Topic de Cops7861 :

47% des criminels dans le métro de Paris sont originaires du Maghreb

Supprimé
Plus jeune je peux affirmé que 90 pourcent des maghrébins étaient totalement puceaux à 20 ans , jamais sorti avec une fille et donc ils n'avaient même pas embrassé une femme

Le 05 août 2022 à 10:52:44 :

Le 05 août 2022 à 10:35:54 :
I. Introduction: En matière de criminalité, il en va de la nationalité comme de la taille

Le lecteur de la présente contribution sait probablement que les adultes de plus de 175 centimètres commettent davantage d’infractions pénales que ceux de moins de 175 centimètres… Il s’agit là d’une évidence criminologique et la raison en est très simple : la population adulte de plus de 175 centimètres est principalement formée d’hommes, alors que les femmes sont largement surreprésentées parmi les adultes de moins de 175 centimètres. Sachant par ailleurs que les hommes sont davantage impliqués dans le phénomène criminel que les femmes, il est logique que les adultes les plus grands commettent la plus grande partie des infractions pénales. Néanmoins, chacun comprendra aisément que cette surreprésentation des grands dans la statistique criminelle n’a évidemment rien à voir avec la taille des personnes, mais bien avec leur sexe. Personne ne prônera donc une action sur l’hormone de croissance ou le coupage de jambes comme politique de prévention de la criminalité… Mais si ce raisonnement est tellement évident, alors pourquoi bon nombre de personnes ne sont-elles pas en mesure de le reproduire en matière d’implication des étrangers dans la criminalité?

Comme pour les adultes de plus de 175 centimètres, il est très simple de démontrer que les étrangers sont surreprésentés dans le phénomène criminel. Ces derniers représentent en effet un peu plus de 20% de la population de Suisse, mais quelque 50% des condamnés par les tribunaux suisses [1]. Mais, de la même manière que pour les adultes de plus de 175 centimètres, il est aussi relativement simple de démontrer que ce sont d’autres éléments que la nationalité qui influencent la criminalité.II. Les principales variables influençant la criminalité

Sachant que la surreprésentation des immigrants dans la criminalité est un phénomène universel qui s’observe donc dans tous les Etats , il paraît évident qu’il ne peut pas s’agir d’un simple problème de couleur de passeport !Mais quelles sont alors les variables déterminantes dans l’explication du phénomène criminel ? Comme il a été mentionné en introduction, l’une des principales variables explicative est le sexe. En effet, pour une distribution hommes/femmes d’environ moitié-moitié dans la population, il y a en Suisse quelque 85% d’hommes dans la statistique de condamnations pour seulement 15% de femmes.

Une autre variable importante dans l’explication du phénomène criminel est l’âge. Pour une proportion de quelque 30% de personnes de moins de 30 ans en Suisse, celles-ci sont environ 50% dans la statistique de condamnations.

C’est ainsi que le volume de la criminalité d’un Etat dépend fortement de la composition démographique de sa population. En effet, plus il y a de personnes du sexe et de la classe d’âge les plus criminogènes (soit des hommes et des jeunes), plus il y a de criminalité.

Puis vient encore le niveau socio-économique, puisqu’il ressort des derniers sondages que quelque 37% des résidents en Suisse proviennent de milieux socio-économiques modestes ou moyens inférieurs et que ces mêmes milieux produisent environ 60% de la délinquance. Pour leur part, les milieux moyens supérieurs et aisés (soit 63% de la population sondée) produisent environ 40% de la criminalité [2].

Et finalement, ce qui vaut pour les différences de statuts socio-économiques vaut également pour le niveau de formation. C’est ainsi que la moitié de notre population est de niveau de formation «modeste» (primaire, secondaire, école professionnelle, apprentissage), alors que ce même niveau de formation se retrouve pour quelque 68% de personnes en détention [3].

Le 05 août 2022 à 10:36:06 :
III. Modèle multivarié

Ce que nous avons présenté dans les deux sections précédentes permet de constater que le phénomène criminel est lié de manière bivariée à plusieurs facteurs. Mais cela ne nous avance pas beaucoup, puisque le crime proviendrait des grands, des étrangers, des jeunes, des hommes, des pauvres et/ou des plus modestement formés. A partir de là, chacun tirera ses conclusions, non pas sur la base de connaissances scientifiques, mais bien en fonction de sa tendance politique. En d’autres termes, ces corrélations bivariées ne nous disent pas grand chose pour ne pas dire rien du tout sur le phénomène criminel. Nous tenterons dès lors d’affiner l’analyse afin de rendre notre propos un peu plus scientifique.

Si nous avons déjà vu que la taille en tant que telle n’influence en rien le crime mais est entièrement contenue dans la variable sexe, il nous reste encore à déterminer quel est le poids respectif de chacune des cinq variables restantes dans l’explication du phénomène criminel. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre l’ensemble des variables explicatives du crime relevées ci-dessus dans un même modèle (qui ne sera donc plus bivarié, mais multivarié), modèle qui nous permettra de déterminer laquelle de ces variables explique la plus grande partie du crime, puis la valeur explicative supplémentaire de chacune des autres variables introduites dans le modèle.

En agissant de la sorte, on observe que la variable numéro un dans l’explication de la criminalité est le sexe. Le fait d’être un homme plutôt qu’une femme est donc l’élément le plus prédicteur de la commission d’une infraction [4]. En deuxième position on trouve l’âge; ainsi, le fait d’être un jeune homme est plus criminogène que le fait d’appartenir à toute autre catégorie. En troisième position vient ensuite le niveau socio-économique et finalement le niveau de formation.

En d’autres termes, le profil type du criminel est celui d’un homme, jeune, socio-économiquement défavorisé et de niveau de formation plutôt bas.

Et alors la nationalité dans tout cela? Eh bien la nationalité n’explique généralement aucune partie supplémentaire de la variance de la criminalité. En effet, la population migrante étant composée de manière surreprésentée de jeunes hommes défavorisés, la variable «nationalité» est comprise dans les autres et n’explique aucune part supplémentaire de la criminalité par rapport aux autres variables prises en considération ; ceci de manière identique à la taille qui est comprise dans le sexe dans l’exemple mentionné en introduction, les hommes étant en moyenne plus grands que les femmes.

Ce qui vient d’être exposé permet par ailleurs de comprendre pourquoi le constat que les étrangers commettent davantage de crimes que les nationaux est un phénomène universel. En effet, la migration, de manière générale, est principalement une affaire de jeunes plutôt que de vieux et d’hommes plutôt que de femmes. Sachant que les jeunes hommes représentent justement la partie de la population la plus criminogène, il est donc logique que la population migrante soit plus criminogène que ceux qui ne bougent pas de leur lieu de naissance.

Il est dès lors totalement erroné de comparer les étrangers aux nationaux, puisque l’on compare alors une population faite essentiellement de jeunes hommes à une population de nationaux vieillissants et composés des deux sexes à proportions à peu près égales. C’est ainsi que si l’on compare le taux de criminalité des étrangers à celui des nationaux du même sexe, de la même classe d’âge, de la même catégorie socio-économique et du même niveau de formation, la différence entre les nationaux et les étrangers disparaît.

Il arrive néanmoins que la nationalité explique tout de même une petite partie de la criminalité ; ceci dans le cas très particulier de migrants provenant d’un pays en guerre. En effet, l’exemple violent fourni par un Etat en guerre a tendance à désinhiber les citoyens qui deviennent alors, eux aussi, plus violents et exportent ensuite cette caractéristique dans le pays d’accueil. Ce phénomène est connu en criminologie sous le nom de «brutalisation». Ainsi, il semblerait que, lorsque l’immigration provient d’un pays en guerre, les quatre premières variables (sexe, âge, statut socio-économique et niveau de formation) ne suffisent pas à expliquer toute la criminalité ; la nationalité entre alors aussi dans le modèle explicatif, en cinquième position. Au contraire, lorsque l’immigration provient de pays non en guerre, la nationalité n’explique rien de plus que ce qui est déjà expliqué par les quatre premières variables.

Mentionnons encore que le phénomène de «brutalisation» que nous avons évoqué ci-dessus explique également pourquoi les Etats qui ont réintroduit la peine de mort aux Etats-Unis ont connu ensuite une augmentation de leur criminalité violente [5]… En effet, lorsque l’État procède lui-même à des exécutions capitales, il désinhibe les citoyens en les confortant dans l’idée que la violence est une manière adéquate de résoudre les conflits, augmentant ainsi le nombre de crimes violents. Le même effet de «brutalisation» permet probablement aussi de comprendre pourquoi, en Suisse, la punition ordinaire qu’infligent certains parents à leurs enfants lorsque ceux-ci font une bêtise est l’enfermement dans la chambre, alors qu’il s’agit aux yeux de la loi pénale d’une séquestration, passible d’une peine privative de liberté de cinq ans… Nous sommes donc tous brutalisés par nos systèmes étatiques respectifs que nous reproduisons ensuite, sans même nous en rendre compte, à plus petite échelle.

IV. Considérations de politique criminelle

Nous savons donc maintenant que les variables qui expliquent le phénomène criminel sont dans l’ordre :

Le sexe;
L’âge;
Le niveau socio-économique;
Le niveau de formation;
La nationalité (parfois).

La question qu’il reste à résoudre est de savoir comment cette connaissance peut être transposée en termes de mesures de prévention du crime. Si l’on prend les variables dans leur ordre d’importance explicative du phénomène criminel, on devrait envisager en premier lieu une politique de réduction de la masculinité… Il va néanmoins de soi que des politiques préconisant l’élimination des hommes ou l’encouragement de la natalité féminine contreviendraient non seulement à notre droit, mais seraient également fondamentalement contraires à notre sens de l’éthique. Les mêmes griefs peuvent d’ailleurs être avancés contre des politiques qui préconiseraient une élimination ou une ghettoïsation des jeunes. Quant à une politique de «dénatalisation», elle irait à l’encontre de l’intérêt de l’Etat à long terme.

Notons néanmoins que, pour ce qui est de la variable sexe, la féminisation d’une société ne passe pas forcément par une féminisation physique, mais pourrait tout aussi bien être à caractère sociologique. Cela reviendrait donc à rejeter les valeurs généralement attribuées à la gent masculine (tel le machisme) et à favoriser des valeurs que la société attribue plus volontiers aux femmes (telles que la tendresse).

En troisième lieu donc après le sexe et l’âge , il serait envisageable de songer à une prévention du crime passant par davantage d’égalité entre les habitants d’un pays et donc à éviter toute «société à deux vitesses». Puis, en quatrième lieu, il s’agirait d’envisager une amélioration du niveau de formation des plus démunis et des moins bien formés.

V. Conclusion

Si l’on cherche véritablement à lutter contre le crime et que l’on désire investir dans les mesures qui ont le plus grand potentiel de succès, il est impératif de commencer par envisager une action sur les variables les plus explicatives de la criminalité. Sachant par ailleurs que l’action sur le sexe et sur l’âge est difficilement réalisable et surtout éthiquement douteuse, les actions les plus à même de combattre le phénomène criminel semblent manifestement être les actions sociale [6] et éducative.

Comme le fait de s’attaquer à la taille des personnes, s’en prendre aux migrants consiste donc à se tromper de cible. Sans compter par ailleurs qu’il n’est pas certain qu’une politique d’élimination des étrangers soit vraiment plus éthique qu’une politique d’élimination des hommes ou des jeunes…

[1] Pour des données plus précises, nous renvoyons le lecteur au site internet de l’Office fédéral de la statistique (http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index.html), rubrique 19 Criminalité, droit pénal. Cela vaut d’ailleurs pour toutes les données chiffrées contenues dans le présent texte, à l’exception de celles pour lesquelles une autre source est indiquée.
[2] Sources: sondages suisses de délinquance autoreportée, de victimisation et de sentencing.
[3] Sources: sondages suisses et statistiques pénitentiaires américaines. Il n’existe pas en Suisse de données sur le niveau de formation des personnes condamnées et/ou incarcérées.
[4] Cela n’implique évidemment pas que tous les hommes commettent des crimes et que les femmes n’en commettraient jamais, mais simplement que, parmi les criminels, il y a une forte surreprésentation masculine.
[5] Dans ce contexte, l’hypothèse de la «brutalisation» a par exemple été vérifiée dans l’Etat d’Oklahoma par W. C. Bailey, «Deterrence, Brutalization, and the Death Penalty: Another Examination of Oklahoma’s Return to Capital Punishment», Criminology, vol. 36, 1998, pp. 711ss.
[6] Dont font d’ailleurs partie les politiques d’intégration des étrangers.

"Il arrive néanmoins que la nationalité explique tout de même une petite partie de la criminalité" Désolé, mais ceux qui remplissent les prisons ne viennent pas de pays en guerre, sont même nés ici. Même en allemagne (là où les stats sont autorisées), ce sont les dz en première ligne...

Le 05 août 2022 à 10:59:45 :

Le 05 août 2022 à 10:56:42 :

Le 05 août 2022 à 10:55:21 :

Le 05 août 2022 à 10:51:14 :

Le 05 août 2022 à 10:48:50 :

Le 05 août 2022 à 10:46:24 :

Les européens étaient réduits en esclavage par centaine de milliers par les maghrébins avant la colonisation (on parle de plus d'1 millions pour seulement alger et tripoli).

Rappelle moi en quelle langue es-tu en train d'écrire Jean Moustafa ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

On va évoquer le fait que vos soeurs essayent de parler arabe pour se donner un style pour qu'on les nike, vous allez commencer a bouder.

On va surtout parler de votre misère sexuelle qui fait que vous êtes obliger d'allez prendre vos propres soeurs au bled ahi https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Et c'est pas plutôt nos frères qui vous intéressent dans les cités ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Misere sexuelle ? C'est pas vous qui vous plaignez de pas baiser et du fait que c'est devenu plus dur de baiser qu'avant en 2022, alors que nous on remarque tout le contraire, que les meufs sont toute devenues des folles ultra facile a baiser ? :rire: :rire: :rire: :rire: :rire:

Le déni est toujours incroyable dans votre communauté putain https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Ayaaaaaa mais vous êtes trop gênants c'est grave :rire:

N'oublie jamais une chose : un blanc ne peut serrer qu'une blanche (et encore pas toutes :rire:) , alors que nous on a accés a des maghrébines, blanches, noires, métisses.

Et en chiffre ça donne quoi du coup ? Juste pour rire
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/34/1/1503323049-ash-ketchum-sasha-1.png

Le 05 août 2022 à 10:59:57 :

Le 05 août 2022 à 10:58:36 :

Le 05 août 2022 à 10:55:29 :

Le 05 août 2022 à 10:53:47 :

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I. Introduction: En matière de criminalité, il en va de la nationalité comme de la taille

Le lecteur de la présente contribution sait probablement que les adultes de plus de 175 centimètres commettent davantage d’infractions pénales que ceux de moins de 175 centimètres… Il s’agit là d’une évidence criminologique et la raison en est très simple : la population adulte de plus de 175 centimètres est principalement formée d’hommes, alors que les femmes sont largement surreprésentées parmi les adultes de moins de 175 centimètres. Sachant par ailleurs que les hommes sont davantage impliqués dans le phénomène criminel que les femmes, il est logique que les adultes les plus grands commettent la plus grande partie des infractions pénales. Néanmoins, chacun comprendra aisément que cette surreprésentation des grands dans la statistique criminelle n’a évidemment rien à voir avec la taille des personnes, mais bien avec leur sexe. Personne ne prônera donc une action sur l’hormone de croissance ou le coupage de jambes comme politique de prévention de la criminalité… Mais si ce raisonnement est tellement évident, alors pourquoi bon nombre de personnes ne sont-elles pas en mesure de le reproduire en matière d’implication des étrangers dans la criminalité?

Comme pour les adultes de plus de 175 centimètres, il est très simple de démontrer que les étrangers sont surreprésentés dans le phénomène criminel. Ces derniers représentent en effet un peu plus de 20% de la population de Suisse, mais quelque 50% des condamnés par les tribunaux suisses [1]. Mais, de la même manière que pour les adultes de plus de 175 centimètres, il est aussi relativement simple de démontrer que ce sont d’autres éléments que la nationalité qui influencent la criminalité.II. Les principales variables influençant la criminalité

Sachant que la surreprésentation des immigrants dans la criminalité est un phénomène universel qui s’observe donc dans tous les Etats , il paraît évident qu’il ne peut pas s’agir d’un simple problème de couleur de passeport !Mais quelles sont alors les variables déterminantes dans l’explication du phénomène criminel ? Comme il a été mentionné en introduction, l’une des principales variables explicative est le sexe. En effet, pour une distribution hommes/femmes d’environ moitié-moitié dans la population, il y a en Suisse quelque 85% d’hommes dans la statistique de condamnations pour seulement 15% de femmes.

Une autre variable importante dans l’explication du phénomène criminel est l’âge. Pour une proportion de quelque 30% de personnes de moins de 30 ans en Suisse, celles-ci sont environ 50% dans la statistique de condamnations.

C’est ainsi que le volume de la criminalité d’un Etat dépend fortement de la composition démographique de sa population. En effet, plus il y a de personnes du sexe et de la classe d’âge les plus criminogènes (soit des hommes et des jeunes), plus il y a de criminalité.

Puis vient encore le niveau socio-économique, puisqu’il ressort des derniers sondages que quelque 37% des résidents en Suisse proviennent de milieux socio-économiques modestes ou moyens inférieurs et que ces mêmes milieux produisent environ 60% de la délinquance. Pour leur part, les milieux moyens supérieurs et aisés (soit 63% de la population sondée) produisent environ 40% de la criminalité [2].

Et finalement, ce qui vaut pour les différences de statuts socio-économiques vaut également pour le niveau de formation. C’est ainsi que la moitié de notre population est de niveau de formation «modeste» (primaire, secondaire, école professionnelle, apprentissage), alors que ce même niveau de formation se retrouve pour quelque 68% de personnes en détention [3].

Le 05 août 2022 à 10:36:06 :
III. Modèle multivarié

Ce que nous avons présenté dans les deux sections précédentes permet de constater que le phénomène criminel est lié de manière bivariée à plusieurs facteurs. Mais cela ne nous avance pas beaucoup, puisque le crime proviendrait des grands, des étrangers, des jeunes, des hommes, des pauvres et/ou des plus modestement formés. A partir de là, chacun tirera ses conclusions, non pas sur la base de connaissances scientifiques, mais bien en fonction de sa tendance politique. En d’autres termes, ces corrélations bivariées ne nous disent pas grand chose pour ne pas dire rien du tout sur le phénomène criminel. Nous tenterons dès lors d’affiner l’analyse afin de rendre notre propos un peu plus scientifique.

Si nous avons déjà vu que la taille en tant que telle n’influence en rien le crime mais est entièrement contenue dans la variable sexe, il nous reste encore à déterminer quel est le poids respectif de chacune des cinq variables restantes dans l’explication du phénomène criminel. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre l’ensemble des variables explicatives du crime relevées ci-dessus dans un même modèle (qui ne sera donc plus bivarié, mais multivarié), modèle qui nous permettra de déterminer laquelle de ces variables explique la plus grande partie du crime, puis la valeur explicative supplémentaire de chacune des autres variables introduites dans le modèle.

En agissant de la sorte, on observe que la variable numéro un dans l’explication de la criminalité est le sexe. Le fait d’être un homme plutôt qu’une femme est donc l’élément le plus prédicteur de la commission d’une infraction [4]. En deuxième position on trouve l’âge; ainsi, le fait d’être un jeune homme est plus criminogène que le fait d’appartenir à toute autre catégorie. En troisième position vient ensuite le niveau socio-économique et finalement le niveau de formation.

En d’autres termes, le profil type du criminel est celui d’un homme, jeune, socio-économiquement défavorisé et de niveau de formation plutôt bas.

Et alors la nationalité dans tout cela? Eh bien la nationalité n’explique généralement aucune partie supplémentaire de la variance de la criminalité. En effet, la population migrante étant composée de manière surreprésentée de jeunes hommes défavorisés, la variable «nationalité» est comprise dans les autres et n’explique aucune part supplémentaire de la criminalité par rapport aux autres variables prises en considération ; ceci de manière identique à la taille qui est comprise dans le sexe dans l’exemple mentionné en introduction, les hommes étant en moyenne plus grands que les femmes.

Ce qui vient d’être exposé permet par ailleurs de comprendre pourquoi le constat que les étrangers commettent davantage de crimes que les nationaux est un phénomène universel. En effet, la migration, de manière générale, est principalement une affaire de jeunes plutôt que de vieux et d’hommes plutôt que de femmes. Sachant que les jeunes hommes représentent justement la partie de la population la plus criminogène, il est donc logique que la population migrante soit plus criminogène que ceux qui ne bougent pas de leur lieu de naissance.

Il est dès lors totalement erroné de comparer les étrangers aux nationaux, puisque l’on compare alors une population faite essentiellement de jeunes hommes à une population de nationaux vieillissants et composés des deux sexes à proportions à peu près égales. C’est ainsi que si l’on compare le taux de criminalité des étrangers à celui des nationaux du même sexe, de la même classe d’âge, de la même catégorie socio-économique et du même niveau de formation, la différence entre les nationaux et les étrangers disparaît.

Il arrive néanmoins que la nationalité explique tout de même une petite partie de la criminalité ; ceci dans le cas très particulier de migrants provenant d’un pays en guerre. En effet, l’exemple violent fourni par un Etat en guerre a tendance à désinhiber les citoyens qui deviennent alors, eux aussi, plus violents et exportent ensuite cette caractéristique dans le pays d’accueil. Ce phénomène est connu en criminologie sous le nom de «brutalisation». Ainsi, il semblerait que, lorsque l’immigration provient d’un pays en guerre, les quatre premières variables (sexe, âge, statut socio-économique et niveau de formation) ne suffisent pas à expliquer toute la criminalité ; la nationalité entre alors aussi dans le modèle explicatif, en cinquième position. Au contraire, lorsque l’immigration provient de pays non en guerre, la nationalité n’explique rien de plus que ce qui est déjà expliqué par les quatre premières variables.

Mentionnons encore que le phénomène de «brutalisation» que nous avons évoqué ci-dessus explique également pourquoi les Etats qui ont réintroduit la peine de mort aux Etats-Unis ont connu ensuite une augmentation de leur criminalité violente [5]… En effet, lorsque l’État procède lui-même à des exécutions capitales, il désinhibe les citoyens en les confortant dans l’idée que la violence est une manière adéquate de résoudre les conflits, augmentant ainsi le nombre de crimes violents. Le même effet de «brutalisation» permet probablement aussi de comprendre pourquoi, en Suisse, la punition ordinaire qu’infligent certains parents à leurs enfants lorsque ceux-ci font une bêtise est l’enfermement dans la chambre, alors qu’il s’agit aux yeux de la loi pénale d’une séquestration, passible d’une peine privative de liberté de cinq ans… Nous sommes donc tous brutalisés par nos systèmes étatiques respectifs que nous reproduisons ensuite, sans même nous en rendre compte, à plus petite échelle.

IV. Considérations de politique criminelle

Nous savons donc maintenant que les variables qui expliquent le phénomène criminel sont dans l’ordre :

Le sexe;
L’âge;
Le niveau socio-économique;
Le niveau de formation;
La nationalité (parfois).

La question qu’il reste à résoudre est de savoir comment cette connaissance peut être transposée en termes de mesures de prévention du crime. Si l’on prend les variables dans leur ordre d’importance explicative du phénomène criminel, on devrait envisager en premier lieu une politique de réduction de la masculinité… Il va néanmoins de soi que des politiques préconisant l’élimination des hommes ou l’encouragement de la natalité féminine contreviendraient non seulement à notre droit, mais seraient également fondamentalement contraires à notre sens de l’éthique. Les mêmes griefs peuvent d’ailleurs être avancés contre des politiques qui préconiseraient une élimination ou une ghettoïsation des jeunes. Quant à une politique de «dénatalisation», elle irait à l’encontre de l’intérêt de l’Etat à long terme.

Notons néanmoins que, pour ce qui est de la variable sexe, la féminisation d’une société ne passe pas forcément par une féminisation physique, mais pourrait tout aussi bien être à caractère sociologique. Cela reviendrait donc à rejeter les valeurs généralement attribuées à la gent masculine (tel le machisme) et à favoriser des valeurs que la société attribue plus volontiers aux .

Je te conseille d'appliquer ton propre conseil à l'avenir tu t'épargnera d'avoir à fatiguer le peu de neurones que tu as :coeur:

T'as rien compris à mon message putain https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
Va te coucher

Le 05 août 2022 à 07:59:07 :
Il y a quand même plus d’agression par des non maghrébins, mais ça on en parle pas :honte:

Oui, sauf que
Les immigrés
TOUS, pas juste les maghrébins
c'est 10% de la population française.
Ils font donc 5 fois plus d'agressions et de crimes divers et variés que le français moyen.
OH et tant qu'a faire, voici leur part dans l'immigration en France.
Algérie (12,7 %), le Maroc (12 %), la Tunisie (4,5 % ).
Ils sont 30% de l'immigration.
Donc 3% de la pop française commet 50% des crimes.
:Drop the mic:

Le 05 août 2022 à 10:59:45 :

Le 05 août 2022 à 10:56:42 :

Le 05 août 2022 à 10:55:21 :

Le 05 août 2022 à 10:51:14 :

Le 05 août 2022 à 10:48:50 :

Le 05 août 2022 à 10:46:24 :

Les européens étaient réduits en esclavage par centaine de milliers par les maghrébins avant la colonisation (on parle de plus d'1 millions pour seulement alger et tripoli).

Rappelle moi en quelle langue es-tu en train d'écrire Jean Moustafa ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

On va évoquer le fait que vos soeurs essayent de parler arabe pour se donner un style pour qu'on les nike, vous allez commencer a bouder.

On va surtout parler de votre misère sexuelle qui fait que vous êtes obliger d'allez prendre vos propres soeurs au bled ahi https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Et c'est pas plutôt nos frères qui vous intéressent dans les cités ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Misere sexuelle ? C'est pas vous qui vous plaignez de pas baiser et du fait que c'est devenu plus dur de baiser qu'avant en 2022, alors que nous on remarque tout le contraire, que les meufs sont toute devenues des folles ultra facile a baiser ? :rire: :rire: :rire: :rire: :rire:

Le déni est toujours incroyable dans votre communauté putain https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Ayaaaaaa mais vous êtes trop gênants c'est grave :rire:

N'oublie jamais une chose : un blanc ne peut serrer qu'une blanche (et encore pas toutes :rire:) , alors que nous on a accés a des maghrébines, blanches, noires, métisses.

Ben voyons, mais il vit dans quel monde celui là. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640873279-golem-en-joie.png
Ah oui le 9-3 https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640873279-golem-en-joie.png

Le 05 août 2022 à 10:53:50 :

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Le 05 août 2022 à 10:44:20 :

Le 05 août 2022 à 10:35:54 :
I. Introduction: En matière de criminalité, il en va de la nationalité comme de la taille

Le lecteur de la présente contribution sait probablement que les adultes de plus de 175 centimètres commettent davantage d’infractions pénales que ceux de moins de 175 centimètres… Il s’agit là d’une évidence criminologique et la raison en est très simple : la population adulte de plus de 175 centimètres est principalement formée d’hommes, alors que les femmes sont largement surreprésentées parmi les adultes de moins de 175 centimètres. Sachant par ailleurs que les hommes sont davantage impliqués dans le phénomène criminel que les femmes, il est logique que les adultes les plus grands commettent la plus grande partie des infractions pénales. Néanmoins, chacun comprendra aisément que cette surreprésentation des grands dans la statistique criminelle n’a évidemment rien à voir avec la taille des personnes, mais bien avec leur sexe. Personne ne prônera donc une action sur l’hormone de croissance ou le coupage de jambes comme politique de prévention de la criminalité… Mais si ce raisonnement est tellement évident, alors pourquoi bon nombre de personnes ne sont-elles pas en mesure de le reproduire en matière d’implication des étrangers dans la criminalité?

Comme pour les adultes de plus de 175 centimètres, il est très simple de démontrer que les étrangers sont surreprésentés dans le phénomène criminel. Ces derniers représentent en effet un peu plus de 20% de la population de Suisse, mais quelque 50% des condamnés par les tribunaux suisses [1]. Mais, de la même manière que pour les adultes de plus de 175 centimètres, il est aussi relativement simple de démontrer que ce sont d’autres éléments que la nationalité qui influencent la criminalité.II. Les principales variables influençant la criminalité

Sachant que la surreprésentation des immigrants dans la criminalité est un phénomène universel qui s’observe donc dans tous les Etats , il paraît évident qu’il ne peut pas s’agir d’un simple problème de couleur de passeport !Mais quelles sont alors les variables déterminantes dans l’explication du phénomène criminel ? Comme il a été mentionné en introduction, l’une des principales variables explicative est le sexe. En effet, pour une distribution hommes/femmes d’environ moitié-moitié dans la population, il y a en Suisse quelque 85% d’hommes dans la statistique de condamnations pour seulement 15% de femmes.

Une autre variable importante dans l’explication du phénomène criminel est l’âge. Pour une proportion de quelque 30% de personnes de moins de 30 ans en Suisse, celles-ci sont environ 50% dans la statistique de condamnations.

C’est ainsi que le volume de la criminalité d’un Etat dépend fortement de la composition démographique de sa population. En effet, plus il y a de personnes du sexe et de la classe d’âge les plus criminogènes (soit des hommes et des jeunes), plus il y a de criminalité.

Puis vient encore le niveau socio-économique, puisqu’il ressort des derniers sondages que quelque 37% des résidents en Suisse proviennent de milieux socio-économiques modestes ou moyens inférieurs et que ces mêmes milieux produisent environ 60% de la délinquance. Pour leur part, les milieux moyens supérieurs et aisés (soit 63% de la population sondée) produisent environ 40% de la criminalité [2].

Et finalement, ce qui vaut pour les différences de statuts socio-économiques vaut également pour le niveau de formation. C’est ainsi que la moitié de notre population est de niveau de formation «modeste» (primaire, secondaire, école professionnelle, apprentissage), alors que ce même niveau de formation se retrouve pour quelque 68% de personnes en détention [3].

Le 05 août 2022 à 10:36:06 :
III. Modèle multivarié

Ce que nous avons présenté dans les deux sections précédentes permet de constater que le phénomène criminel est lié de manière bivariée à plusieurs facteurs. Mais cela ne nous avance pas beaucoup, puisque le crime proviendrait des grands, des étrangers, des jeunes, des hommes, des pauvres et/ou des plus modestement formés. A partir de là, chacun tirera ses conclusions, non pas sur la base de connaissances scientifiques, mais bien en fonction de sa tendance politique. En d’autres termes, ces corrélations bivariées ne nous disent pas grand chose pour ne pas dire rien du tout sur le phénomène criminel. Nous tenterons dès lors d’affiner l’analyse afin de rendre notre propos un peu plus scientifique.

Si nous avons déjà vu que la taille en tant que telle n’influence en rien le crime mais est entièrement contenue dans la variable sexe, il nous reste encore à déterminer quel est le poids respectif de chacune des cinq variables restantes dans l’explication du phénomène criminel. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre l’ensemble des variables explicatives du crime relevées ci-dessus dans un même modèle (qui ne sera donc plus bivarié, mais multivarié), modèle qui nous permettra de déterminer laquelle de ces variables explique la plus grande partie du crime, puis la valeur explicative supplémentaire de chacune des autres variables introduites dans le modèle.

En agissant de la sorte, on observe que la variable numéro un dans l’explication de la criminalité est le sexe. Le fait d’être un homme plutôt qu’une femme est donc l’élément le plus prédicteur de la commission d’une infraction [4]. En deuxième position on trouve l’âge; ainsi, le fait d’être un jeune homme est plus criminogène que le fait d’appartenir à toute autre catégorie. En troisième position vient ensuite le niveau socio-économique et finalement le niveau de formation.

En d’autres termes, le profil type du criminel est celui d’un homme, jeune, socio-économiquement défavorisé et de niveau de formation plutôt bas.

Et alors la nationalité dans tout cela? Eh bien la nationalité n’explique généralement aucune partie supplémentaire de la variance de la criminalité. En effet, la population migrante étant composée de manière surreprésentée de jeunes hommes défavorisés, la variable «nationalité» est comprise dans les autres et n’explique aucune part supplémentaire de la criminalité par rapport aux autres variables prises en considération ; ceci de manière identique à la taille qui est comprise dans le sexe dans l’exemple mentionné en introduction, les hommes étant en moyenne plus grands que les femmes.

Ce qui vient d’être exposé permet par ailleurs de comprendre pourquoi le constat que les étrangers commettent davantage de crimes que les nationaux est un phénomène universel. En effet, la migration, de manière générale, est principalement une affaire de jeunes plutôt que de vieux et d’hommes plutôt que de femmes. Sachant que les jeunes hommes représentent justement la partie de la population la plus criminogène, il est donc logique que la population migrante soit plus criminogène que ceux qui ne bougent pas de leur lieu de naissance.

Il est dès lors totalement erroné de comparer les étrangers aux nationaux, puisque l’on compare alors une population faite essentiellement de jeunes hommes à une population de nationaux vieillissants et composés des deux sexes à proportions à peu près égales. C’est ainsi que si l’on compare le taux de criminalité des étrangers à celui des nationaux du même sexe, de la même classe d’âge, de la même catégorie socio-économique et du même niveau de formation, la différence entre les nationaux et les étrangers disparaît.

Il arrive néanmoins que la nationalité explique tout de même une petite partie de la criminalité ; ceci dans le cas très particulier de migrants provenant d’un pays en guerre. En effet, l’exemple violent fourni par un Etat en guerre a tendance à désinhiber les citoyens qui deviennent alors, eux aussi, plus violents et exportent ensuite cette caractéristique dans le pays d’accueil. Ce phénomène est connu en criminologie sous le nom de «brutalisation». Ainsi, il semblerait que, lorsque l’immigration provient d’un pays en guerre, les quatre premières variables (sexe, âge, statut socio-économique et niveau de formation) ne suffisent pas à expliquer toute la criminalité ; la nationalité entre alors aussi dans le modèle explicatif, en cinquième position. Au contraire, lorsque l’immigration provient de pays non en guerre, la nationalité n’explique rien de plus que ce qui est déjà expliqué par les quatre premières variables.

Mentionnons encore que le phénomène de «brutalisation» que nous avons évoqué ci-dessus explique également pourquoi les Etats qui ont réintroduit la peine de mort aux Etats-Unis ont connu ensuite une augmentation de leur criminalité violente [5]… En effet, lorsque l’État procède lui-même à des exécutions capitales, il désinhibe les citoyens en les confortant dans l’idée que la violence est une manière adéquate de résoudre les conflits, augmentant ainsi le nombre de crimes violents. Le même effet de «brutalisation» permet probablement aussi de comprendre pourquoi, en Suisse, la punition ordinaire qu’infligent certains parents à leurs enfants lorsque ceux-ci font une bêtise est l’enfermement dans la chambre, alors qu’il s’agit aux yeux de la loi pénale d’une séquestration, passible d’une peine privative de liberté de cinq ans… Nous sommes donc tous brutalisés par nos systèmes étatiques respectifs que nous reproduisons ensuite, sans même nous en rendre compte, à plus petite échelle.

IV. Considérations de politique criminelle

Nous savons donc maintenant que les variables qui expliquent le phénomène criminel sont dans l’ordre :

Le sexe;
L’âge;
Le niveau socio-économique;
Le niveau de formation;
La nationalité (parfois).

La question qu’il reste à résoudre est de savoir comment cette connaissance peut être transposée en termes de mesures de prévention du crime. Si l’on prend les variables dans leur ordre d’importance explicative du phénomène criminel, on devrait envisager en premier lieu une politique de réduction de la masculinité… Il va néanmoins de soi que des politiques préconisant l’élimination des hommes ou l’encouragement de la natalité féminine contreviendraient non seulement à notre droit, mais seraient également fondamentalement contraires à notre sens de l’éthique. Les mêmes griefs peuvent d’ailleurs être avancés contre des politiques qui préconiseraient une élimination ou une ghettoïsation des jeunes. Quant à une politique de «dénatalisation», elle irait à l’encontre de l’intérêt de l’Etat à long terme.

Notons néanmoins que, pour ce qui est de la variable sexe, la féminisation d’une société ne passe pas forcément par une féminisation physique, mais pourrait tout aussi bien être à caractère sociologique. Cela reviendrait donc à rejeter les valeurs généralement attribuées à la gent masculine (tel le machisme) et à favoriser des valeurs que la société attribue plus volontiers aux femmes (telles que la tendresse).

En troisième lieu donc après le sexe et l’âge , il serait envisageable de songer à une prévention du crime passant par davantage d’égalité entre les habitants d’un pays et donc à éviter toute «société à deux vitesses». Puis, en quatrième lieu, il s’agirait d’envisager une amélioration du niveau de formation des plus démunis et des moins bien formés.

V. Conclusion

Si l’on cherche véritablement à lutter contre le crime et que l’on désire investir dans les mesures qui ont le plus grand potentiel de succès, il est impératif de commencer par envisager une action sur les variables les plus explicatives de la criminalité. Sachant par ailleurs que l’action sur le sexe et sur l’âge est difficilement réalisable et surtout éthiquement douteuse, les actions les plus à même de combattre le phénomène criminel semblent manifestement être les actions sociale [6] et éducative.

Comme le fait de s’attaquer à la taille des personnes, s’en prendre aux migrants consiste donc à se tromper de cible. Sans compter par ailleurs qu’il n’est pas certain qu’une politique d’élimination des étrangers soit vraiment plus éthique qu’une politique d’élimination des hommes ou des jeunes…

[1] Pour des données plus précises, nous renvoyons le lecteur au site internet de l’Office fédéral de la statistique ( http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index.html), rubrique 19 Criminalité, droit pénal. Cela vaut d’ailleurs pour toutes les données chiffrées contenues dans le présent texte, à l’exception de celles pour lesquelles une autre source est indiquée.
[2] Sources: sondages suisses de délinquance autoreportée, de victimisation et de sentencing.
[3] Sources: sondages suisses et statistiques pénitentiaires américaines. Il n’existe pas en Suisse de données sur le niveau de formation des personnes condamnées et/ou incarcérées.
[4] Cela n’implique évidemment pas que tous les hommes commettent des crimes et que les femmes n’en commettraient jamais, mais simplement que, parmi les criminels, il y a une forte surreprésentation masculine.
[5] Dans ce contexte, l’hypothèse de la «brutalisation» a par exemple été vérifiée dans l’Etat d’Oklahoma par W. C. Bailey, «Deterrence, Brutalization, and the Death Penalty: Another Examination of Oklahoma’s Return to Capital Punishment», Criminology, vol. 36, 1998, pp. 711ss.
[6] Dont font d’ailleurs partie les politiques d’intégration des étrangers.

Très instructif, mais les segpas bac -5 du forum ne vont pas lire et vont continuer à boucler sur les mêmes poncifs parce que c'est plus sulfureux et ça fait plus éveillé d'être un marginal raciste qu'un homme versé dans la science la mesure et la nuance.

J'adore comment cet attardé avale sans rechigner tous les déterminismes possibles que ce texte lui sert, sans oser une seconde se demander pourquoi l'une des possibilités est totalement absente, les demi-habiles bordel :rire:

Le texte en parle justement sauf qu'il la mesure au lieu de l'essentialiser comme le font les demi habiles du forum :hap:

C'est fou comme vous avez avoir l'air d'imbéciles. :hap:

"Eh bien la nationalité n’explique généralement aucune partie supplémentaire de la variance de la criminalité" ces génies ne lisent même pas vraiment les parchemins du marabout devant lequel ils s'inclinent :rire:

Et d'ailleurs, tu auras remarqué que ce n'est pas la seule anomalie que je souligne : Au nom de quoi le lecteur accepterait qu'on lui donne comme axiome le fait que le sexe masculin ou la jeunesse soit plus criminogène sans explication, pour qu'ensuite il passe tout un texte à lire une apologie en faveur de l'évitement d'un paramètre légitime ? Qu'une thèse soit intéressée passe encore, c'est tout à fait normal. Encore faut-il justifier ses propres biais.

Le 05 août 2022 à 10:58:23 :

Le 05 août 2022 à 10:56:24 :

Le 05 août 2022 à 10:55:01 :

Le 05 août 2022 à 10:52:38 :

Le 05 août 2022 à 10:50:21 :

Le 05 août 2022 à 10:48:50 :

Le 05 août 2022 à 10:46:24 :

Les européens étaient réduits en esclavage par centaine de milliers par les maghrébins avant la colonisation (on parle de plus d'1 millions pour seulement alger et tripoli).

Rappelle moi en quelle langue es-tu en train d'écrire Jean Moustafa ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

On va évoquer le fait que vos soeurs essayent de parler arabe pour se donner un style pour qu'on les nike, vous allez commencer a bouder.

https://www.neonmag.fr/en-amour-les-parisiens-ne-matchent-pas-avec-les-noirs-les-arabes-ou-les-habitants-du-93-521921.html
Oui oui on y croit https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg
Essaye de te rassurer karim https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

"Parisiennes"
Ok et maintenant les petites blanches qui vivent dans le 91 92 93 94 95 78 je t'invite a voir comment elle se font torpiller dans les caves :rire:

Elles se font torpiller mais sans consentement

Ah mon grand si tu savais :rire:

"Les blancs on baise vos soeurs hein" https://image.noelshack.com/fichiers/2017/06/1486613075-rage.png

Dans les faits : https://www.lemonde.fr/archives/article/2001/04/24/les-viols-collectifs-revelent-la-misere-affective-et-sexuelle-des-cites_4175709_1819218.html
NATURELLE https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Bordel ton article qui parle de jeunes de 13 ans :rire:
Le rebeu de 25 ans gérant du four en audi, ils soulève ta soeur, ta cousine, et ta mère la milf qui sort en boite.

Le 05 août 2022 à 11:01:38 :

Le 05 août 2022 à 10:59:45 :

Le 05 août 2022 à 10:56:42 :

Le 05 août 2022 à 10:55:21 :

Le 05 août 2022 à 10:51:14 :

Le 05 août 2022 à 10:48:50 :

Le 05 août 2022 à 10:46:24 :

Les européens étaient réduits en esclavage par centaine de milliers par les maghrébins avant la colonisation (on parle de plus d'1 millions pour seulement alger et tripoli).

Rappelle moi en quelle langue es-tu en train d'écrire Jean Moustafa ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

On va évoquer le fait que vos soeurs essayent de parler arabe pour se donner un style pour qu'on les nike, vous allez commencer a bouder.

On va surtout parler de votre misère sexuelle qui fait que vous êtes obliger d'allez prendre vos propres soeurs au bled ahi https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Et c'est pas plutôt nos frères qui vous intéressent dans les cités ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Misere sexuelle ? C'est pas vous qui vous plaignez de pas baiser et du fait que c'est devenu plus dur de baiser qu'avant en 2022, alors que nous on remarque tout le contraire, que les meufs sont toute devenues des folles ultra facile a baiser ? :rire: :rire: :rire: :rire: :rire:

Le déni est toujours incroyable dans votre communauté putain https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Ayaaaaaa mais vous êtes trop gênants c'est grave :rire:

N'oublie jamais une chose : un blanc ne peut serrer qu'une blanche (et encore pas toutes :rire:) , alors que nous on a accés a des maghrébines, blanches, noires, métisses.

Ben voyons, mais il vit dans quel monde celui là. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640873279-golem-en-joie.png
Ah oui le 9-3 https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640873279-golem-en-joie.png

Pleure

Le 05 août 2022 à 11:00:30 :

Le 05 août 2022 à 10:52:44 :

Le 05 août 2022 à 10:35:54 :
I. Introduction: En matière de criminalité, il en va de la nationalité comme de la taille

Le lecteur de la présente contribution sait probablement que les adultes de plus de 175 centimètres commettent davantage d’infractions pénales que ceux de moins de 175 centimètres… Il s’agit là d’une évidence criminologique et la raison en est très simple : la population adulte de plus de 175 centimètres est principalement formée d’hommes, alors que les femmes sont largement surreprésentées parmi les adultes de moins de 175 centimètres. Sachant par ailleurs que les hommes sont davantage impliqués dans le phénomène criminel que les femmes, il est logique que les adultes les plus grands commettent la plus grande partie des infractions pénales. Néanmoins, chacun comprendra aisément que cette surreprésentation des grands dans la statistique criminelle n’a évidemment rien à voir avec la taille des personnes, mais bien avec leur sexe. Personne ne prônera donc une action sur l’hormone de croissance ou le coupage de jambes comme politique de prévention de la criminalité… Mais si ce raisonnement est tellement évident, alors pourquoi bon nombre de personnes ne sont-elles pas en mesure de le reproduire en matière d’implication des étrangers dans la criminalité?

Comme pour les adultes de plus de 175 centimètres, il est très simple de démontrer que les étrangers sont surreprésentés dans le phénomène criminel. Ces derniers représentent en effet un peu plus de 20% de la population de Suisse, mais quelque 50% des condamnés par les tribunaux suisses [1]. Mais, de la même manière que pour les adultes de plus de 175 centimètres, il est aussi relativement simple de démontrer que ce sont d’autres éléments que la nationalité qui influencent la criminalité.II. Les principales variables influençant la criminalité

Sachant que la surreprésentation des immigrants dans la criminalité est un phénomène universel qui s’observe donc dans tous les Etats , il paraît évident qu’il ne peut pas s’agir d’un simple problème de couleur de passeport !Mais quelles sont alors les variables déterminantes dans l’explication du phénomène criminel ? Comme il a été mentionné en introduction, l’une des principales variables explicative est le sexe. En effet, pour une distribution hommes/femmes d’environ moitié-moitié dans la population, il y a en Suisse quelque 85% d’hommes dans la statistique de condamnations pour seulement 15% de femmes.

Une autre variable importante dans l’explication du phénomène criminel est l’âge. Pour une proportion de quelque 30% de personnes de moins de 30 ans en Suisse, celles-ci sont environ 50% dans la statistique de condamnations.

C’est ainsi que le volume de la criminalité d’un Etat dépend fortement de la composition démographique de sa population. En effet, plus il y a de personnes du sexe et de la classe d’âge les plus criminogènes (soit des hommes et des jeunes), plus il y a de criminalité.

Puis vient encore le niveau socio-économique, puisqu’il ressort des derniers sondages que quelque 37% des résidents en Suisse proviennent de milieux socio-économiques modestes ou moyens inférieurs et que ces mêmes milieux produisent environ 60% de la délinquance. Pour leur part, les milieux moyens supérieurs et aisés (soit 63% de la population sondée) produisent environ 40% de la criminalité [2].

Et finalement, ce qui vaut pour les différences de statuts socio-économiques vaut également pour le niveau de formation. C’est ainsi que la moitié de notre population est de niveau de formation «modeste» (primaire, secondaire, école professionnelle, apprentissage), alors que ce même niveau de formation se retrouve pour quelque 68% de personnes en détention [3].

Le 05 août 2022 à 10:36:06 :
III. Modèle multivarié

Ce que nous avons présenté dans les deux sections précédentes permet de constater que le phénomène criminel est lié de manière bivariée à plusieurs facteurs. Mais cela ne nous avance pas beaucoup, puisque le crime proviendrait des grands, des étrangers, des jeunes, des hommes, des pauvres et/ou des plus modestement formés. A partir de là, chacun tirera ses conclusions, non pas sur la base de connaissances scientifiques, mais bien en fonction de sa tendance politique. En d’autres termes, ces corrélations bivariées ne nous disent pas grand chose pour ne pas dire rien du tout sur le phénomène criminel. Nous tenterons dès lors d’affiner l’analyse afin de rendre notre propos un peu plus scientifique.

Si nous avons déjà vu que la taille en tant que telle n’influence en rien le crime mais est entièrement contenue dans la variable sexe, il nous reste encore à déterminer quel est le poids respectif de chacune des cinq variables restantes dans l’explication du phénomène criminel. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre l’ensemble des variables explicatives du crime relevées ci-dessus dans un même modèle (qui ne sera donc plus bivarié, mais multivarié), modèle qui nous permettra de déterminer laquelle de ces variables explique la plus grande partie du crime, puis la valeur explicative supplémentaire de chacune des autres variables introduites dans le modèle.

En agissant de la sorte, on observe que la variable numéro un dans l’explication de la criminalité est le sexe. Le fait d’être un homme plutôt qu’une femme est donc l’élément le plus prédicteur de la commission d’une infraction [4]. En deuxième position on trouve l’âge; ainsi, le fait d’être un jeune homme est plus criminogène que le fait d’appartenir à toute autre catégorie. En troisième position vient ensuite le niveau socio-économique et finalement le niveau de formation.

En d’autres termes, le profil type du criminel est celui d’un homme, jeune, socio-économiquement défavorisé et de niveau de formation plutôt bas.

Et alors la nationalité dans tout cela? Eh bien la nationalité n’explique généralement aucune partie supplémentaire de la variance de la criminalité. En effet, la population migrante étant composée de manière surreprésentée de jeunes hommes défavorisés, la variable «nationalité» est comprise dans les autres et n’explique aucune part supplémentaire de la criminalité par rapport aux autres variables prises en considération ; ceci de manière identique à la taille qui est comprise dans le sexe dans l’exemple mentionné en introduction, les hommes étant en moyenne plus grands que les femmes.

Ce qui vient d’être exposé permet par ailleurs de comprendre pourquoi le constat que les étrangers commettent davantage de crimes que les nationaux est un phénomène universel. En effet, la migration, de manière générale, est principalement une affaire de jeunes plutôt que de vieux et d’hommes plutôt que de femmes. Sachant que les jeunes hommes représentent justement la partie de la population la plus criminogène, il est donc logique que la population migrante soit plus criminogène que ceux qui ne bougent pas de leur lieu de naissance.

Il est dès lors totalement erroné de comparer les étrangers aux nationaux, puisque l’on compare alors une population faite essentiellement de jeunes hommes à une population de nationaux vieillissants et composés des deux sexes à proportions à peu près égales. C’est ainsi que si l’on compare le taux de criminalité des étrangers à celui des nationaux du même sexe, de la même classe d’âge, de la même catégorie socio-économique et du même niveau de formation, la différence entre les nationaux et les étrangers disparaît.

Il arrive néanmoins que la nationalité explique tout de même une petite partie de la criminalité ; ceci dans le cas très particulier de migrants provenant d’un pays en guerre. En effet, l’exemple violent fourni par un Etat en guerre a tendance à désinhiber les citoyens qui deviennent alors, eux aussi, plus violents et exportent ensuite cette caractéristique dans le pays d’accueil. Ce phénomène est connu en criminologie sous le nom de «brutalisation». Ainsi, il semblerait que, lorsque l’immigration provient d’un pays en guerre, les quatre premières variables (sexe, âge, statut socio-économique et niveau de formation) ne suffisent pas à expliquer toute la criminalité ; la nationalité entre alors aussi dans le modèle explicatif, en cinquième position. Au contraire, lorsque l’immigration provient de pays non en guerre, la nationalité n’explique rien de plus que ce qui est déjà expliqué par les quatre premières variables.

Mentionnons encore que le phénomène de «brutalisation» que nous avons évoqué ci-dessus explique également pourquoi les Etats qui ont réintroduit la peine de mort aux Etats-Unis ont connu ensuite une augmentation de leur criminalité violente [5]… En effet, lorsque l’État procède lui-même à des exécutions capitales, il désinhibe les citoyens en les confortant dans l’idée que la violence est une manière adéquate de résoudre les conflits, augmentant ainsi le nombre de crimes violents. Le même effet de «brutalisation» permet probablement aussi de comprendre pourquoi, en Suisse, la punition ordinaire qu’infligent certains parents à leurs enfants lorsque ceux-ci font une bêtise est l’enfermement dans la chambre, alors qu’il s’agit aux yeux de la loi pénale d’une séquestration, passible d’une peine privative de liberté de cinq ans… Nous sommes donc tous brutalisés par nos systèmes étatiques respectifs que nous reproduisons ensuite, sans même nous en rendre compte, à plus petite échelle.

IV. Considérations de politique criminelle

Nous savons donc maintenant que les variables qui expliquent le phénomène criminel sont dans l’ordre :

Le sexe;
L’âge;
Le niveau socio-économique;
Le niveau de formation;
La nationalité (parfois).

La question qu’il reste à résoudre est de savoir comment cette connaissance peut être transposée en termes de mesures de prévention du crime. Si l’on prend les variables dans leur ordre d’importance explicative du phénomène criminel, on devrait envisager en premier lieu une politique de réduction de la masculinité… Il va néanmoins de soi que des politiques préconisant l’élimination des hommes ou l’encouragement de la natalité féminine contreviendraient non seulement à notre droit, mais seraient également fondamentalement contraires à notre sens de l’éthique. Les mêmes griefs peuvent d’ailleurs être avancés contre des politiques qui préconiseraient une élimination ou une ghettoïsation des jeunes. Quant à une politique de «dénatalisation», elle irait à l’encontre de l’intérêt de l’Etat à long terme.

Notons néanmoins que, pour ce qui est de la variable sexe, la féminisation d’une société ne passe pas forcément par une féminisation physique, mais pourrait tout aussi bien être à caractère sociologique. Cela reviendrait donc à rejeter les valeurs généralement attribuées à la gent masculine (tel le machisme) et à favoriser des valeurs que la société attribue plus volontiers aux femmes (telles que la tendresse).

En troisième lieu donc après le sexe et l’âge , il serait envisageable de songer à une prévention du crime passant par davantage d’égalité entre les habitants d’un pays et donc à éviter toute «société à deux vitesses». Puis, en quatrième lieu, il s’agirait d’envisager une amélioration du niveau de formation des plus démunis et des moins bien formés.

V. Conclusion

Si l’on cherche véritablement à lutter contre le crime et que l’on désire investir dans les mesures qui ont le plus grand potentiel de succès, il est impératif de commencer par envisager une action sur les variables les plus explicatives de la criminalité. Sachant par ailleurs que l’action sur le sexe et sur l’âge est difficilement réalisable et surtout éthiquement douteuse, les actions les plus à même de combattre le phénomène criminel semblent manifestement être les actions sociale [6] et éducative.

Comme le fait de s’attaquer à la taille des personnes, s’en prendre aux migrants consiste donc à se tromper de cible. Sans compter par ailleurs qu’il n’est pas certain qu’une politique d’élimination des étrangers soit vraiment plus éthique qu’une politique d’élimination des hommes ou des jeunes…

[1] Pour des données plus précises, nous renvoyons le lecteur au site internet de l’Office fédéral de la statistique ( http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index.html), rubrique 19 Criminalité, droit pénal. Cela vaut d’ailleurs pour toutes les données chiffrées contenues dans le présent texte, à l’exception de celles pour lesquelles une autre source est indiquée.
[2] Sources: sondages suisses de délinquance autoreportée, de victimisation et de sentencing.
[3] Sources: sondages suisses et statistiques pénitentiaires américaines. Il n’existe pas en Suisse de données sur le niveau de formation des personnes condamnées et/ou incarcérées.
[4] Cela n’implique évidemment pas que tous les hommes commettent des crimes et que les femmes n’en commettraient jamais, mais simplement que, parmi les criminels, il y a une forte surreprésentation masculine.
[5] Dans ce contexte, l’hypothèse de la «brutalisation» a par exemple été vérifiée dans l’Etat d’Oklahoma par W. C. Bailey, «Deterrence, Brutalization, and the Death Penalty: Another Examination of Oklahoma’s Return to Capital Punishment», Criminology, vol. 36, 1998, pp. 711ss.
[6] Dont font d’ailleurs partie les politiques d’intégration des étrangers.

"Il arrive néanmoins que la nationalité explique tout de même une petite partie de la criminalité" Désolé, mais ce qui remplissent les prisons ne viennent pas de pays en guerre, sont même nés ici. Même en allemagne (là où les stats sont autorisées), ce sont les dz en première ligne...

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/6/1611395018-1609595374-laddbent-oups.png

Je retrouve plus le commentaire de l'autre forumeur maghrébin mais en fait la piraterie ne faisait pas tant de victimes que ça. Les européens sont traumatisé par ce genre d'événements

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Enl%C3%A8vements_turcs_en_Islande

Mais en réalité c'était minoritaire.

Le 05 août 2022 à 11:00:11 :
C’est pas interdit d’habitude les statistiques ethniques ? :(

Il serait grand temps de les autoriser. Hâte de voir le profil des demandeurs CAF et autres parasites :ok:

Le 05 août 2022 à 10:58:35 :

Le 05 août 2022 à 10:53:47 :

Le 05 août 2022 à 10:51:50 :

Le 05 août 2022 à 10:48:44 :

Le 05 août 2022 à 10:46:49 :
On colonise un pays pendant un siècle et demi et on s'étonne de l'après coup, qui reste négligeable proportionnellement à la présence mortifère de la France en Algérie pendant une durée aussi longue

Les algériens qui chialeront jusqu'a la fin des temps de la colonisation https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg
Faudra songer à passer à autre chose les golems https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Ah mais t'inquiète pas pour ça, on est passé à autre chose, dans un tout nouveau continent https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Vous le vivez comment que votre pays soit un shithole ou personne veut habiter et que maintenant vous vivez dans la misère chez vos anciens colons qui vous méprisent et que vous parlez notre langue et livrez nos commandes uber eats ? https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg
Perso je le vivrai pas très bien https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Demande à n'importe quel blédard arrivé en France, il ta répondra que sa vie est infiniment meilleure ici. Tout est relatif le low, tu crois qu'il en a quelque chose à cirer de la lutte des classes le blédard shooté à l'artane ? :)

Je pense qu'on connait le côté qui vit mal la situation actuelle :)

Je pense que les notion d'honneur et dignité n'existent pas chez les métèques https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Venir mendier dans le pays de ses anciens maitre car on a été incapable de développer son propre pays pour moi ce serait une honte absolu https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Votre émigration est le reflet de leur échec en tant que peuple. Maintenant ils parlent notre langue, apprennent notre culture mais ils resteront à jamais des déracinés https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Ridicule bordel https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Le 05 août 2022 à 10:57:37 :

Le 05 août 2022 à 10:55:50 :

Le 05 août 2022 à 10:48:50 :

Le 05 août 2022 à 10:46:24 :

Les européens étaient réduits en esclavage par centaine de milliers par les maghrébins avant la colonisation (on parle de plus d'1 millions pour seulement alger et tripoli).

Rappelle moi en quelle langue es-tu en train d'écrire Jean Moustafa ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

On va évoquer le fait que vos soeurs essayent de parler arabe pour se donner un style pour qu'on les nike, vous allez commencer a bouder.

pour qu'on les nike :d) bordel, cette faute de low QI, représentatif de tes frères, incapable de s'exprimer correctement + culture du paraître avec les marques de sport...

Attends arrête parceque je vais mourir de rire la :rire:
T'est au courant que "niquer" c'est un mot arabe a la base qui s'écrit "nik" ? :rire: :rire: :rire:

Et ? Tu écris en Français ou en Arabe ? :rire:
Quand bien même, tu l'as dit toi même c'est "nik" pas "nike" qui est le nom d'une marque (qui se prononce "niké" puisque tiré du nom de la déesse grecque de la victoire)
Tu as fait une erreur de low QI :ok:

Le 05 août 2022 à 11:02:21 :

Le 05 août 2022 à 11:01:38 :

Le 05 août 2022 à 10:59:45 :

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Le 05 août 2022 à 10:55:21 :

Le 05 août 2022 à 10:51:14 :

Le 05 août 2022 à 10:48:50 :

Le 05 août 2022 à 10:46:24 :

Les européens étaient réduits en esclavage par centaine de milliers par les maghrébins avant la colonisation (on parle de plus d'1 millions pour seulement alger et tripoli).

Rappelle moi en quelle langue es-tu en train d'écrire Jean Moustafa ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

On va évoquer le fait que vos soeurs essayent de parler arabe pour se donner un style pour qu'on les nike, vous allez commencer a bouder.

On va surtout parler de votre misère sexuelle qui fait que vous êtes obliger d'allez prendre vos propres soeurs au bled ahi https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Et c'est pas plutôt nos frères qui vous intéressent dans les cités ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Misere sexuelle ? C'est pas vous qui vous plaignez de pas baiser et du fait que c'est devenu plus dur de baiser qu'avant en 2022, alors que nous on remarque tout le contraire, que les meufs sont toute devenues des folles ultra facile a baiser ? :rire: :rire: :rire: :rire: :rire:

Le déni est toujours incroyable dans votre communauté putain https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Ayaaaaaa mais vous êtes trop gênants c'est grave :rire:

N'oublie jamais une chose : un blanc ne peut serrer qu'une blanche (et encore pas toutes :rire:) , alors que nous on a accés a des maghrébines, blanches, noires, métisses.

Ben voyons, mais il vit dans quel monde celui là. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640873279-golem-en-joie.png
Ah oui le 9-3 https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640873279-golem-en-joie.png

Pleure

C'est toi qui boucle sur les blanches comme le bon ethnomasochiste traître a tes origines que tu es tout en esquivant le fait que ton ethnie fout la merde partout où elle passe
Encore une fois, tu parles quelle langue rappelle moi Mustafa ? https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maghr%C3%A9bins

Les Maghrébins sont les habitants du Maghreb, ou les personnes originaires du Maghreb.

Je le rappelle au cas où étant donné les "françaiscommevouzémoi" :)
Originaires sans nationalité Française pour l'écrasante majorité ici :)

Le 05 août 2022 à 10:46:39 :

Le 05 août 2022 à 10:45:57 :

Le 05 août 2022 à 10:44:20 :

Le 05 août 2022 à 10:35:54 :
I. Introduction: En matière de criminalité, il en va de la nationalité comme de la taille

Sachant que la surreprésentation des immigrants dans la criminalité est un phénomène universel qui s’observe donc dans tous les Etats , il paraît évident qu’il ne peut pas s’agir d’un simple problème de couleur de passeport !Mais quelles sont alors les variables déterminantes dans l’explication du phénomène criminel ? Comme il a été mentionné en introduction, l’une des principales variables explicative est le sexe. En effet, pour une distribution hommes/femmes d’environ moitié-moitié dans la population, il y a en Suisse quelque 85% d’hommes dans la statistique de condamnations pour seulement 15% de femmes.

Une autre variable importante dans l’explication du phénomène criminel est l’âge. Pour une proportion de quelque 30% de personnes de moins de 30 ans en Suisse, celles-ci sont environ 50% dans la statistique de condamnations.

C’est ainsi que le volume de la criminalité d’un Etat dépend fortement de la composition démographique de sa population. En effet, plus il y a de personnes du sexe et de la classe d’âge les plus criminogènes (soit des hommes et des jeunes), plus il y a de criminalité.

Puis vient encore le niveau socio-économique, puisqu’il ressort des derniers sondages que quelque 37% des résidents en Suisse proviennent de milieux socio-économiques modestes ou moyens inférieurs et que ces mêmes milieux produisent environ 60% de la délinquance. Pour leur part, les milieux moyens supérieurs et aisés (soit 63% de la population sondée) produisent environ 40% de la criminalité [2].

Et finalement, ce qui vaut pour les différences de statuts socio-économiques vaut également pour le niveau de formation. C’est ainsi que la moitié de notre population est de niveau de formation «modeste» (primaire, secondaire, école professionnelle, apprentissage), alors que ce même niveau de formation se retrouve pour quelque 68% de personnes en détention [3].

Le 05 août 2022 à 10:36:06 :
III. Modèle multivarié

Ce que nous avons présenté dans les deux sections précédentes permet de constater que le phénomène criminel est lié de manière bivariée à plusieurs facteurs. Mais cela ne nous avance pas beaucoup, puisque le crime proviendrait des grands, des étrangers, des jeunes, des hommes, des pauvres et/ou des plus modestement formés. A partir de là, chacun tirera ses conclusions, non pas sur la base de connaissances scientifiques, mais bien en fonction de sa tendance politique. En d’autres termes, ces corrélations bivariées ne nous disent pas grand chose pour ne pas dire rien du tout sur le phénomène criminel. Nous tenterons dès lors d’affiner l’analyse afin de rendre notre propos un peu plus scientifique.

Si nous avons déjà vu que la taille en tant que telle n’influence en rien le crime mais est entièrement contenue dans la variable sexe, il nous reste encore à déterminer quel est le poids respectif de chacune des cinq variables restantes dans l’explication du phénomène criminel. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre l’ensemble des variables explicatives du crime relevées ci-dessus dans un même modèle (qui ne sera donc plus bivarié, mais multivarié), modèle qui nous permettra de déterminer laquelle de ces variables explique la plus grande partie du crime, puis la valeur explicative supplémentaire de chacune des autres variables introduites dans le modèle.

En agissant de la sorte, on observe que la variable numéro un dans l’explication de la criminalité est le sexe. Le fait d’être un homme plutôt qu’une femme est donc l’élément le plus prédicteur de la commission d’une infraction [4]. En deuxième position on trouve l’âge; ainsi, le fait d’être un jeune homme est plus criminogène que le fait d’appartenir à toute autre catégorie. En troisième position vient ensuite le niveau socio-économique et finalement le niveau de formation.

En d’autres termes, le profil type du criminel est celui d’un homme, jeune, socio-économiquement défavorisé et de niveau de formation plutôt bas.

Et alors la nationalité dans tout cela? Eh bien la nationalité n’explique généralement aucune partie supplémentaire de la variance de la criminalité. En effet, la population migrante étant composée de manière surreprésentée de jeunes hommes défavorisés, la variable «nationalité» est comprise dans les autres et n’explique aucune part supplémentaire de la criminalité par rapport aux autres variables prises en considération ; ceci de manière identique à la taille qui est comprise dans le sexe dans l’exemple mentionné en introduction, les hommes étant en moyenne plus grands que les femmes.

Ce qui vient d’être exposé permet par ailleurs de comprendre pourquoi le constat que les étrangers commettent davantage de crimes que les nationaux est un phénomène universel. En effet, la migration, de manière générale, est principalement une affaire de jeunes plutôt que de vieux et d’hommes plutôt que de femmes. Sachant que les jeunes hommes représentent justement la partie de la population la plus criminogène, il est donc logique que la population migrante soit plus criminogène que ceux qui ne bougent pas de leur lieu de naissance.

Il est dès lors totalement erroné de comparer les étrangers aux nationaux, puisque l’on compare alors une population faite essentiellement de jeunes hommes à une population de nationaux vieillissants et composés des deux sexes à proportions à peu près égales. C’est ainsi que si l’on compare le taux de criminalité des étrangers à celui des nationaux du même sexe, de la même classe d’âge, de la même catégorie socio-économique et du même niveau de formation, la différence entre les nationaux et les étrangers disparaît.

Il arrive néanmoins que la nationalité explique tout de même une petite partie de la criminalité ; ceci dans le cas très particulier de migrants provenant d’un pays en guerre. En effet, l’exemple violent fourni par un Etat en guerre a tendance à désinhiber les citoyens qui deviennent alors, eux aussi, plus violents et exportent ensuite cette caractéristique dans le pays d’accueil. Ce phénomène est connu en criminologie sous le nom de «brutalisation». Ainsi, il semblerait que, lorsque l’immigration provient d’un pays en guerre, les quatre premières variables (sexe, âge, statut socio-économique et niveau de formation) ne suffisent pas à expliquer toute la criminalité ; la nationalité entre alors aussi dans le modèle explicatif, en cinquième position. Au contraire, lorsque l’immigration provient de pays non en guerre, la nationalité n’explique rien de plus que ce qui est déjà expliqué par les quatre premières variables.

Mentionnons encore que le phénomène de «brutalisation» que nous avons évoqué ci-dessus explique également pourquoi les Etats qui ont réintroduit la peine de mort aux Etats-Unis ont connu ensuite une augmentation de leur criminalité violente [5]… En effet, lorsque l’État procède lui-même à des exécutions capitales, il désinhibe les citoyens en les confortant dans l’idée que la violence est une manière adéquate de résoudre les conflits, augmentant ainsi le nombre de crimes violents. Le même effet de «brutalisation» permet probablement aussi de comprendre pourquoi, en Suisse, la punition ordinaire qu’infligent certains parents à leurs enfants lorsque ceux-ci font une bêtise est l’enfermement dans la chambre, alors qu’il s’agit aux yeux de la loi pénale d’une séquestration, passible d’une peine privative de liberté de cinq ans… Nous sommes donc tous brutalisés par nos systèmes étatiques respectifs que nous reproduisons ensuite, sans même nous en rendre compte, à plus petite échelle.

IV. Considérations de politique criminelle

Nous savons donc maintenant que les variables qui expliquent le phénomène criminel sont dans l’ordre :

Le sexe;
L’âge;
Le niveau socio-économique;
Le niveau de formation;
La nationalité (parfois).

La question qu’il reste à résoudre est de savoir comment cette connaissance peut être transposée en termes de mesures de prévention du crime. Si l’on prend les variables dans leur ordre d’importance explicative du phénomène criminel, on devrait envisager en premier lieu une politique de réduction de la masculinité… Il va néanmoins de soi que des politiques préconisant l’élimination des hommes ou l’encouragement de la natalité féminine contreviendraient non seulement à notre droit, mais seraient également fondamentalement contraires à notre sens de l’éthique. Les mêmes griefs peuvent d’ailleurs être avancés contre des politiques qui préconiseraient une élimination ou une ghettoïsation des jeunes. Quant à une politique de «dénatalisation», elle irait à l’encontre de l’intérêt de l’Etat à long terme.

Notons néanmoins que, pour ce qui est de la variable sexe, la féminisation d’une société ne passe pas forcément par une féminisation physique, mais pourrait tout aussi bien être à caractère sociologique. Cela reviendrait donc à rejeter les valeurs généralement attribuées à la gent masculine (tel le machisme) et à favoriser des valeurs que la société attribue plus volontiers aux femmes (telles que la tendresse).

En troisième lieu donc après le sexe et l’âge , il serait envisageable de songer à une prévention du crime passant par davantage d’égalité entre les habitants d’un pays et donc à éviter toute «société à deux vitesses». Puis, en quatrième lieu, il s’agirait d’envisager une amélioration du niveau de formation des plus démunis et des moins bien formés.

V. Conclusion

Si l’on cherche véritablement à lutter contre le crime et que l’on désire investir dans les mesures qui ont le plus grand potentiel de succès, il est impératif de commencer par envisager une action sur les variables les plus explicatives de la criminalité. Sachant par ailleurs que l’action sur le sexe et sur l’âge est difficilement réalisable et surtout éthiquement douteuse, les actions les plus à même de combattre le phénomène criminel semblent manifestement être les actions sociale [6] et éducative.

Comme le fait de s’attaquer à la taille des personnes, s’en prendre aux migrants consiste donc à se tromper de cible. Sans compter par ailleurs qu’il n’est pas certain qu’une politique d’élimination des étrangers soit vraiment plus éthique qu’une politique d’élimination des hommes ou des jeunes…

[1] Pour des données plus précises, nous renvoyons le lecteur au site internet de l’Office fédéral de la statistique ( http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index.html), rubrique 19 Criminalité, droit pénal. Cela vaut d’ailleurs pour toutes les données chiffrées contenues dans le présent texte, à l’exception de celles pour lesquelles une autre source est indiquée.
[2] Sources: sondages suisses de délinquance autoreportée, de victimisation et de sentencing.
[3] Sources: sondages suisses et statistiques pénitentiaires américaines. Il n’existe pas en Suisse de données sur le niveau de formation des personnes condamnées et/ou incarcérées.
[4] Cela n’implique évidemment pas que tous les hommes commettent des crimes et que les femmes n’en commettraient jamais, mais simplement que, parmi les criminels, il y a une forte surreprésentation masculine.
[5] Dans ce contexte, l’hypothèse de la «brutalisation» a par exemple été vérifiée dans l’Etat d’Oklahoma par W. C. Bailey, «Deterrence, Brutalization, and the Death Penalty: Another Examination of Oklahoma’s Return to Capital Punishment», Criminology, vol. 36, 1998, pp. 711ss.
[6] Dont font d’ailleurs partie les politiques d’intégration des étrangers.

Très instructif, mais les segpas bac -5 du forum ne vont pas lire et vont continuer à boucler sur les mêmes poncifs parce que c'est plus sulfureux et ça fait plus éveillé d'être un marginal raciste qu'un homme versé dans la science la mesure et la nuance.

On ne parle pas de nationalité mais de culture, ça prouve surtout que tu ne lis rien https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png

L'article en parle mais évidemment comme tu ne l'as pas lu :)

L'article n'en parle absolument pas, le mot n'est même pas mentionné https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Et alors niveau enculage de mouche cet article fait fort, j'ai rarement vu un "article" tourner autant autour du pot, de balancer des truismes par paquet de douze pour ne jamais parler de ce qui fâche.
Il dit que la plupart des délinquants et criminels sont des hommes. Pourquoi ? On ne sait pas https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Rien à voir sans doute avec le fait qu'ils soient par nature moins soumis aux normes sociales, à la pression de groupe, qu'ils soient plus facilement désinhibés. https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Non parce qu'ils sont des hommes point. Merci de cette grande analyse sociologique https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png

Ensuite leur statut d'étranger, selon cet article, le plus fort de taux de criminalité serait ceux de gens venant de pays en guerre.
Vérifions cela avec le taux de condamnations pour 1000 résidents de la même nationalité (données de 2020 basés sur les stats de 2019 présents sur swissinfo.ch ) :
Premiers pays avec le plus grand taux de criminalité : Les pays d'Afrique septentrionale avec 16.5 condamnations pour 1000 habitants (pour un total de 304 000 condamnés).
Tiens donc, j'ignorais que le Maroc, la Tunisie, l'Egypte et l'Algérie étaient en guerre. https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Donc cet article en plus d'enculer des mouches raconte de la merde https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Dois-je continuer à démonter ce torchon mensonger ou ça te suffit ? https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png

Le 05 août 2022 à 11:00:54 :

Le 05 août 2022 à 10:59:45 :

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Le 05 août 2022 à 10:55:21 :

Le 05 août 2022 à 10:51:14 :

Le 05 août 2022 à 10:48:50 :

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Les européens étaient réduits en esclavage par centaine de milliers par les maghrébins avant la colonisation (on parle de plus d'1 millions pour seulement alger et tripoli).

Rappelle moi en quelle langue es-tu en train d'écrire Jean Moustafa ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

On va évoquer le fait que vos soeurs essayent de parler arabe pour se donner un style pour qu'on les nike, vous allez commencer a bouder.

On va surtout parler de votre misère sexuelle qui fait que vous êtes obliger d'allez prendre vos propres soeurs au bled ahi https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Et c'est pas plutôt nos frères qui vous intéressent dans les cités ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/4/1616707353-ronaldo-content.png

Misere sexuelle ? C'est pas vous qui vous plaignez de pas baiser et du fait que c'est devenu plus dur de baiser qu'avant en 2022, alors que nous on remarque tout le contraire, que les meufs sont toute devenues des folles ultra facile a baiser ? :rire: :rire: :rire: :rire: :rire:

Le déni est toujours incroyable dans votre communauté putain https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Ayaaaaaa mais vous êtes trop gênants c'est grave :rire:

N'oublie jamais une chose : un blanc ne peut serrer qu'une blanche (et encore pas toutes :rire:) , alors que nous on a accés a des maghrébines, blanches, noires, métisses.

Et en chiffre ça donne quoi du coup ? Juste pour rire
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/34/1/1503323049-ash-ketchum-sasha-1.png

Sa donne que si Mathieu accoste une maghrébine, elle va lui dire dégage sale fragile
Si Matthieu accoste une blanche, dans 1/2 des cas elle va lui dire dsl je préfère les rebeux

Que si Karim accoste une maghrébine, il la gère
Et que si Karim accoste julie, il la baise aussi (2/3 des julies).

Le 05 août 2022 à 10:59:33 :

Le 05 août 2022 à 10:58:35 :

Le 05 août 2022 à 10:53:47 :

Le 05 août 2022 à 10:51:50 :

Le 05 août 2022 à 10:48:44 :

Le 05 août 2022 à 10:46:49 :
On colonise un pays pendant un siècle et demi et on s'étonne de l'après coup, qui reste négligeable proportionnellement à la présence mortifère de la France en Algérie pendant une durée aussi longue

Les algériens qui chialeront jusqu'a la fin des temps de la colonisation https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg
Faudra songer à passer à autre chose les golems https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Ah mais t'inquiète pas pour ça, on est passé à autre chose, dans un tout nouveau continent https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Vous le vivez comment que votre pays soit un shithole ou personne veut habiter et que maintenant vous vivez dans la misère chez vos anciens colons qui vous méprisent et que vous parlez notre langue et livrez nos commandes uber eats ? https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg
Perso je le vivrai pas très bien https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/2/1632845260-darwinrisitas.jpg

Demande à n'importe quel blédard arrivé en France, il ta répondra que sa vie est infiniment meilleure ici. Tout est relatif le low, tu crois qu'il en a quelque chose à cirer de la lutte des classes le blédard shooté à l'artane ? :)

Je pense qu'on connait le côté qui vit mal la situation actuelle :)

Justement ça fait les fiers alors que ça se barre de son pays pour vivre chez les anciens colonisateurs https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
Plus ridicule ça n'existe pas

"vivre chez" ou bien "remplacer" ? il faut vous décider :)

Car le sens sous-jacent de la phrase ne serait plus du tout le même et ta proposition tombe à l'eau dès lors que tu choisis d'être un minimum régulier dans ta rhétorique :)

Le 05 août 2022 à 11:04:28 :

Le 05 août 2022 à 10:46:39 :

Le 05 août 2022 à 10:45:57 :

Le 05 août 2022 à 10:44:20 :

Le 05 août 2022 à 10:35:54 :
I. Introduction: En matière de criminalité, il en va de la nationalité comme de la taille

Sachant que la surreprésentation des immigrants dans la criminalité est un phénomène universel qui s’observe donc dans tous les Etats , il paraît évident qu’il ne peut pas s’agir d’un simple problème de couleur de passeport !Mais quelles sont alors les variables déterminantes dans l’explication du phénomène criminel ? Comme il a été mentionné en introduction, l’une des principales variables explicative est le sexe. En effet, pour une distribution hommes/femmes d’environ moitié-moitié dans la population, il y a en Suisse quelque 85% d’hommes dans la statistique de condamnations pour seulement 15% de femmes.

Une autre variable importante dans l’explication du phénomène criminel est l’âge. Pour une proportion de quelque 30% de personnes de moins de 30 ans en Suisse, celles-ci sont environ 50% dans la statistique de condamnations.

C’est ainsi que le volume de la criminalité d’un Etat dépend fortement de la composition démographique de sa population. En effet, plus il y a de personnes du sexe et de la classe d’âge les plus criminogènes (soit des hommes et des jeunes), plus il y a de criminalité.

Puis vient encore le niveau socio-économique, puisqu’il ressort des derniers sondages que quelque 37% des résidents en Suisse proviennent de milieux socio-économiques modestes ou moyens inférieurs et que ces mêmes milieux produisent environ 60% de la délinquance. Pour leur part, les milieux moyens supérieurs et aisés (soit 63% de la population sondée) produisent environ 40% de la criminalité [2].

Et finalement, ce qui vaut pour les différences de statuts socio-économiques vaut également pour le niveau de formation. C’est ainsi que la moitié de notre population est de niveau de formation «modeste» (primaire, secondaire, école professionnelle, apprentissage), alors que ce même niveau de formation se retrouve pour quelque 68% de personnes en détention [3].

Le 05 août 2022 à 10:36:06 :
III. Modèle multivarié

Ce que nous avons présenté dans les deux sections précédentes permet de constater que le phénomène criminel est lié de manière bivariée à plusieurs facteurs. Mais cela ne nous avance pas beaucoup, puisque le crime proviendrait des grands, des étrangers, des jeunes, des hommes, des pauvres et/ou des plus modestement formés. A partir de là, chacun tirera ses conclusions, non pas sur la base de connaissances scientifiques, mais bien en fonction de sa tendance politique. En d’autres termes, ces corrélations bivariées ne nous disent pas grand chose pour ne pas dire rien du tout sur le phénomène criminel. Nous tenterons dès lors d’affiner l’analyse afin de rendre notre propos un peu plus scientifique.

Si nous avons déjà vu que la taille en tant que telle n’influence en rien le crime mais est entièrement contenue dans la variable sexe, il nous reste encore à déterminer quel est le poids respectif de chacune des cinq variables restantes dans l’explication du phénomène criminel. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre l’ensemble des variables explicatives du crime relevées ci-dessus dans un même modèle (qui ne sera donc plus bivarié, mais multivarié), modèle qui nous permettra de déterminer laquelle de ces variables explique la plus grande partie du crime, puis la valeur explicative supplémentaire de chacune des autres variables introduites dans le modèle.

En agissant de la sorte, on observe que la variable numéro un dans l’explication de la criminalité est le sexe. Le fait d’être un homme plutôt qu’une femme est donc l’élément le plus prédicteur de la commission d’une infraction [4]. En deuxième position on trouve l’âge; ainsi, le fait d’être un jeune homme est plus criminogène que le fait d’appartenir à toute autre catégorie. En troisième position vient ensuite le niveau socio-économique et finalement le niveau de formation.

En d’autres termes, le profil type du criminel est celui d’un homme, jeune, socio-économiquement défavorisé et de niveau de formation plutôt bas.

Et alors la nationalité dans tout cela? Eh bien la nationalité n’explique généralement aucune partie supplémentaire de la variance de la criminalité. En effet, la population migrante étant composée de manière surreprésentée de jeunes hommes défavorisés, la variable «nationalité» est comprise dans les autres et n’explique aucune part supplémentaire de la criminalité par rapport aux autres variables prises en considération ; ceci de manière identique à la taille qui est comprise dans le sexe dans l’exemple mentionné en introduction, les hommes étant en moyenne plus grands que les femmes.

Ce qui vient d’être exposé permet par ailleurs de comprendre pourquoi le constat que les étrangers commettent davantage de crimes que les nationaux est un phénomène universel. En effet, la migration, de manière générale, est principalement une affaire de jeunes plutôt que de vieux et d’hommes plutôt que de femmes. Sachant que les jeunes hommes représentent justement la partie de la population la plus criminogène, il est donc logique que la population migrante soit plus criminogène que ceux qui ne bougent pas de leur lieu de naissance.

Il est dès lors totalement erroné de comparer les étrangers aux nationaux, puisque l’on compare alors une population faite essentiellement de jeunes hommes à une population de nationaux vieillissants et composés des deux sexes à proportions à peu près égales. C’est ainsi que si l’on compare le taux de criminalité des étrangers à celui des nationaux du même sexe, de la même classe d’âge, de la même catégorie socio-économique et du même niveau de formation, la différence entre les nationaux et les étrangers disparaît.

Il arrive néanmoins que la nationalité explique tout de même une petite partie de la criminalité ; ceci dans le cas très particulier de migrants provenant d’un pays en guerre. En effet, l’exemple violent fourni par un Etat en guerre a tendance à désinhiber les citoyens qui deviennent alors, eux aussi, plus violents et exportent ensuite cette caractéristique dans le pays d’accueil. Ce phénomène est connu en criminologie sous le nom de «brutalisation». Ainsi, il semblerait que, lorsque l’immigration provient d’un pays en guerre, les quatre premières variables (sexe, âge, statut socio-économique et niveau de formation) ne suffisent pas à expliquer toute la criminalité ; la nationalité entre alors aussi dans le modèle explicatif, en cinquième position. Au contraire, lorsque l’immigration provient de pays non en guerre, la nationalité n’explique rien de plus que ce qui est déjà expliqué par les quatre premières variables.

Mentionnons encore que le phénomène de «brutalisation» que nous avons évoqué ci-dessus explique également pourquoi les Etats qui ont réintroduit la peine de mort aux Etats-Unis ont connu ensuite une augmentation de leur criminalité violente [5]… En effet, lorsque l’État procède lui-même à des exécutions capitales, il désinhibe les citoyens en les confortant dans l’idée que la violence est une manière adéquate de résoudre les conflits, augmentant ainsi le nombre de crimes violents. Le même effet de «brutalisation» permet probablement aussi de comprendre pourquoi, en Suisse, la punition ordinaire qu’infligent certains parents à leurs enfants lorsque ceux-ci font une bêtise est l’enfermement dans la chambre, alors qu’il s’agit aux yeux de la loi pénale d’une séquestration, passible d’une peine privative de liberté de cinq ans… Nous sommes donc tous brutalisés par nos systèmes étatiques respectifs que nous reproduisons ensuite, sans même nous en rendre compte, à plus petite échelle.

IV. Considérations de politique criminelle

Nous savons donc maintenant que les variables qui expliquent le phénomène criminel sont dans l’ordre :

Le sexe;
L’âge;
Le niveau socio-économique;
Le niveau de formation;
La nationalité (parfois).

La question qu’il reste à résoudre est de savoir comment cette connaissance peut être transposée en termes de mesures de prévention du crime. Si l’on prend les variables dans leur ordre d’importance explicative du phénomène criminel, on devrait envisager en premier lieu une politique de réduction de la masculinité… Il va néanmoins de soi que des politiques préconisant l’élimination des hommes ou l’encouragement de la natalité féminine contreviendraient non seulement à notre droit, mais seraient également fondamentalement contraires à notre sens de l’éthique. Les mêmes griefs peuvent d’ailleurs être avancés contre des politiques qui préconiseraient une élimination ou une ghettoïsation des jeunes. Quant à une politique de «dénatalisation», elle irait à l’encontre de l’intérêt de l’Etat à long terme.

Notons néanmoins que, pour ce qui est de la variable sexe, la féminisation d’une société ne passe pas forcément par une féminisation physique, mais pourrait tout aussi bien être à caractère sociologique. Cela reviendrait donc à rejeter les valeurs généralement attribuées à la gent masculine (tel le machisme) et à favoriser des valeurs que la société attribue plus volontiers aux femmes (telles que la tendresse).

En troisième lieu donc après le sexe et l’âge , il serait envisageable de songer à une prévention du crime passant par davantage d’égalité entre les habitants d’un pays et donc à éviter toute «société à deux vitesses». Puis, en quatrième lieu, il s’agirait d’envisager une amélioration du niveau de formation des plus démunis et des moins bien formés.

V. Conclusion

Si l’on cherche véritablement à lutter contre le crime et que l’on désire investir dans les mesures qui ont le plus grand potentiel de succès, il est impératif de commencer par envisager une action sur les variables les plus explicatives de la criminalité. Sachant par ailleurs que l’action sur le sexe et sur l’âge est difficilement réalisable et surtout éthiquement douteuse, les actions les plus à même de combattre le phénomène criminel semblent manifestement être les actions sociale [6] et éducative.

Comme le fait de s’attaquer à la taille des personnes, s’en prendre aux migrants consiste donc à se tromper de cible. Sans compter par ailleurs qu’il n’est pas certain qu’une politique d’élimination des étrangers soit vraiment plus éthique qu’une politique d’élimination des hommes ou des jeunes…

[1] Pour des données plus précises, nous renvoyons le lecteur au site internet de l’Office fédéral de la statistique ( http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index.html), rubrique 19 Criminalité, droit pénal. Cela vaut d’ailleurs pour toutes les données chiffrées contenues dans le présent texte, à l’exception de celles pour lesquelles une autre source est indiquée.
[2] Sources: sondages suisses de délinquance autoreportée, de victimisation et de sentencing.
[3] Sources: sondages suisses et statistiques pénitentiaires américaines. Il n’existe pas en Suisse de données sur le niveau de formation des personnes condamnées et/ou incarcérées.
[4] Cela n’implique évidemment pas que tous les hommes commettent des crimes et que les femmes n’en commettraient jamais, mais simplement que, parmi les criminels, il y a une forte surreprésentation masculine.
[5] Dans ce contexte, l’hypothèse de la «brutalisation» a par exemple été vérifiée dans l’Etat d’Oklahoma par W. C. Bailey, «Deterrence, Brutalization, and the Death Penalty: Another Examination of Oklahoma’s Return to Capital Punishment», Criminology, vol. 36, 1998, pp. 711ss.
[6] Dont font d’ailleurs partie les politiques d’intégration des étrangers.

Très instructif, mais les segpas bac -5 du forum ne vont pas lire et vont continuer à boucler sur les mêmes poncifs parce que c'est plus sulfureux et ça fait plus éveillé d'être un marginal raciste qu'un homme versé dans la science la mesure et la nuance.

On ne parle pas de nationalité mais de culture, ça prouve surtout que tu ne lis rien https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png

L'article en parle mais évidemment comme tu ne l'as pas lu :)

L'article n'en parle absolument pas, le mot n'est même pas mentionné https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Et alors niveau enculage de mouche cet article fait fort, j'ai rarement vu un "article" tourner autant autour du pot, de balancer des truismes par paquet de douze pour ne jamais parler de ce qui fâche.
Il dit que la plupart des délinquants et criminels sont des hommes. Pourquoi ? On ne sait pas https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Rien à voir sans doute avec le fait qu'ils soient par nature moins soumis aux normes sociales, à la pression de groupe, qu'ils soient plus facilement désinhibés. https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Non parce qu'ils sont des hommes point. Merci de cette grande analyse sociologique https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png

Ensuite leur statut d'étranger, selon cet article, le plus fort de taux de criminalité serait ceux de gens venant de pays en guerre.
Vérifions cela avec le taux de condamnations pour le 1000 résidents de la même nationalité (données de 2020 basés sur les stats de 2019 présents sur swiwwinfo.ch ) :
Premiers pays avec le plus grand taux de criminalité : Les pays d'Afrique septentrionale avec 16.5 condamnations pour 1000 habitants (pour un total de 304 000 condamnés).
Tiens donc, j'ignorais que le Maroc, la Tunisie, l'Egypte et l'Algérie étaient en guerre. https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Donc cet article en plus d'enculer des mouches raconte de la merde https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png
Dois-je continuer à démonter ce torchon mensonger ou ça te suffit ? https://image.noelshack.com/fichiers/2020/22/2/1590519331-pascal-poker-face-2.png

Tu as tout dit.
Encore une fois cet article rassure juste les candaules qui ne veulent pas de confrontation.

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Cops7861
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5 août 2022 à 07:54:01
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5 août 2022 à 11:21:00
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