Jeune champion, il profite de son statut pour multiplier les conquêtes : « J’ai pensé, je vais faire l’amour avec une fille chaque jour et puis je me suis dit non, deux ! Je vais scorer, mais alors bien, quelque chose d’inoubliable. J’arrive à treize en huit jours. » Mais à force de conquêtes et de nuits sans lendemain, Camille Lacourt est lassé. « On parle souvent de la libido masculine, des dons juans et des maris infidèles. Plus rarement de l’appétit des femmes, des Dianes chasseresses. Je l’ai vu, je l’ai connu et cet appétit m’a parfois terrifié. Je me suis senti sali là-dedans… Inexorablement, au bout du troisième jour, j’ai senti cette tristesse de la chair sans sentiment. […] J’ai l’impression que ma vie tourne au film porno. Je souris, je mange, je bois, je baise. »
Le mec en avait marre de baiser de la bonasse par paquet de 10, un autre monde putain...