CRIMINALISER ceux qui revendiquent la SORTIE de l'EURO
Le 18 août 2022 à 02:24:19 :
Le 18 août 2022 à 02:23:14 AkagiSuuAnkou a écrit :
Le 18 août 2022 à 02:18:44 :
Le 18 août 2022 à 02:17:18 AkagiSuuAnkou a écrit :
C est quand même mieux d avoir le contrôle de sa monnaiecontroler quoi ? une monnaie qui cause inflation monstre et détruit tes économies ? les néo-boomers souverainistes en rêvent pour avoir leur crédits usuriers pas cher au détriment des épargnants
C est l euro qui est en pleine inflation
Ca profitera à beaucoup de monde car d imprime en fonction de ce que le pays a besoinles gens ont besoin d'une inflation 0 et d'une monnaie stable
Le chômage qui va exploser
Le 18 août 2022 à 02:26:21 LeTopicSlayer a écrit :
Le 18 août 2022 à 02:24:19 :
Le 18 août 2022 à 02:23:14 AkagiSuuAnkou a écrit :
Le 18 août 2022 à 02:18:44 :
Le 18 août 2022 à 02:17:18 AkagiSuuAnkou a écrit :
C est quand même mieux d avoir le contrôle de sa monnaiecontroler quoi ? une monnaie qui cause inflation monstre et détruit tes économies ? les néo-boomers souverainistes en rêvent pour avoir leur crédits usuriers pas cher au détriment des épargnants
C est l euro qui est en pleine inflation
Ca profitera à beaucoup de monde car d imprime en fonction de ce que le pays a besoinles gens ont besoin d'une inflation 0 et d'une monnaie stable
Le chômage qui va exploser
these fumeuse et même si c'était vrai ça n'a aucune importance, rien ne justifie le vol par l'inflation
Le 18 août 2022 à 02:15:46 :
Ceux qui veulent semer le chaos par l'inflation, comment peut on tolérer que des gens puissent exprimer des idées aussi destructrices ? Il faut interdire la remise en cause de l'euro comme monnaie nationale
Il n'y a rien de criminel à vouloir la sortie de l'euro.
D'abord, l'euro aggrave structurellement toutes les situations car la banque centrale européenne dispose en principe que d'une seule monnaie, et donc d'un seul taux de refinancement pour actuellement 20 économies. L'Irlande qui était en surchauffe avait des besoins d'intérêt élevés. Ce qui n'était pas le cas de l'Italie et de la France qui avaient besoin de taux d'intérêts très bas étant donné qu'ils étaient au bord de la récession. De même l'Allemagne et la Grèce n'étaient pas d'accord vu que l'Allemagne voulait un taux d'intérêt plus élevé que celui de la Grèce, car l'Allemagne est obsédé par l'inflation depuis 1922. A noter que le modèle Irlandais n'était pas viable pour la France car l'Irlande avait des taux de croissance élevés d'une part parce qu'elle bénéficiait de tonnes d'investissements américains qui n'en finissaient pas. Notamment de la part de sociétés informatiques notamment dans la banlieue de Dublin. Mais aussi, il faut savoir que l'Irlande bénéficiait de fonds structurels européens. Si la France avait reçu autant proportionnellement à leur population que l'Irlande n'en a reçu depuis son entrée dans le projet de la CEE soit en 1972, on aurait reçu plus de 2 000 milliards d'euros de subvention jusqu'en 2022 facile. Les présidents de BCE reçoivent des contraintes de 20 pays de la zone euro. Pour ne pas trop mécontenter tout le monde à haut point, ils font une côte mal taillé, une sorte de médian tout simplement. Il faut arbitre en permanence entre les différents besoins et les différentes contraintes. Or tout cela aggrave structurellement toutes les situations. Car le taux médian était trop faible pour l'économie irlandaise et trop forte pour l'économie française par exemple. Quand le taux d'intérêt est trop faible pour les besoins d'une économie, les tensions inflationnistes ne peuvent pas être combattues efficacement de même qu'il est impossible de ne pas accentuer la récession que l'on prétend combattre quand le taux d'intérêt est trop élevé.
Le 18 août 2022 à 02:15:46 :
Ceux qui veulent semer le chaos par l'inflation, comment peut on tolérer que des gens puissent exprimer des idées aussi destructrices ? Il faut interdire la remise en cause de l'euro comme monnaie nationale
Ensuite, le taux de change externe commun pour les 20 pays de la zone euro ne fait que détruire les économies les moins compétitives. L'article 282 du TFUE précise clairement :
" 1. La Banque centrale européenne et les banques centrales nationales des Etats membres dont la monnaie est l'euro conduisent la politique monétaire de l'union. 2. Le Système européen de banques centrales est dirigé par les organes de décisions de la Banque centrale européenne. L'objectif principal du SEBC est de maintenir la stabilité des prix.
Il n'y a aucune objectif de plein emploi comme on peut le constater. De même qu'il n'y a aucun objectif de taux de change externe de l'euro. Et bien sûr pas d'objectif de préservation des industries nationales, surtout pas françaises et on le voit très bien avec les délocalisations depuis Maastricht. Si on compare l'évolution du taux de change de l'euro par rapport au dollar, les changes deviennent également claires. La perte d'une politique monétaire indépendante a fait perdre à la France la maîtrise d'une politique de taux de change externe compatible avec la compétitivité de l'industrie française qui n'est pas la même que la compétitivité de l'industrie allemande. L'euro est en train de mettre à mal l'agriculture et les services français. Et il contribue en plus de cela à la destruction de l'industrie française. L'agriculture allemand a je le rappelle dépassé l'agriculture française durant le début des années 2010 ce qui n'était jamais arrivé depuis Vercingétorix. Lorsqu'on regarde le nombre d'heures travaillées dans l'industrie française au cours des années 1997 2009, cela devient encore plus clair. Source : Raybon, août 2009. Donc en 12 ans, l'industrie française a perdu le quart de ses heures travaillées. Donc je résume. On se dirige vers un pays grandement désindustrialisé et également avec une agriculture incroyablement réduite. Il ne restera que le tourisme en France ou presque.
Le 18 août 2022 à 02:15:46 :
Ceux qui veulent semer le chaos par l'inflation, comment peut on tolérer que des gens puissent exprimer des idées aussi destructrices ? Il faut interdire la remise en cause de l'euro comme monnaie nationale
En parlant de la France, un exemple concret de choc asymétrique est 1968. Une dévaluation fut effectué par le gouvernement de Chaban Delmas le 8 août 1969 suite à la crise. Une réévaluation du Deutsche mark suivit par la suite le réajustement monétaire français. Cela permit de diminuer mécaniquement le prix des exportations françaises et d'effacer le choc asymétrique. Cette dévaluation fut politiquement bien acceptée par l'ensemble des français surtout que cela s'est accompagné d'une hausse de leur pouvoir d'achat. Quand les gens reçoivent plus de pouvoir d'achat, ils consomment, ce qui relance l'économie. A ce moment là, le fameux multiplicateur keynésien se met en marche. Cela a conduit a une forte croissance de l'économie française entre 1970 et 1972. Une nouvelle crise du genre ne serait pas la même au vu des circonstances nouvelles. La première possibilité serait de refuser les accords de Grenelles et de garder la rigueur sociale et salariale. Mais l'autre hypothèse si la pression populaire est trop forte, c'est d'accepter des nouveaux accords de Grenelle avec hausses des minimas sociaux à l'appuie. Comme ceux qui avaient été accordés le 27 mai 1968. Sauf qu'on a plus la possibilité de déprécier notre monnaie désormais. Du coup il faudrait se tourner vers la mobilité travail. Que des millions de français aillent travailler ailleurs dans d'autres pays de la zone euro. Encore faut il qu'ils soient acceptés volontiers. Ou alors faut il que les autres pays harmonisent leurs conditions salariales et fiscales avec celles de la France. Or, les pays de l'est refusent toute harmonisation de ce genre pour sauvegarder l'avantage compétitif qu'ils se sont procurés en entrant de l'Union européenne. Du coup il ne reste qu'une dernière solution, à savoir des transferts massifs, à coup de dizaines voire centaines milliards d'euros pour renflouer les pays du sud. L'Allemagne devrait payer encore plus que pour les réparations d'après le traité de Versailles....
Le 18 août 2022 à 02:15:46 :
Ceux qui veulent semer le chaos par l'inflation, comment peut on tolérer que des gens puissent exprimer des idées aussi destructrices ? Il faut interdire la remise en cause de l'euro comme monnaie nationale
i on pense que l'euro est irréversible comme l'avait prétendu Draghi, à partir du moment où on a cette monnaie qui est la même peu importe les pays de la zone euro, sans être tout à fait la même non plus pour les raisons évoquées précédemment mais qui sont liées par un peg, c'est à dire un lien de convertibilité automatique de 1 pour 1, on devrait accepter le même taux d'intérêt à priori. Au début de l'euro, ce système avait fonctionné dans le sens où les taux d'intérêt demandés par les marchés financiers selon les états de la zone euro étaient très proches, presque similaires. Par exemple en 2007 avant la crise des subprimes, les marchés financiers demandaient une rémunération de 4% pour une obligation à 10 ans pour l'Allemagne et de 4,25% pour une obligation à 10 ans sur la Grèce. Donc depuis l'arrivée en 1999 de l'euro sur le marché interbancaire et 2002 avec l'arrivée de l'euro sous forme de pièces et de monnaies, les marchés financiers achetaient de l'euro ou plutôt la crédibilité de l'euro qui était considéré ou du moins présenté comme étant une monnaie unique. C'est pour cela que pour les pays de la zone euro même aussi différents que la Grèce et l'Allemagne, les taux d'intérêts étaient si proches. Mais tout a changé à partir de la crise des subprimes puis de la crise des dettes en Grèce. Et les marchés financiers ont compris qu'on leur avait raconté de la merde, c'est à dire qu'il n'y avait pas techniquement de monnaie unique. Il y a des monnaies nationales qui sont des créances sur des banques centrales différentes. A partir de ce moment là, les marchés financiers ont commencé à se dire que si tout l'édifice s'écroule, s'ils prêtent à la Grèce pour 10 ans, ça allait rembourser non pas en euros mais du drachme grecque si explosion de l'euro il y a entre temps. Ce drachme grecque ne vaudra plus grand chose. Du coup la logique des marchés financiers est de demandes des taux d'intérêts nettement plus importants.
Le 18 août 2022 à 02:15:46 :
Ceux qui veulent semer le chaos par l'inflation, comment peut on tolérer que des gens puissent exprimer des idées aussi destructrices ? Il faut interdire la remise en cause de l'euro comme monnaie nationale
Il faut savoir que les spécialistes suivent attentivement l'évolution des taux d'intérêts demandés par les marchés financiers sur les obligations à 10 ans des principaux Etats. Ce qui est contre intuitif,c 'est que les marchés financiers demandent des taux d'intérêts aux états qui ne correspondent pas nécessairement aux taux d'inflation. On pense souvent que c'est normal de demander un taux d'intérêt supérieur à un pays qui a plus d'inflation. Or, ce n'est pas le cas. Par exemple en mai 2023, le taux d'inflation était de 5,2% alors qu'en Allemagne, il était de 7,9%. Donc le taux d'inflation en Allemagne était de 2,7 points supérieur au taux d'inflation en France. Bruno Lemaire s'était vanté que la France ait un taux d'inflation plus bas que la moyenne en zone euro. Ce qu'il ne disait pas et ce qu'on aurait du lui demander, c'est pourquoi est ce que les marchés financiers demandent comme rémunération à l'Etat français de 1,7 point supérieur à ce que les marchés financiers demandent à l'Allemagne. Normalement c'est l'inverse logiquement qui aurait du se produire. C'est pareil pour l'Italie puisque leur taux d'inflation était en mai 2022 inférieur au taux d'inflation en Allemagne. Pourtant, les marchés financiers ont demandé une rémunération de 4 points supérieurs par rapport à l'Allemagne. En fait c'est du au risque de convertibilité, en ce sens que les investisseurs craignent de voir leurs créances rendues dans une autre monnaie qui se serait déprécie de beaucoup. Les spécialistes observent attentivement ce que l'on appelle les luttes contre les spreads, c'est à dire les écarts de taux d'intérêt exigés par les marchés financiers entre les différents pays que ce soit la France, l'Allemagne, l'Italie, la Grèce, etc.... Plus cet écart est grand et plus cela veut dire que les marchés financiers anticipent une explosion de la zone euro.
Source : https://www.lefigaro.fr/flash-eco/lutter-contre-les-spreads-est-au-coeur-du-mandat-de-la-bce-affirme-christine-lagarde-20220620
Le 18 août 2022 à 02:15:46 :
Ceux qui veulent semer le chaos par l'inflation, comment peut on tolérer que des gens puissent exprimer des idées aussi destructrices ? Il faut interdire la remise en cause de l'euro comme monnaie nationale
De plus, je rappelle que là où les pays du sud souffrent de l'euro, les pays du nord notamment l'Allemagne en bénéficient. Pour une raison simple. A savoir que l'euro a un taux de change par rapport au dollar sur les marchés internationaux qui se situent en dessous de ce que serait le taux de change du deustsche mark ou encore du florin néerlandais s'il n'y avait pas eu l'euro. Cependant, le taux de change de l'euro par rapport au dollar est supérieur aux taux de change du franc pour la France, de la lire pour l'Italie, du drachme pour la Grèce, la peseta espagnole ou encore l'escudo portugais auraient été s'ils étaient des monnaies évoluant librement avec donc taux de change flexible. Puisque l'euro coûté moins cher sur les marchés internationaux que ce que coûterait le deutshche mark, cela veut dire que l'Allemagne a pu grandement exporté et donc renforcer son économie tout en faisant diminuer son chômage. C'est pourquoi les conséquences de la désindustrialisation se sont fait moins ressentir aussi en Allemagne par rapport en France. A cela s'ajoute les tendances démographiques différentes. Et l'Allemagne a pu limité les conséquences de désindustrialisation grâce au fait que l'euro soit une monnaie trop bon marché pour l'Allemagne. Les excédents commerciaux de l'Allemagne ont été énormes pour cette raison précise. En 2011, c'était même un excédent commercial plus élevé que l'excédent commercial chinois. Bien sûr, les événements en Ukraine en 2022 contribuent à modifier cet état de fait. Pour les pays du sud, c'est le contraire puisque le taux de change de l'euro est trop élevé par rapport à la compétitivité intrinsèque de leurs économies. Il n'est pas étonnant qu'au contraire de l'Allemagne, ces pays accumulent des déficits commerciaux. Le fait que la France souffre de déficits commerciaux importants se traduit d'une part par une perte de compétitivité de notre économie et d'autre part part une hémorragie de nos emplois industriels.
Cela explique en partie l'endettement massif de ces pays du sud de l'Europe comparé à l'Allemagne. Je rappelle également la politique ridicule des finances publiques en Italie sans oublier la politique du quoi qu'il en coûte de Macron en France. Il est étonnant de constater que la Suède qui n'est pas dans l'euro et qui n'a pas confiné, n'a que très peu augmenté sa dette publique. Avec cette augmentation de la dette publique, les marchés financiers devraient augmenter ses taux d'intérêt demandé à la France comme à l'Italie. Il y a donc une pression des marchés financiers pour acheter et obtenir des taux d'intérêt de plus en plus élevés de la part de la France qui sont surendettés. Pour que ce ne soit pas insupportable aux finances publiques de ces états, Mario Draghi avait expérimenté cela sur la Grèce. Il avait mis en place ce système d'assouplissement quantitatif. Il s'est pour cela de ce qui se passait aux Etats Unis au même moment. Il semble avoir oublié que les Etats Unis ne fonctionnent pas de la même manière que les états de l'Union européenne et ceux de la zone euro en particulier. Il a donc décidé que la banque centrale européenne autorise par ce qu'on appelle l'eurosystème, c'est à dire le système européen des banques centrales de la zone euro de racheter les créances émises par les états non pas tout de suite car les traités européens interdisent à la BCE d'acheter les créances des états. Il a vu que la BCE pouvait par l'intermédiaire de l'eurosystème demander aux banques centrales nationales de racheter des créances nationales sur le marché secondaire. C'est à dire qu'une fois qu'un état a émis une obligation, cette obligation en question peut être échangé ou vendu et rachetée sur les marchés justement. C'est ce qu'on appelle le marché secondaire.
Le 18 août 2022 à 02:15:46 :
Ceux qui veulent semer le chaos par l'inflation, comment peut on tolérer que des gens puissent exprimer des idées aussi destructrices ? Il faut interdire la remise en cause de l'euro comme monnaie nationale
En parlant d'inflation, l'inflation a commencé dès 2020 2021 notamment pour la consommation des ménages car la BCE, pour permettre à la France et l'Italien notamment de s'endetter au delà de la raison, a été obligé de racheter une partie de ses créances et donc de faire de la création monétaire. Et quand on augmente la création monétaire, ça produit de l'inflation. Le premier problème posé est celui de l'aléa moral. Concrètement cela veut dire qu'il faut être responsable des mesures politiques que l'on prend. Ainsi, si on prend des mesures d'endettement général, il est normal de payer avec des taux d'intérêt qui sont de plus en plus chers. C'est ce qui aurait du logiquement se passer. Or, si Macron a autant endetté la France, c'est qu'il s'est dit que c'était la BCE qui allait raquer de toute façon. Il pensait que l'ensemble de la zone euro allait être responsable de cette affaire. Il faut savoir que c'est une tradition française que les grandes crises économiques et financières, y compris celle de 1929, arrive en France avec un certain retard.
Donc même dans l'euro on a l'inflation. Donc cet argument ne tient plus.
Le 18 août 2022 à 02:15:46 :
Ceux qui veulent semer le chaos par l'inflation, comment peut on tolérer que des gens puissent exprimer des idées aussi destructrices ? Il faut interdire la remise en cause de l'euro comme monnaie nationale
Chaque fois que l'on suggère de redonner le pouvoir de création monétaire à l'Etat, inévitablement on entendra l'argument de l'inflation. L'argument est que permettre aux gouvernements de créer de la monnaie c'est ouvrir la porte à l'inflation. Alors oui certains gouvernements monarchiques voire élus plus récemment ont créés parfois des tensions inflationnistes. Cependant cet argument n'est pas suffisant car l'argent ne peut être qu'un bien collectif. Ce n'est pas parce que les autorités publiques à qui la gestion de ce pouvoir a été confiée en aient abusé que cela veut dire que la légitimité du collectif sur ce pouvoir ne puisse être remis en cause. Si on peut trouver des exemples d'abus de pouvoir de la planche à billets entraînant une hyperinflation, on a tendance à oublier les bienfaits dans le cadre d'un usage raisonnable. Il n'y a aucune raison pour que le pouvoir de création monétaire ne soit privatisé. L'élite bancaire en profite mais c'est tout. A part une minorité d'ultra riches, personne ne profite de ce système de privatisation de la monnaie. Et confier le pouvoir de création monétaire à une banque centrale indépendante au lieu de laisser comme maintenant, les banques commerciales influer indirectement sur le niveau de création monétaire, n'implique pas le retour de l'inflation.
Donc l'argument de l'inflation ne tient pas. Même si on sort de l'euro et qu'on permette à l'Etat de créer de la monnaie à la place des banques commerciales cela ne veut pas dire forcément de l'inflation.
Données du topic
- Auteur
- UUPA
- Date de création
- 18 août 2022 à 02:15:46
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