Ça y est je me suis chauffe, si vous aussi vous êtes inspiré postez vos plus grand chef d'oeuvre d'érotisme
Je commence
Dans un monde magique peuplé de créatures magiques et étranges, un peu tarées sur les bords, était une forêt
Une forêt gigantesque dont la vie s'étalait sur plusieurs étages grâce la hauteur des arbres, à la canopée noire comme l'ébène
Dans ce lieu primaire vivait des Amazones aux oreilles de lapins et aux visages d'or sur lesquels étaient minutieusement des éphélides
Les Amazones ne pouvaient se reproduire sans hommes ; mais elles ne pouvaient quitter la forêt, devenues également dryades après tout ce temps passé près de Mère Nature
Heureusement, une ville de chasseur se trouvait en lisière de forêt, principalement composé d'hommes à cause de la dangerosité des plaines ténébreuses de l'ouest
Les chasseurs vénéraient la forêt et ses habitants, aussi est-il naturel qu'ils vinrent en aide aux Amazones tous les ans lors de la saison des chaleurs
Les lapines remuaient de la truffe à peine leurs travaux terminés et leur esprit vagabondait déjà en mille pensées sexuelles
Les chasseurs traversèrent la quelque dizaine de kilomètres séparant les deux communes et furent chaleureusement accueillis par ces âmes maternelles qui se présentèrent sous leurs plus beaux jours
L'heure était aux réjouissances et le banquet dura toute la nuit, pourtant il fallait faire vite : les lapines n'étaient en chaleur que quelques mois et trop peu de monde acceptait cette tâche que l'on disait ardue et dangereuse, faute aux monstres résidents de la forêt
Dès le lendemain ainsi les raclages et labourages de chattes belles et glabres commencèrent et s'ensuivirent sans arrêt jusqu'à l'épuisement des chasseurs
Les gambettes longues et effilées, la taille menue, les seins opulents et multiples, ces femelles donneraient bien du plaisir à tout homme qui en prendrait une en leuleu
Les jus se mélangeaient dans les ébats barbares, sueur, sperme, mouille, sang pour les rares vierges, parfois merde par mégarde, souvent plus remarqué par les cris de douleurs que la couleur de la verge
Ils trituraient leurs obus, tiraient leurs oreilles et leur cognaient le cul à grandes volées de gifles bruyantes
Les culs s'alignaient sans fin et la jouissance emplissait la forêt
À la fin du rituel, toutes fécondées, elles permirent aux chasseurs de partir après un ultime repas signalant la réussite, du moins cette année, de la fécondation des lapines
L'année suivante tout recommencerait, et c'est à peine rentré que les barbus bandaient déjà pour la prochaine fois
Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants
FIN
