 septembre 2022 à 05:03:43 :
Le 22 septembre 2022 à 04:38:08 JimmySavileAYA a écrit :
"Le poulet ukrainien inonde le marché français : les volaillers tricolores tirent la sonnette d’alarme" https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/le-poulet-ukrainien-inonde-le-marche-francais-les-volaillers-tricolores-tirent-la-sonnette-d-alarme-932897.html
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Le poulet ukrainien inonde le marché français : les volaillers tricolores tirent la sonnette d’alarme
Au premier semestre 2022, les importations en France de poulet ukrainien ont augmenté de 122%, en raison d'une réorientation des flux internationaux. Elles risquent de croître encore plus depuis la suppression par l'Union européenne, en juin, des droits de douane appliqués à l'Ukraine, en menaçant ainsi l'équilibre d'une filière française déjà fragile. Explications.
Giulietta Gamberini
Giulietta Gamberini
16 Sept 2022, 18:43
Le filet de poulet ukrainien est deux fois moins cher que celui standard français, et il coûte 4 à 5 fois moins qu'un filet label rouge voire 7 fois moins qu'un filet bio, calcule le directeur de l'Association nationale interprofessionnelle de la volaille de chair, Yann Nédéléc.
"Le filet de poulet ukrainien est deux fois moins cher que celui standard français, et il coûte 4 à 5 fois moins qu'un filet label rouge voire 7 fois moins qu'un filet bio", calcule le directeur de l'Association nationale interprofessionnelle de la volaille de chair, Yann Nédéléc. (Crédits : © Luc Gnago / Reuters)
Le soutien de l'Union européenne à l'économie ukrainienne risque de pénaliser la filière de la volaille de chair française. C'est le cri d'alerte lancé par son association interprofessionnelle, l'Anvol, qui estime même menacée la souveraineté alimentaire française.
Pendant les six premiers mois de 2022, les importations en France de poulets provenant directement d'Ukraine ont en effet crû de 122% par rapport à la même période de l'année précédente, a calculé l'association. Et ce, sans compter le poulet produit en Ukraine mais qui, étant découpé dans l'un des pays de l'UE, est importé en France comme européen, met en garde le vice-président de la Fédération des industries avicoles (Fia), Gilles Huttepain. En cause, un probable report vers les pays européens, pouvant être livrés par camion, des volumes habituellement destinés par l'Ukraine à des pays du Moyen-Orient, en raison des blocages du trafic maritime dus à la guerre, selon le directeur de l'Anvol, Yann Nédélec.
Or, la situation risque encore de s'aggraver, puisque depuis le 24 juin l'Union européenne a décidé de supprimer pendant un an les droits de douane et le quota limitant auparavant les importations ukrainiennes. Un « piège » qui profite de surcroît à une seule entreprise, à l'origine de 90% des exportations des produits avicoles ukrainiens : le groupe MHP, dénonce l'Anvol.
Une hausse de la demande portée par le poulet standard
La menace ukrainienne est d'autant plus prise au sérieux par la filière avicole française que, malgré une augmentation constante de la demande interne de volaille, elle est depuis longtemps fragilisée par une inarrêtable augmentation des importations. Elles représentent désormais 49% du poulet consommé en France, contre 25% au début des années 2000. Et après une dizaine d'années de stabilisation, la tendance est repartie à la hausse depuis 2020, lorsque le taux d'importation était de 41%. Le premier semestre 2022 a vu aussi les importations de la Pologne et de la Belgique croître de plus de 20%, et celles directes du Brésil de 181%.
« Le paradoxe est que la croissance annuelle de la demande française de volaille -de 3,6% en moyenne pendant les dix dernières années- est surtout portée par le poulet standard, alors que la France est le pays européen qui compte le plus haut pourcentage (18%) de poulets élevés en plein air (bio et label rouge) », note Yann Nédélec.
Un écart entre l'offre et la demande aggravé par l'inflation, qui oriente vers les produits moins chers les achats non seulement des ménages, mais aussi de la restauration collective, en ouvrant ainsi encore davantage la porte aux importations, explique le directeur général de l'Anvol.
Des modèles de production radicalement différents
Les prix de la viande de volaille importée sont en effet bien inférieurs à ceux de la volaille française.
« Le filet de poulet ukrainien est deux fois moins cher que celui standard français, et il coûte 4 à 5 fois moins qu'un filet label rouge voire 7 fois moins qu'un filet bio », calcule Yann Nédéléc.
L'écart est dû aux modèles de production : alors qu'une exploitation française compte en moyenne 40.000 volailles, une exploitation ukrainienne, thaïlandaise ou brésilienne en élève plutôt 2 millions, selon l'Anvol. Et les écarts de prix entre modes de production plus ou moins industriels se creusent avec l'augmentation des coûts de production, note Yann Nédéléc.
Or, depuis un an, la hausse de ces coûts est vertigineuse. En France, entre août 2021 et août 2022, les prix de l'alimentation des animaux (nourris essentiellement aux céréales et au soja), qui représentent environ des coûts de production, ont augmenté de plus de 80%, selon l'interprofession. Entre le deuxième trimestre 2020 et le deuxième trimestre 2022, le coût de l'énergie a crû de 30%. Globalement, sur la même période, les coûts de production ont ainsi augmenté de 45-50%. Et la crise énergétique comme l'inflation sont loin de s'arrêter...
Une hausse inévitable des prix
La capacité de la filière française à contrer les importations est de surcroît diminuée par une baisse de la production de 10% prévue en 2022 en raison de la grippe aviaire qui a frappé l'Hexagone à partir de fin 2021. Selon le type de viande, ses effets pourront se faire sentir jusqu'au printemps 2023, avec un impact sur le chiffre d'affaires global de 500 millions d'euros.
L'interprofession calcule donc une hausse inévitable des prix de la viande à la sortie de l'abattoir de 5 à 10% en 2022. Elle parie que le modèle des relations entre producteurs et transformateurs qui régit la filière, fondé sur la contractualisation, assurera la répercussion de cette augmentation en aval.
« Jusqu'à présent, grâce à un travail collectif sur les indicateurs des coûts de production et à leur indexation, leur hausse a été prise en compte par les metteurs sur le marché, grossistes et distributeurs », note le président de l'Anvol, Jean Michel Schaeffer.
Il rappelle également que, malgré les augmentations, la volaille restera la viande la plus accessible pour les consommateurs. L'association met néanmoins en garde contre les risques liés à tout choix de rupture : si les opérateurs devaient décider de se tourner encore davantage vers les importations, les conséquences sur la filière, déjà « fragile », et sur la souveraineté alimentaire française seraient « dramatiques ». Des arrêts de la production ne pourraient alors pas être exclus.
Données du topic
- Auteur
- JimmySavileAYA
- Date de création
- 22 septembre 2022 à 04:38:08
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