Pour rendre hommage à ces centaines de personnes déportées, dont un certain nombre ne sont pas revenus, j’illustre ce sujet avec la seule photographie connue de l'événement, retrouvée en 1990 par Serge Klarsfeld dans les archives photographiques de France-Soir recueillies par la Bibliothèque historique de la Ville de Paris en 1987.
Voir le peuple de France s'autoflageller et demander pardon pour des crimes qu'il n'a pas commis auprès de personnes qui ne sont pas directement victimes me donne la nausée.