Topic de Estarossarab :

Mais BREAKING BAD c'est surcôté en fait

Le 13 août 2022 à 13:15:04 AlchimiePEM a écrit :

[13:13:03] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 13:10:27 AlchimiePEM a écrit :

[13:04:52] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 13:00:24 AlchimiePEM a écrit :

[12:58:45] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 12:57:00 HelpMeNoWwww a écrit :
Ozymandias :bave:

Et Felina aussi quand même. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520260980-risitas94.png

Bof, l'épisode est bon dans sa globalité mais je trouve que ça se déroule vraiment trop bien

Oui Walt a droit à son happy end, disons que c'est sa récompense pour avoir enfin accepté de dire qu'il faisait tout ça pour lui-même. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

J'aurai aimé que ça se termine vraiment mal en vrai, pour te dire "tu vas assumer tous les mauvais choix que tu as fait mon pote"

Ouais, après bon la série est pas tendre non plus, Hank meurt etc, y'a 0 karma ou autre connerie du genre. On sait pas si la famille de Walt aura son fric, voudra de son fric, Walt meurt, certes avec le sourire mais meurt quand même, je trouve que c'est bien dosé. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png

Ouais, au final il aura été un cancer pour tout le monde. Il a détruit la vie de chaque personne qu'il a rencontré.
Ce que je trouve dommageable, c'est que malgré son nombre incroyable d'exactions, il réussi son objectif initial.

Bah quand on te promet la mort dès l'épisode 1 et que tu intègres ce fait, effectivement tu ne peux que réussir ton objectif, au fond, puisque c'est ce qui attend tout le monde. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Par contre ouais pour Walt le cancer de tout le monde, et le plus gros apport de BCS c'est clairement de montrer à quel point ce que Walt a détruit en un an était énorme et extrêmement bien rôdé. https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366197-risitas10.png

Le 13 août 2022 à 13:15:54 :

Le 13 août 2022 à 12:36:50 :
J'en suis à la saison finale, franchement ça se regarde mais c'est pas le chef-d'œuvre qu'on m'a vendu.

Le problème habituel des séries avec un pitch intéressant : ils veulent en faire beaucoup avec peu de contenu. Si la série avait été concentrée en deux saisons, ça aurait pu être bon.

C'est exactement ce que je me suis dis.

Si Breaking Bad tenais sur 2 saison + un film ou 3 saison max ça aurait été un chef d'oeuvre car moins de scènes/épisodes/personnages inutile. L'intrigue resterait constante que ça soit dans la psychologie des perso comme dans l'action.

Le 13 août 2022 à 13:17:24 :
Pcq pour l'époque on avait enfin une série qui tenait la route et qui est pas partie en vrille, et pcq yavait la hype portée par AL et jessi hommerose

Mais voilà on est entré dans l'air ou ca vieillit mal.

Moi ce qui me pompe de me la refaire c'est skyler, j'aime pas sa gueule.

Perso à chaque fois que y'a une scène avec les karens (Marie/Skyler) :d) x1.75

7 pages et toujours 0 argument côté opax, moyenne basse. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png

[13:17:37] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 13:15:04 AlchimiePEM a écrit :

[13:13:03] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 13:10:27 AlchimiePEM a écrit :

[13:04:52] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 13:00:24 AlchimiePEM a écrit :

[12:58:45] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 12:57:00 HelpMeNoWwww a écrit :
Ozymandias :bave:

Et Felina aussi quand même. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520260980-risitas94.png

Bof, l'épisode est bon dans sa globalité mais je trouve que ça se déroule vraiment trop bien

Oui Walt a droit à son happy end, disons que c'est sa récompense pour avoir enfin accepté de dire qu'il faisait tout ça pour lui-même. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

J'aurai aimé que ça se termine vraiment mal en vrai, pour te dire "tu vas assumer tous les mauvais choix que tu as fait mon pote"

Ouais, après bon la série est pas tendre non plus, Hank meurt etc, y'a 0 karma ou autre connerie du genre. On sait pas si la famille de Walt aura son fric, voudra de son fric, Walt meurt, certes avec le sourire mais meurt quand même, je trouve que c'est bien dosé. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png

Ouais, au final il aura été un cancer pour tout le monde. Il a détruit la vie de chaque personne qu'il a rencontré.
Ce que je trouve dommageable, c'est que malgré son nombre incroyable d'exactions, il réussi son objectif initial.

Bah quand on te promet la mort dès l'épisode 1 et que tu intègres ce fait, effectivement tu ne peux que réussir ton objectif, au fond, puisque c'est ce qui attend tout le monde. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Par contre ouais pour Walt le cancer de tout le monde, et le plus gros apport de BCS c'est clairement de montrer à quel point ce que Walt a détruit en un an était énorme et extrêmement bien rôdé. https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366197-risitas10.png

je parlais de mettre sa famille à l'abri :hap:

De toutes façons, il me semble qu'on sauve carrament Walter White dans un braquage sur gta online, non ? Le 2, the prison break :hap:

https://gta.fandom.com/wiki/The_Prison_Break
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/32/6/1660389705-image.png
Bon ok, c'est pas lui mais il y ressemble clairement

Breaking Bad c'est, au sortir du visionnage de cinq saisons exceptionnelles, une superbe série noire, glauque, remarquablement écrite, qui cristallise en un seul personnage, Walter White, tous les maux d'une société mise à mal par la crise.

Sur la forme, c'est un quasi sans faute. La réalisation est excellente, avec une multiplicité de prises de vues inventives (au point que par moments, ça frise le "too much") toujours au service de la narration. La musique est toujours appropriée, que ce soit celle composée pour la série ou les morceaux choisis en contrepoint des images qui défilent.

Sur le fond, les arcs narratifs déployés tout au long des cinq saisons sont remarquables, avec un suspens savamment distillé, mettant en exergue des situations où la morale et les valeurs des personnages sont constamment maltraitées... Le tandem phare "Pinkman / White" entretient une relation équivoque qui sous-tend toute les intrigues, entre fidélité et mépris, erzatz de filiation et rejet épidermique. Tous les personnages entrants et sortants sont ciselés, fouillés, (Saul Goodman, Gustavo Fring), jamais accessoires... Quant au casting, si la performance de Bryan Cranston crève l'écran, Aaron Paul en Jesse Pinkman n'a jamais cessé de me bluffer, incarnant la fragilité de son personnage avec une justesse rare...

À mon sens, Breaking Bad est moins l'histoire d'un homme qui pète un plomb (ce n'est vrai que le temps de quelques épisodes dans la première saison) que l'histoire d'un homme qui rejette les valeurs d'une société qui ne fonctionne plus, qui ne peut pas le soutenir, à qui il a donné sans compter sans jamais rien recevoir en retour. Animé d'un orgueil allant toujours croissant, Walter White rejette toute main tendue, veut vivre "son" rêve américain qui tourne au cauchemar, réussir seul, en dehors des limites imposées par la morale et accessoirement la loi.

Vous me direz, avec ou sans crise, l'histoire serait la même, mais je ne suis pas certain que Breaking Bad aurait une telle résonance sans ce contexte bien particulier que traverse notre époque depuis mi 2007 côté US. L'économie folle qui s'effondre, les valeurs positives du modèle américain qui battent de l'aile, la réussite court termiste se nourrissant du désespoir général...

Walter White refuse de mourir gentiment en laissant sa famille ruinée comme ce pays incapable de lui apporter des solutions le lui demande. Il décide de se battre, de "s'amoraliser" toujours plus afin d'échapper à l'inéluctable... Walter White est un homme en crise qui défie la défaite annoncée de son existence. Une existence qu'il a subi, qu'il reprend en main de façon la plus abjecte à son crépuscule.

A présent que la série est achevée, on peut légitimement qualifier Breaking Bad de chef d'oeuvre. Quoique prévisible, sa conclusion est orchestrée avec une maestria sans commune mesure ou presque (Dans des registres différents, The Wire et Six Feet Under atteignent des sommets équivalents où (a)moralité et émotion se confondent) qui marque durablement le spectateur. Jusqu'au bout, l'ambivalence du personnage de Walter White a persisté. Un formidable salaud sur lequel il est bien complexe de se prononcer, qui va hanter longtemps les futures productions de séries souhaitant s'inscrire dans ce registre.

Pareil gros surcotage.
Je l'ai regardé en même temps que la diffusion
live et j'ai arrêté à l'épisode de la mouche tellement
ça m'avait saoulé.
Après y'a eu tellement de bruit autour de la série
que j'ai repris quelques années plus tard.
C'était mieux que les 3 premières saison
mais pas le chef d'œuvre qu'on nous vend.

Dexter les 5 premières saisons c'est devant,
the shield, the wire,boardwalk empire,sopranos,
Spartacus les 2 premières saisons, prison break
les 2 premières saisons, OZ,GOT jusqu'à la saison 6
et sûrement d'autres encore...

[13:21:50] <Minoriteoprime>
De toutes façons, il me semble qu'on sauve carrament Walter White dans un braquage sur gta online, non ? Le 2, the prison break :hap:

https://gta.fandom.com/wiki/The_Prison_Break
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/32/6/1660389705-image.png
Bon ok, c'est pas lui mais il y ressemble clairement

Sûrement une référence :hap:

Le 13 août 2022 à 13:22:00 :
Breaking Bad c'est, au sortir du visionnage de cinq saisons exceptionnelles, une superbe série noire, glauque, remarquablement écrite, qui cristallise en un seul personnage, Walter White, tous les maux d'une société mise à mal par la crise.

Sur la forme, c'est un quasi sans faute. La réalisation est excellente, avec une multiplicité de prises de vues inventives (au point que par moments, ça frise le "too much") toujours au service de la narration. La musique est toujours appropriée, que ce soit celle composée pour la série ou les morceaux choisis en contrepoint des images qui défilent.

Sur le fond, les arcs narratifs déployés tout au long des cinq saisons sont remarquables, avec un suspens savamment distillé, mettant en exergue des situations où la morale et les valeurs des personnages sont constamment maltraitées... Le tandem phare "Pinkman / White" entretient une relation équivoque qui sous-tend toute les intrigues, entre fidélité et mépris, erzatz de filiation et rejet épidermique. Tous les personnages entrants et sortants sont ciselés, fouillés, (Saul Goodman, Gustavo Fring), jamais accessoires... Quant au casting, si la performance de Bryan Cranston crève l'écran, Aaron Paul en Jesse Pinkman n'a jamais cessé de me bluffer, incarnant la fragilité de son personnage avec une justesse rare...

À mon sens, Breaking Bad est moins l'histoire d'un homme qui pète un plomb (ce n'est vrai que le temps de quelques épisodes dans la première saison) que l'histoire d'un homme qui rejette les valeurs d'une société qui ne fonctionne plus, qui ne peut pas le soutenir, à qui il a donné sans compter sans jamais rien recevoir en retour. Animé d'un orgueil allant toujours croissant, Walter White rejette toute main tendue, veut vivre "son" rêve américain qui tourne au cauchemar, réussir seul, en dehors des limites imposées par la morale et accessoirement la loi.

Vous me direz, avec ou sans crise, l'histoire serait la même, mais je ne suis pas certain que Breaking Bad aurait une telle résonance sans ce contexte bien particulier que traverse notre époque depuis mi 2007 côté US. L'économie folle qui s'effondre, les valeurs positives du modèle américain qui battent de l'aile, la réussite court termiste se nourrissant du désespoir général...

Walter White refuse de mourir gentiment en laissant sa famille ruinée comme ce pays incapable de lui apporter des solutions le lui demande. Il décide de se battre, de "s'amoraliser" toujours plus afin d'échapper à l'inéluctable... Walter White est un homme en crise qui défie la défaite annoncée de son existence. Une existence qu'il a subi, qu'il reprend en main de façon la plus abjecte à son crépuscule.

A présent que la série est achevée, on peut légitimement qualifier Breaking Bad de chef d'oeuvre. Quoique prévisible, sa conclusion est orchestrée avec une maestria sans commune mesure ou presque (Dans des registres différents, The Wire et Six Feet Under atteignent des sommets équivalents où (a)moralité et émotion se confondent) qui marque durablement le spectateur. Jusqu'au bout, l'ambivalence du personnage de Walter White a persisté. Un formidable salaud sur lequel il est bien complexe de se prononcer, qui va hanter longtemps les futures productions de séries souhaitant s'inscrire dans ce registre.

Non

Le 13 août 2022 à 13:22:00 :
Breaking Bad c'est, au sortir du visionnage de cinq saisons exceptionnelles, une superbe série noire, glauque, remarquablement écrite, qui cristallise en un seul personnage, Walter White, tous les maux d'une société mise à mal par la crise.

Sur la forme, c'est un quasi sans faute. La réalisation est excellente, avec une multiplicité de prises de vues inventives (au point que par moments, ça frise le "too much") toujours au service de la narration. La musique est toujours appropriée, que ce soit celle composée pour la série ou les morceaux choisis en contrepoint des images qui défilent.

Sur le fond, les arcs narratifs déployés tout au long des cinq saisons sont remarquables, avec un suspens savamment distillé, mettant en exergue des situations où la morale et les valeurs des personnages sont constamment maltraitées... Le tandem phare "Pinkman / White" entretient une relation équivoque qui sous-tend toute les intrigues, entre fidélité et mépris, erzatz de filiation et rejet épidermique. Tous les personnages entrants et sortants sont ciselés, fouillés, (Saul Goodman, Gustavo Fring), jamais accessoires... Quant au casting, si la performance de Bryan Cranston crève l'écran, Aaron Paul en Jesse Pinkman n'a jamais cessé de me bluffer, incarnant la fragilité de son personnage avec une justesse rare...

À mon sens, Breaking Bad est moins l'histoire d'un homme qui pète un plomb (ce n'est vrai que le temps de quelques épisodes dans la première saison) que l'histoire d'un homme qui rejette les valeurs d'une société qui ne fonctionne plus, qui ne peut pas le soutenir, à qui il a donné sans compter sans jamais rien recevoir en retour. Animé d'un orgueil allant toujours croissant, Walter White rejette toute main tendue, veut vivre "son" rêve américain qui tourne au cauchemar, réussir seul, en dehors des limites imposées par la morale et accessoirement la loi.

Vous me direz, avec ou sans crise, l'histoire serait la même, mais je ne suis pas certain que Breaking Bad aurait une telle résonance sans ce contexte bien particulier que traverse notre époque depuis mi 2007 côté US. L'économie folle qui s'effondre, les valeurs positives du modèle américain qui battent de l'aile, la réussite court termiste se nourrissant du désespoir général...

Walter White refuse de mourir gentiment en laissant sa famille ruinée comme ce pays incapable de lui apporter des solutions le lui demande. Il décide de se battre, de "s'amoraliser" toujours plus afin d'échapper à l'inéluctable... Walter White est un homme en crise qui défie la défaite annoncée de son existence. Une existence qu'il a subi, qu'il reprend en main de façon la plus abjecte à son crépuscule.

A présent que la série est achevée, on peut légitimement qualifier Breaking Bad de chef d'oeuvre. Quoique prévisible, sa conclusion est orchestrée avec une maestria sans commune mesure ou presque (Dans des registres différents, The Wire et Six Feet Under atteignent des sommets équivalents où (a)moralité et émotion se confondent) qui marque durablement le spectateur. Jusqu'au bout, l'ambivalence du personnage de Walter White a persisté. Un formidable salaud sur lequel il est bien complexe de se prononcer, qui va hanter longtemps les futures productions de séries souhaitant s'inscrire dans ce registre.

En fait plutôt que de rejeter une société il l'épouse intégralement. Il devient totalement ce qu'il rejeté au début.

Le 13 août 2022 à 13:23:34 :

[13:21:50] <Minoriteoprime>
De toutes façons, il me semble qu'on sauve carrament Walter White dans un braquage sur gta online, non ? Le 2, the prison break :hap:

https://gta.fandom.com/wiki/The_Prison_Break
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/32/6/1660389705-image.png
Bon ok, c'est pas lui mais il y ressemble clairement

Sûrement une référence :hap:

GOT jusqu'à la saison 6 introllable en effet

Est ce que le succès de la série c'est pas
que un blanc lambda + devient un big boss
du trafic de drogue, un caïd qui met à l'amende
les latinos et noirs du crime.

Une sorte de fantasme chez certains...

Le 13 août 2022 à 13:25:07 :
Est ce que le succès de la série c'est pas
que un blanc lambda + devient un big boss
du trafic de drogue, un caïd qui met à l'amende
les latinos et noirs du crime.

Une sorte de fantasme chez certains...

Je dirais plus une fascination pour la narco-culture

Le 13 août 2022 à 13:21:13 AlchimiePEM a écrit :

[13:17:37] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 13:15:04 AlchimiePEM a écrit :

[13:13:03] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 13:10:27 AlchimiePEM a écrit :

[13:04:52] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 13:00:24 AlchimiePEM a écrit :

[12:58:45] <emsigollyS>

Le 13 août 2022 à 12:57:00 HelpMeNoWwww a écrit :
Ozymandias :bave:

Et Felina aussi quand même. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520260980-risitas94.png

Bof, l'épisode est bon dans sa globalité mais je trouve que ça se déroule vraiment trop bien

Oui Walt a droit à son happy end, disons que c'est sa récompense pour avoir enfin accepté de dire qu'il faisait tout ça pour lui-même. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

J'aurai aimé que ça se termine vraiment mal en vrai, pour te dire "tu vas assumer tous les mauvais choix que tu as fait mon pote"

Ouais, après bon la série est pas tendre non plus, Hank meurt etc, y'a 0 karma ou autre connerie du genre. On sait pas si la famille de Walt aura son fric, voudra de son fric, Walt meurt, certes avec le sourire mais meurt quand même, je trouve que c'est bien dosé. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png

Ouais, au final il aura été un cancer pour tout le monde. Il a détruit la vie de chaque personne qu'il a rencontré.
Ce que je trouve dommageable, c'est que malgré son nombre incroyable d'exactions, il réussi son objectif initial.

Bah quand on te promet la mort dès l'épisode 1 et que tu intègres ce fait, effectivement tu ne peux que réussir ton objectif, au fond, puisque c'est ce qui attend tout le monde. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Par contre ouais pour Walt le cancer de tout le monde, et le plus gros apport de BCS c'est clairement de montrer à quel point ce que Walt a détruit en un an était énorme et extrêmement bien rôdé. https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366197-risitas10.png

je parlais de mettre sa famille à l'abri :hap:

Ah ouais mais finalement c'est encore l'ordre moral qu'il rejette, "a man provides for his family" une loi aussi bien partagée par les gentils que les méchants (prononcée par Gus), au fond Walt envoie vraiment chier aussi tout ça. Il revient pour dire à Eliott et Gretchen de donner l'argent mais il était prêt à se rendre avant que son ego soit piqué par leur interview, et je suis sûr qu'il a surtout pris du plaisir à leur foutre un coup de pression. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

En plus sa petite famille, son american dream tout dégueu fait aussi partie de ce qui l'a fait péter un plomb en apprenant son cancer je pense, il s'est sûrement dit "je subis cette vie bien rangée, 0 écart et tout ça me tombe quand même dessus". https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Bref c'est pas clair son rapport avec sa famille, on sait pas bien ce qui est de l'ordre de son ego et de l'ordre d'un réel attachement, je trouve. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png

Par contre le personnage est ambivalent jusqu'au moment où il bute la junky de Jesse.
Après il n'est plus ambivalent je trouve.

Le 13 août 2022 à 13:25:07 :
Est ce que le succès de la série c'est pas
que un blanc lambda + devient un big boss
du trafic de drogue, un caïd qui met à l'amende
les latinos et noirs du crime.

Une sorte de fantasme chez certains...

Si si j'avais d'ailleurs fait un topic la-dessus

C'est comme Black Panther avec les noirs :d) un pays noir plus avancée que les pays blancs ultra riche avec des hautes technologies etc

ça joue sur le fantasme ethnique

C'est d'ailleurs pour ça que beaucoup de blanc natio valide la série

Le 13 août 2022 à 13:28:07 :
Par contre le personnage est ambivalent jusqu'au moment où il bute la junky de Jesse.
Après il n'est plus ambivalent je trouve.

Il l'a bute pas, il l'a regarde mourir

Le 13 août 2022 à 13:29:03 Estarossarab a écrit :

Le 13 août 2022 à 13:28:07 :
Par contre le personnage est ambivalent jusqu'au moment où il bute la junky de Jesse.
Après il n'est plus ambivalent je trouve.

Il l'a bute pas, il l'a regarde mourir

Il la bute puisque s'il avait pas secoué Jesse elle aurait pas roulé sur le côté et se serait donc pas étouffée dans son vomi. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png
Les actes et leurs conséquences, le crash aérien, tout ça. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png

Les lows qui trouvent bcs ennuyant. Dès la 1ere saison c'est bien , vous avez juste pas l'habitude des bonnes séries.Regardez stranger things c'est mieux pour vous.

Données du topic

Auteur
Estarossarab
Date de création
13 août 2022 à 12:36:50
Nb. messages archivés
156
Nb. messages JVC
154
En ligne sur JvArchive 120