Les KAMIKAZES japonais étaient des ZINZOLAX non ?
Le 08 septembre 2022 à 13:08:42 SourisNem a écrit :
Le 08 septembre 2022 à 13:01:55 :
Oui c'était des zinzins qui voulait mourir pour l'empereur![]()
d'ailleurs en apprenant la nouvelle de la défaite y a eu une vague de suicide
![]()
La religion la bas c'est de considérer que l'empereur est Dieu
Et après on vient dire que leur religion est supérieur à la nôtre
Le 08 septembre 2022 à 13:08:50 :
Ceci :https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Yokosuka_MXY-7_Ohka
Bordel
Les marins américains ont surnommé ces bombes volantes « baka »
Hiro Onoda (, Onoda Hiro), né le 19 mars 1922 (an 11 de l'ère Taisho) dans le village de Kamekawa (aujourd'hui situé dans la ville de Kainan) dans la préfecture de Wakayama au Japon, et mort le 16 janvier 2014, est un soldat japonais en poste sur l'ile de Lubang dans les Philippines qui refusa de croire à la fin de la Seconde Guerre mondiale et à la reddition du Japon en 1945 et qui continua la guerre avec trois autres soldats jusqu'en 1974. C'est le plus connu des nombreux « soldats japonais restants ».
En 1943, Onoda arrive à Kurume, qui a une école d'une réputation effrayante sous les ordres du général Shigetoumi. Après trois mois d'entraînement intensif, Onoda regagne son unité d'origine. Le 13 août 1944, Onoda quitte Kurume pour rejoindre la 33e compagnie à Futamata qui est une annexe de l'école de Nakano dans laquelle sont formés des officiers commandos. En décembre 1944, Onoda fait partie des vingt-deux hommes formés aux techniques de la guérilla. Destination : les Philippines, territoire américain occupé par le Japon. Son supérieur, le major Yoshimi Taniguchi , lui donne l'ordre de retarder le débarquement des Américains sur l'île de Lubang, sur laquelle Hiro Onoda passera plus de trente années dans la jungle attendant le retour de l'armée japonaise.
En 1945, les troupes américaines reprirent l'île et presque toutes les troupes japonaises furent anéanties ou faites prisonnières. Cependant, Onoda continua la guerre, vivant d'abord dans les montagnes avec trois camarades (Yuichi Akatsu, Shpichi Shimada et Kinshichi Kozuka). Un d'entre eux, Akatsu, se rendit finalement aux forces philippines en 1950, et les deux autres furent tués dans des échanges de coups de feu avec les forces locales Shimada le 7 mai 1954, Kozuka le 19 octobre 1972 laissant Onoda seul dans la montagne durant deux ans.
Il rejetait comme une ruse toute tentative visant à le convaincre que la guerre était finie. En 1959, il fut déclaré légalement mort au Japon.
Retrouvé, en 1974, par un étudiant japonais, Norio Suzuki, Onoda refusa obstinément d'accepter l'idée que la guerre était finie à moins d'avoir reçu de son supérieur hiérarchique l'ordre de déposer les armes. Pour l'aider, Suzuki retourna au Japon avec des photos de lui-même et d'Onoda comme preuve de leur rencontre. La même année, le gouvernement japonais put retrouver le commandant d'Onoda, le major Taniguchi, devenu libraire. Il se rendit à Lubang, informa Onoda de la défaite du Japon et lui ordonna de déposer les armes. Le lieutenant Onoda quitta la jungle 29 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, et accepta l'ordre de son chef de remettre son uniforme et son sabre, avec son fusil Arisaka Type 99 toujours en état de marche, cinq cents cartouches et plusieurs grenades à main.
Après sa reddition, Hiro Onoda alla s'installer au Brésil, où il devint éleveur de bétail. Peu après sa reddition, il publia une autobiographie, Ma guerre de 30 ans sur l'île de Lubang (Waga Ruban to no sanju-nen senso), où il décrit sa vie de maquisard dans une guerre terminée depuis longtemps. Par la suite, il épousa une compatriote et retourna vivre au Japon en 1984 où il créa en pleine nature un camp pour les enfants. Là, Hiro Onoda partagea avec eux ce qu'il avait appris sur la survie pendant ses années de vie solitaire. En 1996, il revint visiter l'île de Lubang et fit un don de dix mille dollars américains pour l'école locale.
Il meurt le 16 janvier 2014 à Tokyo.
Rien a voir avec les Kamikaze mais j'adore cette histoire vraie, un vrai soldat comme on en fait plus
Le 08 septembre 2022 à 13:12:59 Coco1234567 a écrit :
Hiro Onoda (, Onoda Hiro), né le 19 mars 1922 (an 11 de l'ère Taisho) dans le village de Kamekawa (aujourd'hui situé dans la ville de Kainan) dans la préfecture de Wakayama au Japon, et mort le 16 janvier 2014, est un soldat japonais en poste sur l'ile de Lubang dans les Philippines qui refusa de croire à la fin de la Seconde Guerre mondiale et à la reddition du Japon en 1945 et qui continua la guerre avec trois autres soldats jusqu'en 1974. C'est le plus connu des nombreux « soldats japonais restants ».En 1943, Onoda arrive à Kurume, qui a une école d'une réputation effrayante sous les ordres du général Shigetoumi. Après trois mois d'entraînement intensif, Onoda regagne son unité d'origine. Le 13 août 1944, Onoda quitte Kurume pour rejoindre la 33e compagnie à Futamata qui est une annexe de l'école de Nakano dans laquelle sont formés des officiers commandos. En décembre 1944, Onoda fait partie des vingt-deux hommes formés aux techniques de la guérilla. Destination : les Philippines, territoire américain occupé par le Japon. Son supérieur, le major Yoshimi Taniguchi , lui donne l'ordre de retarder le débarquement des Américains sur l'île de Lubang, sur laquelle Hiro Onoda passera plus de trente années dans la jungle attendant le retour de l'armée japonaise.
En 1945, les troupes américaines reprirent l'île et presque toutes les troupes japonaises furent anéanties ou faites prisonnières. Cependant, Onoda continua la guerre, vivant d'abord dans les montagnes avec trois camarades (Yuichi Akatsu, Shpichi Shimada et Kinshichi Kozuka). Un d'entre eux, Akatsu, se rendit finalement aux forces philippines en 1950, et les deux autres furent tués dans des échanges de coups de feu avec les forces locales Shimada le 7 mai 1954, Kozuka le 19 octobre 1972 laissant Onoda seul dans la montagne durant deux ans.
Il rejetait comme une ruse toute tentative visant à le convaincre que la guerre était finie. En 1959, il fut déclaré légalement mort au Japon.Retrouvé, en 1974, par un étudiant japonais, Norio Suzuki, Onoda refusa obstinément d'accepter l'idée que la guerre était finie à moins d'avoir reçu de son supérieur hiérarchique l'ordre de déposer les armes. Pour l'aider, Suzuki retourna au Japon avec des photos de lui-même et d'Onoda comme preuve de leur rencontre. La même année, le gouvernement japonais put retrouver le commandant d'Onoda, le major Taniguchi, devenu libraire. Il se rendit à Lubang, informa Onoda de la défaite du Japon et lui ordonna de déposer les armes. Le lieutenant Onoda quitta la jungle 29 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, et accepta l'ordre de son chef de remettre son uniforme et son sabre, avec son fusil Arisaka Type 99 toujours en état de marche, cinq cents cartouches et plusieurs grenades à main.
Après sa reddition, Hiro Onoda alla s'installer au Brésil, où il devint éleveur de bétail. Peu après sa reddition, il publia une autobiographie, Ma guerre de 30 ans sur l'île de Lubang (Waga Ruban to no sanju-nen senso), où il décrit sa vie de maquisard dans une guerre terminée depuis longtemps. Par la suite, il épousa une compatriote et retourna vivre au Japon en 1984 où il créa en pleine nature un camp pour les enfants.Là, Hiro Onoda partagea avec eux ce qu'il avait appris sur la survie pendant ses années de vie solitaire. En 1996, il revint visiter l'île de Lubang et fit un don de dix mille dollars américains pour l'école locale.
Il meurt le 16 janvier 2014 à Tokyo.
Rien a voir avec les Kamikaze mais j'adore cette histoire vraie, un vrai soldat comme on en fait plus
C'est ce qui a justifié la nuke sur eux
Les amerlocks ont flippe en voyant des tarés pareils qui n'ont pas peur de la mort
Il y a même des anciens Soldats américains qui affirmaient que c'était la chose la plus terrifiante chez les jap des années 40
Les mecs te foncaient dessus malgré les tires d'artillerie et mitrailleuses lourdes qui les déchiquetaient
Il y a vraiment de quoi faire des cauchemars devant des monstres pareils
Seule une nuke pouvait les calmer et servir de tester réaliste aussi
Le 08 septembre 2022 à 13:01:18 :
Souvent des puceaux d’ailleurs
quel ignorant, ils sont pas comme toi.
Les pilotes n’étaient bien souvent pas des nationalistes fanatiques, mais plus généralement de très jeunes soldats terrorisés. Ainsi le pilote Kikumi Ogawa note-t-il dans son journal : « Je priais pour ne pas être désigné […]. Ceux qui ne l’avaient pas été se réjouissaient secrètement, comme j’en avais fait l’expérience, prétendant regretter la situation. » L'état-major militaire et la pression sociale rendaient quasi-impossible le refus de la mission-suicide.
Données du topic
- Auteur
- ususidezes
- Date de création
- 8 septembre 2022 à 13:00:46
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