Si gentille est la chose à être. Alors je pense être gentille plus que je n'agis dans la gentillesse. Or cet agissement est purement passif car je le pense. Il me faut un acte pour matérialiser cette gentillesse et me libérer de cette pensée, ainsi avoir les louanges. Or l'acte n'est pas relié à la pensée. Car l'acte est le fruit d'un monde existant avant notre venue, avant nous, avant notre pensée pour cet acte.
Alors nous pensons pour espérer ? Espérer être gentille ? Espérer pouvoir appliquer la gentillesse ? Si nous espérons cela nous espérons aussi qu'il arrive malheur pour faire la gentillesse.
Alors ce qu'il faut c'est comprendre que le monde existe avec moi. Ainsi faire parceque l'univers fait, être libre. Contre ne rien faire pour espérer.
Alors le monde devient un monde présent, ou le beau est recherché pour sa pure beauté. Ou le malheur appartient à l'univers.
Parce que si j'espère c'est que je ne suis pas capable de faire dans le présent, alors j'espère et donc le fait dans le futur. C'est à dire jamais maintenant, et donc jamais.