"Quelques jours plus tôt, A. B. s'était permis de faire remarquer à un collègue vendeur placé sous son autorité qu'il avait « pris du ventre », avant d'émettre un gaz particulièrement malodorant et de lancer à ses collègues : « Il fallait que vous sortiez du bureau, du coup arme massive obligatoire. » Et de récidiver quelques jours plus tard en commettant d'autres flatulences devant une responsable administrative ulcérée. « La femme de ménage, également présente, a été choquée par l'odeur nauséabonde et par votre impolitesse », écrit l'employeur dans sa lettre de licenciement."
ce giga beauf