"Célestin, il a pas l'air très net ton futur travail ..."
Le 14 septembre 2022 à 09:12:32 :
B 2 pour ma part, ce n'est que Marseille c'est pas une grosse perte (même si c'est là où je vis)
Condoléances khey.
Bordel. Ce shithole de la République. Les écoles primaires sont tellement dégradées que l’état doit les prendre en charge en lieu et place de la municipalité. Les gens qui se garent n’importe où et ne respectent aucune règle (c’est Marseille bébé !).
Tu comptes revenir en France prochainement ?
Le 14 septembre 2022 à 20:11:08 :
Le 14 septembre 2022 à 09:12:32 :
B 2 pour ma part, ce n'est que Marseille c'est pas une grosse perte (même si c'est là où je visCondoléances khey.
Bordel. Ce shithole de la République. Les écoles primaires sont tellement dégradées que l’état doit les prendre en charge en lieu et place de la municipalité. Les gens qui se garent n’importe où et ne respectent aucune règle (c’est Marseille bébé !).
Tu comptes revenir en France prochainement ?
Malheureusement non je dois rester en Algérie à Marseille car je fais mes études là bas et je ne pourrai pas partir avant la fin, j'y suis bien encore pour 4 an 
Le 14 septembre 2022 à 23:52:23 :
Le 14 septembre 2022 à 20:11:08 :
Le 14 septembre 2022 à 09:12:32 :
B 2 pour ma part, ce n'est que Marseille c'est pas une grosse perte (même si c'est là où je visCondoléances khey.
Bordel. Ce shithole de la République. Les écoles primaires sont tellement dégradées que l’état doit les prendre en charge en lieu et place de la municipalité. Les gens qui se garent n’importe où et ne respectent aucune règle (c’est Marseille bébé !).
Tu comptes revenir en France prochainement ?Malheureusement non je dois rester
en Algérieà Marseille car je fais mes études là bas et je ne pourrai pas partir avant la fin, j'y suis bien encore pour 4 an
Fut, est et sera, malheureusement pour toi.
Réponses A/ et 2/ : tenter de dérober le pass du gardien et envoyer César.
Chapitre 12
CHS-X, jardins
Maeve et Thomas se balade. La brume, tel un ogre, les dévore. Ils sont chaudement habillés.
-Et tu lui as sérieusement répondu d’envoyer César ? 
-Que voulais-tu faire d’autre ? Envoyer des métahumains à la mort ? Dans métahumain, il y a humain. Et… après tout ce temps… ce sont nos amis, non ? 
-Heu… Je ne m’y attendais pas. Tu avais l’air plutôt contre les métahumains.
-Hodor nous a sauvé. Et les autres… sont chouettes aussi. C’est plutôt… tout ce qu’il y a derrière qui me fait peur.
-Et bien… Putain. J’veux dire, s’il envoie réellement César, tu peux avoir peur. Il est hors contrôle. Ce mec vit dans une autre réalité.
L’institut, la forteresse, cellule de Célestin.
Notre héros a eu le temps de noter les relèves de gardes. Le soir, elles ont lieu après chaque repas. Avec un peu de chance, s’il dérobe le pass du gardien, ce dernier quittera la forteresse sans s’apercevoir du larcin. Avec un peu de chance…
La porte s’ouvre sur son hôte, dont il subit l’hospitalité bien malgré lui. Il pousse devant lui un chariot chargé du repas concocté par le chef cuisto 
-Poté de choux au lard. Ça tient au corps par ce temps. 
-Pas comme si j’avais beaucoup l’occasion de sortir éprouver la rigueur du climat. 
-Pas faux. Si tu veux demain je demanderais que l’on t’apporte un gaspacho. Ça fera ambiance estival.
Connard
Le garde dépose le plateau et fait demi-tour. Alors qu’il pousse le chariot hors de la pièce, la main du diable apparait. Elle s’empare avec célérité du pass du gardien, qui se retrouve tout aussi rapidement dans les poches de jeune homme. Célestin sert les dents. C’est le moment de vérité. Ça passe ou ça casse.
Le garde suspend sa course et se retourne. La main du diable se dresse, prête à frapper
CHS-X, bureau de Valérie.
L’assistante se trouve derrière son bureau. Le Docteur et elle semblent plongés dans une conversation mouvementée.
-Comment réagit Macron ? 
-Il est ravi. Les pertes civils sont stratosphériques. Et bien sûr, pas de trace de Lucky Luke. Il m’appelle toutes les demie-heures pour me féliciter. 
-Il serait peut-être plus sage de rappeler César. Le ramener à l’institut.
-Si je rappelle César, nous fermons sur le champs. L’institut disparaît. Les locaux rasés. Et les occupants…
-Si nous ne le rappelons pas ?
-On ferme. Mais seulement ce soir. Demain au mieux.
-On a un délai…On risque la vie de centaine de personnes pour obtenir un délai.
-Voila. Le genre de délai qu’il faut mettre à profit.
-Que peut-on faire exactement pendant ce laps de temps ?
-Prier Valérie, prier. Prier pour que le nombre de victimes n’augmente pas. Prier pour que César nous ramène la tête de Lucky Luke sur un plateau et que je puisse offrir cette tête à Macron en échange de la notre. 
-…
CHS-X, jardins
Les deux amis continuent de discuter en faisant le tour des jardins qui servent de promenade aux métahumains. Ils tombent sur Hodor qui se joint à eux
-P’tain, ça fait je ne sais combien de temps que je bosse ici maintenant. Je n’en peux plus d’être enfermé ! Je tuerais pour boire un verre en terrasse !
-C’est vrai que la bière me manque parfois…
-La bière ? Qu’est ce que la bière ? 
-La bière ? C’est la matière dont sont fait les rêves, Hodor.
-La boisson des Dieux.
-J’aimerais bien goûter la boisson de Dieux moi…
-P’tain, c’est pas une vie quand même. Bordel. J’veux dire, vous connaissez rien au monde extérieur. Vous ne connaissez que l’institut.
-Promis Hodor, un jour on t’emmènera boire des bières à la terrasse d’un bar !
-Ouais ! Quand ce putain de temps permettra d’aller en terrasse.
-Et Riquiqui Célestin… Il est où ?
-Heu… plus si riquiqui que ça de ce que j’en ai vu. Va falloir que tu trouves un autre surnom.
-Ah bon ? Il a repris sa pilule comme même ? Je croyais que ca ne marchait pas deux fois de suite…
L’institut, la forteresse, cellule de Célestin.
Le garde s’approche maintenant de Célestin à grands pas. La main prend son élan.
-Au fait, l’assistante du Docteur m’a demandé de te remettre ça. Je ne sais pas toi, mais moi, je me la ferais bien…
-Ah… 
-D’habitude, je les préfère plus fraîche mais là… Bon Dieu… Je suppose que c’est vrai ce qu’on dit, les vieux pots, les meilleures confitures… Merde. Chuis en train d’glisser. Je ferais mieux de fermer ma gueule.
Le garde remet à Célestin un paquet soigneusement emballé. Le garde sort et l’ont entend la fermeture automatique de la porte s’enclencher. Célestin s’empresse d’ouvrir le paquet. Il trouve à l’intérieur…
La statuette de Valérie, sagement habillée. 
Accompagné d’un mot : Ces longues nuits s’apparentent à un hiver sans fin.
-Bordel. Elle se fout de ma gueule ? Qu’est-ce que… ? 
Tout à ses interrogations, Célestin va poser la statuette sur l’étagère au-dessus de son lit, visage retourné vers le mur, qu’elle ne soit pas reconnaissable de tous et à la vue de tout le monde.
L’institut, bureau de Valérie.
Le Docteur va pour prendre congé, lorsque…
« Alarme déclenchée niveau forteresse, intervention en cours »
L’alerte émane d’une petite centrale, sur le bureau de Valérie. Il s’agit d’une simple diffusion d’informations à destination de la direction. L’alarme ne résonne que dans la forteresse, et non dans tout l’institut.
-On dirait que nos prières n’ont pas été entendues. Ou alors salement mal interprétées. Quel paquet de merde va-t-il encore nous tomber sur la tête ?
L’institut, la forteresse, cellule de Célestin.
L’alarme résonne fort dans cette partie de l’institut. La porte s’ouvre à la volée et une colonne de soldats investit la cellule de Célestin
-Je l’avais pour ouvrir cette cellule. C’est forcément cet enfoiré qui a mon pass !
-On fouille ! 
Les gardes fouilles alors la cellule de fond en comble. Et ne trouvent rien.
-Allez. Vide tes poches.
Célestin, tremblant, approche les mains de ses poches. Il commence par retourner la poche gauche, qu’il sait ne pas contenir le passe…
-Tu ne veux pas aller encore moins vite ?
Le garde se précipite alors sur Célestin et retourne lui-même la poche droite. Qui est également et étonnamment vide.
-Putain de merde. Il ne reste qu’une solution. Foutez-moi cet enc*lé à poil.
Ce que les gardes s’empressent de faire. Et là encore, ils ne trouvent rien.
-Fouille anale !
Un soldat fait se pencher Célestin. Tousser. Il examine méticuleusement son anus à l’aide d’une lampe de poche. Ici aussi, chou blanc.
-Ouais. Bon. Désolé pour ça petit. Tu peux te rhabiller.
-Putain, mais le pass est où ? C’était ma première cellule ! J’ai été dans aucune autre !
-Alors, c’est que tu l’as perdu à l’extérieur des cellules. Va falloir les retrouver et vite. Mais il n’y a pas de risque d’évasion. Fin de l’alerte. Et…
-… 
-Vous autres, mettez-moi cet enfoiré aux arrêts simples. Ça lui apprendra à faire attention à ses clefs.
Les soldats quittent alors la cellule. Célestin regarde le désordre qu’il règne après le passage des soldats. Tout a été jeté à terre ou retourné. Puis il tâte fébrilement ses poches, n’’en revenant pas de ne pas avoir été pris. Où est ce pass ?
-Dis-moi, ça ne serait pas ça que tu cherches ? 
Entre le diable et Célestin flotte la main du diable qui tient le pass
-Bah alors. Fais pas cette tête. La main a juste repris le pass dans ta poche et l’a serré dans sa paume. Comme elle est invisible pour le commun des mortels, ce qui tient dans son poing l’est aussi…
-Je croyais que je contrôlais cette main ?
-C’est le cas. Ne t’en fais pas. Mais bon. À l’occasion elle peut donner… un coup de main.
-Ouais… 
-Bordel, Célestin, tu as vu l’état de ta thurne ? Il manque juste une bouteille de pisse et on se croirait de retour chez ta mère…
-Comment tu sais que…
-Range ta chambre. Ce soir on va se dégourdir les jambes !
-Range ta chambre… On se croirait vraiment de retour chez ma mère.
Marseille
Il flotte sur Marseille un pâle soleil que l’on s’attendrait plutôt à trouver dans le ciel de Dunkerque. Le sud de la France, comme le reste du territoire, subit la dégradation climatique en cours.
Marseille, Quartier général de Lucky Luke
Le pâle soleil Marseillais a cédé la place à la lumière triste des néons. César entre, escorté par les hommes de main de Lucky Luke. Il est recouvert de sang. Il n’y a que folie qui habite son être. Certaines personnes n’ont pas la même façon que les autres d’habiter le monde. César a sans nul doute un rapport particulier à celui-ci. Il est des soldats pour qui aller au front est un voyage sans retour. Non parce qu’ils y crèvent. Mais parce qu’ils n’ont de cesse d’y revenir. La mort est leur royaume et ils y règnent en despote. César est de ceux-là
Le QG, immense, ressemble à une ruche. Une ruche laborieuse. On y travaille à la chaîne. Des dizaines et des dizaines d’hommes sont occupés à détailler du haschich. Il est découpé, pesé, emballé dans du cellophane. L’herbe quand à elle est détaillée dans des pochons. Ce qui semble être des contre-maîtres passent entre les travailleurs, dispensant de précieux conseils, ils veillent au grain. Là, ils recommandent de ne pas trop chauffer le couteau pour la découpe, afin que le précieux THC ne s’évapore pas. Ici, ils vérifient la pesé. Le produit, ainsi préparé, est dispatché dans différentes sacoches, que des coursiers récupèrent et vont livrer en ville.
Plus loin, une petite armée est occupée à sortir des liasses de billets des pochettes rentrantes. Les défroisser. Et les introduire dans des machines qui compte le bénéfice.
Au sol, gît un homme, sa joue repose contre le béton froid. Sur son front on distingue un trou net par lequel est entrée une balle. En ressortant, elle a arraché tout l’arrière de son crâne.
César s’approche, toujours encadré par les hommes de main de Lucky Luke. Il plonge deux doigts dans le crâne du macchabée. Il les porte à sa bouche et semble goûter pleinement le sang et la cervelle qui se sont déposés dessus. Puis, considérant qu’il a réussi son entrée en scène, il se tourne vers le grand patron.
-On dirait que je t’ai enfin trouvé, Lucky Luke. Ça n’a pas été chose aisée. 
-J’aimerais pouvoir en dire autant à ton propos. Mais, il m’a suffit de suivre les cadavres pour tomber sur toi. 
-Les caïds n’aiment pas le grabuge. C’est bien ce que tu tente de devenir ? Le nouveau caïd qui règne sur Marseille ?
-Marseille, c’est un début, oui.
-Le futur patron de la pègre. Et pour cela tu élimines tes concurrents un à un. Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens…
-Que veux-tu… le capitalisme… Et je ne pense pas que Dieu reconnaisse grand monde là dedans.
-J’emmerde le capitalisme. Et j’emmerde Dieu.
César crache par terre, puis continue :
-Il a été plus simple de te faire venir à moi, plutôt que de te chercher.
-Je dois dire que tu y a mis les formes. Plusieurs centaines de morts… Que me vaut cet intérêt ?
-Comme tu as dit… Dieu ne va pas reconnaître grand monde dans le tas de merdes que je viens de lui envoyer. Et il ne te reconnaîtra pas non plus lorsque j’en aurai fini avec toi et que tu te présenteras devant ton créateur.
L’institut, la forteresse, Cellule de Célestin.
Célestin regarde par la fenêtre le triste soleil se coucher. Et la lune pas plus fière se lever.
-Mais, dis-moi… Si le diable existe, c’est que Dieu existe, non ?
Le diable ricane. Il semble peser le pour et le contre, puis déclare :
-Tu vois ce vide au-dessus de nos têtes, Célestin ? C'est Dieu... Le silence, c'est Dieu. L'absence, c'est Dieu. Dieu, c'est la solitude des hommes.
-Putain. Tu fais chier. Je te pose une question sérieuse. Tu pourrais répondre.
-Mais c’est ce que je viens de faire.
-Pas vraiment.
-Bon. On fout le camp ?
Célestin introduit alors doucement le pass dans la serrure. Il tourne la clé pousse la porte et sort. Devant lui un couloir étroit et obscur Au fond de ce couloir une porte entrouverte d’où nous parviennent les accords d’une musique qui en ce lieu nous paraît irréelle .
Célestin suit le couloir. Il parvient à une porte qui n’est pas fermée à clef. Il entre. Et se retrouve dans ce qui semble être la salle de repos et cuisine des gardes. Fort heureusement, personne n’est à l’intérieur. Il entreprend de la fouiller.
Marseille, QG de Lucky Luke
-Tu as fait tout ce chemin pour me buter ?
-Exact. Alors. Tu veux faire ça comment ? Une dernière volonté ? À moins que tu préfères me supplier de te laisser la vie sauve, en vain bien sûr, mais parfois les gens aiment faire ça ?
-Putain. Je pourrais te descendre moi-même sur le champs. Ou alors te faire canarder. Qu’est-ce qui me retient de le faire ? Explique-moi ça avant de ne plus m’amuser et que je ne te fasse passer l’arme à gauche ?
En effet, les hommes de main de Lucky Luke tiennent en joue César.
-C’est sûr que tu pourrais essayer. Mais entre vouloir et pouvoir, il y a tout un monde…
Les deux se toisent dans un silence que l’on pourrait couper au couteau. Pourtant, dans l’arrière fond du QG ce sont des milliers de barrettes de shit que l’on découpe au couteau.
-Voilà ce qu’on va faire. Je te défie en duel. À l’ancienne. Au colt Single Action Army. T’en penses quoi ?
-J’en pense que tu as trois mètres cinquante de gueule. Et que c’est une manière comme une autre de crever, si tu as envie de partir comme ça, ça me convient.
Lucky Luke claque des doigts. On apporte aussitôt une malette qu’il ouvre. L’intérieur est matelassé de satin rouge et repose en son sein deux Colts. Il en prend un et remet le second à César.
Les deux hommes se mettent à distance réglementaire. On lance entre les deux un mouchoir en soie. Et tout le monde regarde. Car tous savent que lorsque ce mouchoir touchera terre, les deux hommes feront feu
CHS-X, dortoir des agents
Thomas va se laver les dents. Il pisse une dernière fois avant de regagner sa chambre. Le lit de Célestin sert désormais de couche pour Guimauve, qui semble très heureux à chaque fois qu’il croise Valérie.
Maeve passe la tête par l’entre-bâillement de la porte.
-Tu es sûr de toi ?
-Sûr.
-Dans ce cas… Faisons le.
Et elle referme la porte
CHS-X, forteresse, salle de repos/cuisine des gardes
Célestin fouille à la recherche de… à la recherche de quoi d’ailleurs ? Sans doute rien de plus que l’aventure. L’ennuie de l’embastillement lui pèse. Et c’est une manière de tromper l’ennui comme une autre. Sur un meuble, une télé est restée allumée
Actualités toujours, un point sur la situation à Marseille où une vidéo à mis le feu aux poudres. En effet, sur le film qui circule sur les réseaux sociaux, on voit un jeune homme battu et contraint de subir un bizutage de la part d’une bande de « jeunes ». Suite à cela, des centaines de Tchétchènes ont envahi la ville pour venger celui qui serait un des leurs. La situation a fortement dégénérée, et des scènes de guerres civil ont pris place dans la capitale phocéenne. Le gouvernement, et particulièrement Emanuel Macron, ont été fortement critiqué par les oppositions pour son manque de réactivité. À l’heure actuelle, il y aurait des centaines de morts. L’armée a été appelée sur place et serait sur le point d’intervenir.
Marseille, QG de Lucky Luke
César ne regarde pas le mouchoir. Il le sent tomber. Juste avant que ce dernier ne touche le sol, il déclenche un de ses pouvoirs. Immédiatement, le Colt de Lucky Luke lui échappe des mains et est comme aimanté par César. Ce dernier pousse alors un cri strident qui crève les tympans des personnes autour. Il fait feu sur Lucky Luke qui s’écroule, touché en pleine tête. 
César s’envole deux mètres au-dessus du sol, et il se met à cracher du feu, carbonisant tous les hommes de main de Lucky Luke.
César s’avance alors et se penche au-dessus du cadavre de son adversaire :
-So long John « Lucky » Luke. Il ne suffit pas de tirer plus vite que son ombre. Encore faut-il pouvoir garder son arme en main.
Choix du chapitre
Ce choix peut paraître anodin. Et peut-être qu’il l’est. Mais peut-être qu’il est moins insignifiant qu’il n’y parait.
Après avoir fouillé la pièce des gardes, que va prendre Célestin comme butin ?
A/ un couteau
B/ des bières
C/ un bon gros casse-croûte
Le chapitre en image
Sommaire de la fic
Saison 1
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Spin-off saison 1
Saison 2
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Données du topic
- Auteur
- PetitPepin
- Date de création
- 8 août 2022 à 00:51:40
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