Pour le représentant du ministère public, l’affaire est « symptomatique » : « C’est l’appel à la haine sur son fond de canapé où l’on s’autorise à tout. À l’audience, il a une forme de franchise assez désarmante mais ne nous livre aucune explication. Je sens une grande vacuité intellectuelle chez ce monsieur et une conscience très faible de la gravité des faits reprochés ». Pour le procureur, il ne fait aucun doute qu’un tel message incitait à la haine. « Des gens, en lisant ce message, auraient pu commettre des violences. »
Paul qui se fait enchaîner au tribunal