J’aurai plus dis le fait de se forcer à aller dans une voie dans la vie par norme sociale, de faire un travail pour être bien vu par autrui, une femme aussi, des enfants. ensuite la maison impersonnelle, meublée à l’arrache sur crédit pas loin de la ville pour le boulot, la voiture pareil. Ne plus avoir de passion ni rien et enfin, à 40 ans, réaliser que notre train de vie ne nous ressemble pas, que ce n’est pas nous. Mais qu’il est trop tard.