73% de naissances africaines en île de France en 2020

On ne fait le dépistage de la drépanocytose que pour les enfants dont les deux parents ont des origines génétiques extra européennes car il n'y a que les africains, les arabes et les indiens qui peuvent l'attraper.

En 2000 seulement 20% de dépistés et en 2020 73%

Source :
https://www.has-sante.fr/jcms/c_1728538/fr/depistage-neonatal-de-la-drepanocytose-en-france#:~:text=Il%20est%20r%C3%A9alis%C3%A9%20dans%20le,chez%20tous%20les%20nouveau%2Dn%C3%A9s.
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2021/05/msc200519/msc200519.html#:~:text=Par%20exemple%2C%20en%202019%2C%20le,en%20r%C3%A9gion%20Parisienne%20(51%20%25).

Le 08 septembre 2022 à 06:37:59 :
C'est un fait. Merci pour l'info qui de plus est source

La génétique ne ment pas

Le 08 septembre 2022 à 06:38:12 :
Et tu veux faire quoi à part chouiner sur JVC ?

Rien sinon go campagne ou expat

Des associations de malades et de médecins dénoncent quant à elles l'utilisation de ce dépistage ciblé et demandent une généralisation du dépistage « avec un argument qui va à l'encontre de la thèse « identitaire » : la maladie n'est plus aujourd'hui l'apanage de certaines ethnies, mais s'est « mondialisée » : au fil des ans et des métissages, les gènes se sont disséminés », ce qui a des conséquences graves pour les sujets non dépistés. Le Monde rappelle également les chiffres de la natalité (79.3 % d'enfants issus de deux parents français en 2013) et démographique (un quart des Français ayant au moins un grand-parent immigré, le terme « population autochtone » n'a pas vraiment de sens), et conclut que « l'hystérie entretenue par l'extrême droite autour de la drépanocytose ne fait en effet que masquer le racisme des tenants de ces théories […] ce que cherchent à évoquer les militants identitaires ici, c'est bien la question de l'ethnie. Ce qui les préoccupe, ce sont les naissances non « blanches », qu'elles soient issues de personnes de nationalité française ou non, et que ces personnes soient intégrées ou non. […] Le cas des Antillais est ici emblématique : ces populations peuvent être « plus françaises » que des militants d'extrême droite issus, à la troisième ou à la quatrième génération, de l'immigration italienne, polonaise ou autre »