En 1973, un généalogiste, Michel Tesnière, avait publié une étude qui avait fait sensation, indiquant que, dans quelques siècles, nous nous appellerions tous Martin, Bernard, Thomas, etc. sous prétexte que “tous les corps fermés finissent pas s’éteindre” et que les noms rares disparaîtraient tous un par un au fil des mariages et d’une natalité déclinante.