L'homme est un roseau pensant. Pour ma part je suis un sot roseau. Et je transforme le roseau des hommes en chênes. Malheureusement, je me sens vide. Tout n'est que vanités. Alors,je me suis cultivée. J'ai beaucoup lu. Surtout Heidegger. Mais je me sens en toujours aussi bête. Je sais que je ne sais rien (et encore moins que Socrate) et le silence infini de ces grands espaces m'effraie...