Être un MALE BLANC HETERO à Normale Sup
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hommes «cisgenres
Rien compris , ça veut dire quoi ?
Le 19 août 2022 à 23:03:29 :
hommes «cisgenresRien compris , ça veut dire quoi ?
Les hommes qui sont hétéro.
Ca m'étonne pas : les écoles d'ingé sont infestées de marxistes qui rêvent de torturer les hommes blancs hétéro.
Le 19 août 2022 à 23:04:45 :
Le 19 août 2022 à 23:03:29 :
hommes «cisgenresRien compris , ça veut dire quoi ?
Les hommes qui sont hétéro.
Ca m'étonne pas : les écoles d'ingé sont infestées de marxistes qui rêvent de torturer les hommes blancs hétéro.
Sauf que l'ENS > ecoles d'ingé pour puceaux
Le 19 août 2022 à 23:06:26 :
Le 19 août 2022 à 23:04:45 :
Le 19 août 2022 à 23:03:29 :
hommes «cisgenresRien compris , ça veut dire quoi ?
Les hommes qui sont hétéro.
Ca m'étonne pas : les écoles d'ingé sont infestées de marxistes qui rêvent de torturer les hommes blancs hétéro.Sauf que l'ENS > ecoles d'ingé pour puceaux
Dans les deux cas c'est des êtres cérébraux et peu instinctifs
Le 19 août 2022 à 23:06:26 :
Le 19 août 2022 à 23:04:45 :
Le 19 août 2022 à 23:03:29 :
hommes «cisgenresRien compris , ça veut dire quoi ?
Les hommes qui sont hétéro.
Ca m'étonne pas : les écoles d'ingé sont infestées de marxistes qui rêvent de torturer les hommes blancs hétéro.Sauf que l'ENS > ecoles d'ingé pour puceaux
Et alors? Ca reste une école d'ingé full puceaux autistes.
Le 19 août 2022 à 23:11:59 :
Article complet ou ddb
RÉCIT - L’association des élèves de l’ENS Ulm envisage d’interdire l’accès de certains couloirs aux hommes «cisgenres».
Alors que les «conscrits», les nouveaux admis à l’École normale supérieure, feront leur rentrée dans quelques jours, le 5 septembre, les discussions des normaliens poursuivent leur cours tumultueux: la rue d’Ulm est peut-être à la veille, en effet, d’une décision importante aux allures de singulier retour en arrière. C’est de l’internat qu’il s’agit.
Celui-ci était jusqu’ici indistinctement ouvert aux normaliens des deux sexes, sans séparation géographique entre les couloirs des filles et ceux des garçons. Les élèves de l’École qui le souhaitent peuvent même demander à vivre à deux dans une même chambre. Mais, désormais, certains couloirs pourraient bien être prochainement interdits aux «hommes cisgenres», c’est-à-dire les hommes qui se considèrent comme des hommes, selon un néologisme formé par l’écrivain transsexuelle Julia Serano. En clair, il s’agirait du retour à une non-mixité, partielle ou totale. Cela à la demande d’élèves et d’associations de l’ENS qui s’inquiètent d’une plus grande vulnérabilité des femmes ou des personnes appartenant à des minorités sexuelles, du fait de la présence d’hommes dans les couloirs de l’internat.
Cette discussion sur l’instauration de couloirs interdits aux hommes est née d’une assemblée générale houleuse de la Délégation générale, la toute-puissante association d’élèves à laquelle la direction de l’établissement laisse, selon les termes de l’article 47 du règlement intérieur, le soin d’attribuer les «thurnes» (les chambres d’internat). La plupart sont réservées aux conscrits et aux boursiers ; les autres sont disputées selon des règles extrêmement sophistiquées au cours des traditionnelles cérémonies de «thurnage». Mais voilà, le 15 février dernier, alors que la DG pensait n’avoir à traiter, outre les plaintes habituelles sur la récurrence des chapardages dans les cuisines, que de questions de logistiques routinières, une vive discussion s’est installée au sujet du risque d’agressions sexuelles à l’internat.
» LIRE AUSSI - Les grandes écoles face aux revendications de la «génération climat»
Selon le compte rendu, consulté par Le Figaro , une première élève a soutenu que certains de ses condisciples avaient établi l’an passé des «listes de baisabilité» . Elle a alors réclamé le droit, pour les internes qui le souhaitent, d’avoir leur chambre dans un couloir non mixte. «Plus tard dans l’AG, elle affirme en réponse à certains arguments qu’il ne faut pas exclure la possibilité que tous les hommes soient des violeurs» , précise sobrement le compte rendu. Les discussions s’échauffent, un autre élève estime à son tour que «l’ENS en tant qu’institution a le devoir de donner à ceux qui le souhaitent une chambre en non-mixité» . D’autres objectent que cela n’irait pas sans poser d’importantes difficultés, puis s’interrogent: les garçons auraient-ils malgré tout le droit de traverser le couloir pour se rendre d’une partie du bâtiment à une autre? Les trans seraient-ils admis? Et les «non-binaires»? Un dernier observe enfin «que regrouper dans un même couloir des personnes vulnérables pourrait avoir un effet bergerie, et au contraire encourager les comportements violents» . Décision est finalement prise d’élargir la réflexion en organisant une consultation numérique, laquelle a abouti à la rédaction d’une version préliminaire d’une charte permettant aux internes qui le souhaitent d’interdire l’accès de leur couloir aux «hommes cisgenres», voire de préciser des critères d’interdiction plus étroits au cours de réunions régulières organisées entre habitants de l’étage.
Un étonnant clin d’œil à l’histoire
Pour l’heure, la direction de l’ENS refuse de faire connaître sa position quant à ces débats. Mais, parmi les élèves, ils suscitent un certain agacement. «Je ressens un profond malaise quand je vois ce genre d’évolutions au sein de mon école» , glisse un normalien, qui y voit immédiatement le signe d’une emprise de «la culture woke américaine» au sein de la rue d’Ulm. Car, avant que l’idée de couloirs d’internat non mixtes ne fasse son apparition, de nombreuses réunions associatives en non-mixité avaient déjà été organisées au sein de l’ENS par des associations féministes ou LGBT. La création d’espaces non mixtes traduit directement le concept américain de «safe space», inventé par les activistes des mouvements des droits civiques. En France, les militants de Nuit debout avaient notamment reproduit des initiatives similaires.
Si elle était finalement actée, l’instauration d’une non-mixité à l’internat de l’ENS constituerait néanmoins un surprenant clin d’œil à l’histoire: alors que l’école s’est retrouvée plongée, il y a un demi-siècle, au cœur des événements de Mai 68 dans le Quartier latin, comment ne pas songer en effet que la révolte étudiante était née, à l’époque, de la revendication des garçons de Nanterre de pouvoir entrer dans les dortoirs des filles? C’était du reste le point de départ de l’altercation du 8 janvier 1968 entre le ministre de la Jeunesse et ses Sports, François Missoffe, et le jeune Daniel Cohn-Bendit, lequel reprochait au gouvernement de ne pas tenir compte des «problèmes sexuels des jeunes» .
À l’époque, les internats de normaliens semblaient déjà en avance sur leur temps, à en croire le témoignage d’un ancien de la promotion 1967 de l’ENS de Saint-Cloud, Michel Jamet: «Le régime de l’école, très libéral, ne surveillait pas les allées et venues et fermait les yeux sur les incursions féminines. Connu pour inviter les “amateurs de galipettes” à passer le pont de Saint-Cloud avant de s’y livrer, Henri Canac, directeur adjoint, bourru et bon, qui assurait la continuité au-delà des changements de directeur, nous avait fait les recommandations d’usage» rappelle l’ancien élève* dans ses archives.
Voir aussi :
Un étudiant pas con devrait juste boycotter ce genre d'école, garçon comme fille
Le 19 août 2022 à 23:12:35 :
Le 19 août 2022 à 23:11:59 :
Article complet ou ddbRÉCIT - L’association des élèves de l’ENS Ulm envisage d’interdire l’accès de certains couloirs aux hommes «cisgenres».
Alors que les «conscrits», les nouveaux admis à l’École normale supérieure, feront leur rentrée dans quelques jours, le 5 septembre, les discussions des normaliens poursuivent leur cours tumultueux: la rue d’Ulm est peut-être à la veille, en effet, d’une décision importante aux allures de singulier retour en arrière. C’est de l’internat qu’il s’agit.
Celui-ci était jusqu’ici indistinctement ouvert aux normaliens des deux sexes, sans séparation géographique entre les couloirs des filles et ceux des garçons. Les élèves de l’École qui le souhaitent peuvent même demander à vivre à deux dans une même chambre. Mais, désormais, certains couloirs pourraient bien être prochainement interdits aux «hommes cisgenres», c’est-à-dire les hommes qui se considèrent comme des hommes, selon un néologisme formé par l’écrivain transsexuelle Julia Serano. En clair, il s’agirait du retour à une non-mixité, partielle ou totale. Cela à la demande d’élèves et d’associations de l’ENS qui s’inquiètent d’une plus grande vulnérabilité des femmes ou des personnes appartenant à des minorités sexuelles, du fait de la présence d’hommes dans les couloirs de l’internat.
Cette discussion sur l’instauration de couloirs interdits aux hommes est née d’une assemblée générale houleuse de la Délégation générale, la toute-puissante association d’élèves à laquelle la direction de l’établissement laisse, selon les termes de l’article 47 du règlement intérieur, le soin d’attribuer les «thurnes» (les chambres d’internat). La plupart sont réservées aux conscrits et aux boursiers ; les autres sont disputées selon des règles extrêmement sophistiquées au cours des traditionnelles cérémonies de «thurnage». Mais voilà, le 15 février dernier, alors que la DG pensait n’avoir à traiter, outre les plaintes habituelles sur la récurrence des chapardages dans les cuisines, que de questions de logistiques routinières, une vive discussion s’est installée au sujet du risque d’agressions sexuelles à l’internat.
» LIRE AUSSI - Les grandes écoles face aux revendications de la «génération climat»
Selon le compte rendu, consulté par Le Figaro , une première élève a soutenu que certains de ses condisciples avaient établi l’an passé des «listes de baisabilité» . Elle a alors réclamé le droit, pour les internes qui le souhaitent, d’avoir leur chambre dans un couloir non mixte. «Plus tard dans l’AG, elle affirme en réponse à certains arguments qu’il ne faut pas exclure la possibilité que tous les hommes soient des violeurs» , précise sobrement le compte rendu. Les discussions s’échauffent, un autre élève estime à son tour que «l’ENS en tant qu’institution a le devoir de donner à ceux qui le souhaitent une chambre en non-mixité» . D’autres objectent que cela n’irait pas sans poser d’importantes difficultés, puis s’interrogent: les garçons auraient-ils malgré tout le droit de traverser le couloir pour se rendre d’une partie du bâtiment à une autre? Les trans seraient-ils admis? Et les «non-binaires»? Un dernier observe enfin «que regrouper dans un même couloir des personnes vulnérables pourrait avoir un effet bergerie, et au contraire encourager les comportements violents» . Décision est finalement prise d’élargir la réflexion en organisant une consultation numérique, laquelle a abouti à la rédaction d’une version préliminaire d’une charte permettant aux internes qui le souhaitent d’interdire l’accès de leur couloir aux «hommes cisgenres», voire de préciser des critères d’interdiction plus étroits au cours de réunions régulières organisées entre habitants de l’étage.
Un étonnant clin d’œil à l’histoire
Pour l’heure, la direction de l’ENS refuse de faire connaître sa position quant à ces débats. Mais, parmi les élèves, ils suscitent un certain agacement. «Je ressens un profond malaise quand je vois ce genre d’évolutions au sein de mon école» , glisse un normalien, qui y voit immédiatement le signe d’une emprise de «la culture woke américaine» au sein de la rue d’Ulm. Car, avant que l’idée de couloirs d’internat non mixtes ne fasse son apparition, de nombreuses réunions associatives en non-mixité avaient déjà été organisées au sein de l’ENS par des associations féministes ou LGBT. La création d’espaces non mixtes traduit directement le concept américain de «safe space», inventé par les activistes des mouvements des droits civiques. En France, les militants de Nuit debout avaient notamment reproduit des initiatives similaires.
Si elle était finalement actée, l’instauration d’une non-mixité à l’internat de l’ENS constituerait néanmoins un surprenant clin d’œil à l’histoire: alors que l’école s’est retrouvée plongée, il y a un demi-siècle, au cœur des événements de Mai 68 dans le Quartier latin, comment ne pas songer en effet que la révolte étudiante était née, à l’époque, de la revendication des garçons de Nanterre de pouvoir entrer dans les dortoirs des filles? C’était du reste le point de départ de l’altercation du 8 janvier 1968 entre le ministre de la Jeunesse et ses Sports, François Missoffe, et le jeune Daniel Cohn-Bendit, lequel reprochait au gouvernement de ne pas tenir compte des «problèmes sexuels des jeunes» .
À l’époque, les internats de normaliens semblaient déjà en avance sur leur temps, à en croire le témoignage d’un ancien de la promotion 1967 de l’ENS de Saint-Cloud, Michel Jamet: «Le régime de l’école, très libéral, ne surveillait pas les allées et venues et fermait les yeux sur les incursions féminines. Connu pour inviter les “amateurs de galipettes” à passer le pont de Saint-Cloud avant de s’y livrer, Henri Canac, directeur adjoint, bourru et bon, qui assurait la continuité au-delà des changements de directeur, nous avait fait les recommandations d’usage» rappelle l’ancien élève* dans ses archives.
Voir aussi :
Merci
Ultra-bosseurs, putaficheurs, oui. Le reste, non.
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Données du topic
- Auteur
- ParisPropre
- Date de création
- 19 août 2022 à 23:02:09
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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