Le cul de la flic

Par delà les collines du désert de Bab el oued, il y a 700 ans, la main d'Allah lui même vain semer des milliers de graines de safran dans les plaines les plus escarpées de la vallée de la wilaya en terre d'Alger. Cette espèce de Safran unique, jusqu’à lors inconnue des mortels, avait le pouvoir de faire gonfler le boule de quiconque la consomme, accompagnée d'un couscous aux 4 épices les plus fraiches, ou d'un tajine de pigeonneaux aux olives. Il fût surnommé dans la région, le Safran des nababs.

Mais, suite aux diverses invasion arabes, le peuple berbère, propriétaire de ces terres depuis la nuit des temps, dû reculer peu a peu et livrer leurs terrains et ses champs aux populations barbares qui les rasèrent pour construire des Casbah. Cependant, le chef du village pris le temps de récolter les rares pistils de Safran restants avant de prendre la fuite, et il cacha son précieux trésor dans une babouche en cuir qu'il rangea dans la maison familiale. Les siècles s'écoulèrent, et les chameaux qui jadis guidaient les caravaniers dans le désert furent remplacés par des 205 GTI venus d’Europe occidentale.

Ce n'est qu'au début des années 2000, pour raison encore obscures, que le fameux Safran magique se retrouvra sur les étales d'un marchand, dans le souk d'Alger ou se partagent les épices du Maghreb les plus parfumées. Une mère de famille l'acheta pour quelques dirham, et rentra chez elle pour préparer le couscous du vendredi qui fût tout particulièrement appréciée par sa fille, agent de police.

Le lendemain matin surprise ! La vieille prophétie avait livré son œuvre, et le cul de la jeune femme était devenu plus gros que celui de la pâtissière du village, mais il ne présentait pourtant aucune trace de cellulite, et gifle qu'il recevait se faisait entendre des dizaines de mètres a la ronde.

C'est ainsi que la jeune femme rejoigna la France, traversant la méditerranée sur ses fesses, les utilisant comme un paquebot, et qu'elle pu faire carrière dans notre beau pays en arrêtant de dangereux dentistes.

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Ce cul, véritable hégémonie aux falafels et aujourd'hui célébré partout en France, comme la divine pomme de Roch Hachana. Mais ce cul providentiel dont les courbes auraient pu êtres imaginées par Yahvé lui même est longtemps resté la propriété bien gardée des maitres Artisans falafels et Tel Aviv.

Refusant de révéler aux yeux du monde leur "œuvre" diabolique, la jeune femme resta enfermée dans le cachot de Simon Goldenbergstein, situé dans la cave de son atelier de falafels... Durant toute cette période, la jeune femme au cul honteusement bombé fût nourrit exclusivement a base de boulettes de pois chiches les plus riches du moyen-orient.

Un jour, Moïse de passage dans la région entendit les gémissements de la jeune prisonnière au sous-sol, et, attiré par la Mezouza et par l'absence de son geôlier décida d'y descendre. Il découvrit alors la policière, enfermée dans sa prison dorée, et dont le cul surnaturel dépassait des barreaux.

Le prophète lui même eu une érection salvatrice, et, s'aidant d'un Menorah, ouvra la porte de la cellule de notre pauvrette, comme il avait jadis ouvert la mer pour sauver les siens. La jeune femme maintenant libre fût honorée par la grâce de son sauveur, qui aspergea de son nectar d'amour, les fesses rebondit de la futur gendarme, lui donnant ainsi l'aspect d'une belle pomme de Roch Hachana qui aurait été trempée dans le miel.

Une vieille épitaphe séfarade qui se murmure encore dans les assemblées des anciens de chaque Hanoukka, raconte que le cul de la policière, fouetté 700 fois a l'aide d'un chapelet de David, serait la clé de l'ouverture d'un portail dimensionnel vers les terres de ChaddaÏ, véritable terre promise du peuple sémite, ou les fruits et légumes qui poussent par milliers et de façon perpétuel sont bio et 100% KOSHER.

Cette femme est donc, dans la mythologie rabbinique, peut être le Messie qu'attendait le peuple hébraïque tout entier, pour fuir une vie de misère, de persécution et de souffrance en direction du jardin d’Éden.

Tout homme normalement constitué (possédant un taux de testostérone normal) devient instinctivement zinzolin à la vue de cet immense fiak, c'est inscrit dans nos gènes depuis la nuit des temps. C'est dans la nature de l'homme de rechercher des gros boulards, qui sont une preuve indéniable de la fertilité de la femelle.

Un tel fiak gargantuesque aurait inévitablement conduit notre ancètres chasseur-ceuilleur à immédiatement abandonner sa tribu sans la moindre hésitation afin de poursuivre ce cavu dans l'unique but de pouvoir féconder la femelle, abordant cet attribut pouvant conduire à entendre des voix, à la seconde ou elle se pencherait pour s'abreuver à la rivière.

L'appel de ce gigantesque boulard résonne dans les couilles de chaque Homme, fait appel à notre profonde nature grégaire et nous fait tout oublier en ayant pour seule obession de s'introduire dans le divin fiak pour y deverser notre semence et ainsi perpetuer l'espèce grace à cette reprodutrice au cul forgé par l'univers lui même

En cela, le saint boulard constitue le socle même de l'humanité et nous devrions tout le prier

Loué soit le cul sacré

Le 14 septembre 2022 à 12:56:31 :
Elle a chié dans sa couche? Ça déborde

Je veux bien lui nettoyer en tout cas.

Le 14 septembre 2022 à 13:40:27 :
Entre la soeur de Gotaga, la roumaine et la policière
Qui gagne?

Moi bien sûr

Le 14 septembre 2022 à 13:40:27 :
Entre la soeur de Gotaga, la roumaine et la policière
Qui gagne?

la soeur de GOTAGA car j'ai pas vu la roumaine