Ceux qui n'ont pas encore bouffer un cul, votre excuse ?
SuppriméJe l'ai fait à mes exs (pas toutes). Le trou du cul, c'est vraiment quelque chose. Seuls ceux qui ont passé le pas peuvent en témoigner. On parle d'une véritable valeur en bouche, bien loin de la texture affreuse et des effluves nauséabondes qui, parfois, peuvent s'émanciper de cette entrée vaginale siège de mille et uns fluides dont la synergie repousserait jusqu'au dernier mort.
Non, ici, il s'agit d'un trou du cul. Lorsqu'il est propre, pris en post-douche, c'est un vrai régal en bouche. La façon dont la femme cherche à dissimuler ce petit trou défendu décuple l'excitation. Tu sais que cette fois-ci, tu vas provoquer en elle des choses, et surtout, tes papilles gustatives vont s'en souvenir.
Bref, un homme qui essaye de s'aventurer sur un trou du cul, c'est un homme nouveau. Jamais plus il ne revient sur le sentier vaginal par la suite, en tout cas avec sa gueule, ou en tout cas sans réel désir. Non, un homme qui a goûté à ce trou du cul nouvellement présenté, c'est un homme qui désormais se sait initié.
Avis aux amateurs.
Par ailleurs, absolument aucune odeur post-douche. Quand bien même une faible senteur s'associerait à cette texture sphincterienne si délicate, on en redemanderait encore tant le met, dans son intégralité, fond en bouche.
Il faut le vivre pour s'en rendre compte. L'expérience d'une vie, surtout quand tu aperçois le pourtour anal se contracter à l'approche de ta langue, que tu commences à le titiller par l'ovale, et qu'une fois tes lèvres épousant cet orifice brun, tu ne peux tout simplement plus t'en détacher, préférant même respirer par le nez ou, pour les plus téméraires, rester en apnée.
Ne vous y trompez pas : le trou du cul est un met de choix pour celui qui s'y invitera.
En effet, pour moi l'anulingus est un pacte tacite entre les époux, une sorte de fiançailles par le léchage du fion et je vais m'efforcer de vous le prouver.
C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise.
Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement.
Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de "Vive les mariés !".
La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à la vue de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle où l'on se mariait voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérement une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent.
L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui furent les suivantes.
Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée.
C'est alors que les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminescences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue.
Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la decence veut que rien n'entre.
Et ces soirs-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient.
C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs dessous de seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite.
Quand, au détour d'une rue, il m'arrivait que je rencontrasse l'une d'elles à qui j'avais miroité l'oignon, son regard, parfois, croisait le mien et, plaintif, il était suivi d'une parole de paupières me disant : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'oeil maladroit, je promettais.
J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés.
Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant.
Le 17 septembre 2022 à 14:23:07 :
Elle ne le veut pas, on en a pas parlé mais il y a des gestes qui trompent pas
Tu devrais malgré tout poser le sujet sur la table. Je t'assure que vous y gagnerez tous les deux.
Le 17 septembre 2022 à 14:23:09 :
En effet, pour moi l'anulingus est un pacte tacite entre les époux, une sorte de fiançailles par le léchage du fion et je vais m'efforcer de vous le prouver.C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise.
Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement.Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de "Vive les mariés !".
La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à la vue de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle où l'on se mariait voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérement une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent.
L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui furent les suivantes.
Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée.
C'est alors que les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminescences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue.
Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la decence veut que rien n'entre.Et ces soirs-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient.
C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs dessous de seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite.
Quand, au détour d'une rue, il m'arrivait que je rencontrasse l'une d'elles à qui j'avais miroité l'oignon, son regard, parfois, croisait le mien et, plaintif, il était suivi d'une parole de paupières me disant : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'oeil maladroit, je promettais.
J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés.
Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant.
Je ne doutais pas, que sous ta plume, un tel message vienne édulcorer mon topic. Quel plaisir de le lire, je nous sens en alchimie totale !
Merci pour ces belles lignes, d'une sincérité ainsi qu'une vérité certaines.
Le 17 septembre 2022 à 14:24:55 :
Le 17 septembre 2022 à 14:23:09 :
En effet, pour moi l'anulingus est un pacte tacite entre les époux, une sorte de fiançailles par le léchage du fion et je vais m'efforcer de vous le prouver.C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise.
Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement.Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de "Vive les mariés !".
La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à la vue de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle où l'on se mariait voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérement une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent.
L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui furent les suivantes.
Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée.
C'est alors que les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminescences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue.
Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la decence veut que rien n'entre.Et ces soirs-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient.
C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs dessous de seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite.
Quand, au détour d'une rue, il m'arrivait que je rencontrasse l'une d'elles à qui j'avais miroité l'oignon, son regard, parfois, croisait le mien et, plaintif, il était suivi d'une parole de paupières me disant : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'oeil maladroit, je promettais.
J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés.
Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant.
Je ne doutais pas, que sous ta plume, un tel message vienne édulcorer mon topic. Quel plaisir de le lire, je nous sens en alchimie totale !
Merci pour ces belles lignes, d'une sincérité ainsi qu'une vérité certaines.
Je t'en prie, la cause de l'anulingus mérite d'être défendu et ce d'une manière aussi belle que l'acte lui-même.
Je précise 0 odeur avec toutes les go avec qui ej l'ai fait, voir même une bonne odeur de fruits (du au savon j'imagine) alors que j'ai déjà eu des surpirses désagréables au niveau du clito
+ Facesitting
Le 17 septembre 2022 à 14:31:21 :
Pour le coup c'est vrai que bouffer le fiak c'est bien mieux, depuis que j'ai testé je peux pas m'en passer aya
Mais tellement...
Le 17 septembre 2022 à 14:32:11 :
Je précise 0 odeur avec toutes les go avec qui ej l'ai fait, voir même une bonne odeur de fruits (du au savon j'imagine) alors que j'ai déjà eu des surpirses désagréables au niveau du clito+ Facesitting
On est d'accord. L'anus est une zone bien plus "propre" que le vagin, d'autant plus après une douche.
Le 17 septembre 2022 à 14:32:37 :
Putain vous êtes trop fort. Moi qui n'ai jamais pleuré devant quelconque film supposé triste, me voilà avec les yeux en larmes face à vos poème au thème si doux. Vous êtes les Baudelaire de l'anal, les Apollinaire du fion, que dit-je, les Rimbaud de la rondelle . Merci pour ce moment.
Avec plaisir kheyou. Il convient de militer pour l'anulingus.
Données du topic
- Auteur
- _____-___-___-_
- Date de création
- 17 septembre 2022 à 14:20:01
- Date de suppression
- 17 septembre 2022 à 14:56:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
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