Un réfugié économique et climatique envoie sa femme 27x à l’hôpital
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La france est cuck mais oublie pas que c'est parce que ce pays est peuplé de français.
C'est dans votre sang de vous faire cuck
Le 11 juillet 2022 à 12:53:41 :
Réfugié climatique bordel
Pour ceux qui n'arrivent pas à lire l'article sur le site:
Publié le 09/07/2022 à 10:25 , mis à jour à 10:37
Son compagnon a été condamné, ce jeudi 7 juillet, par le tribunal correctionnel de Mende.
Le tribunal correctionnel de Mende voit passer une nouvelle affaire de violences conjugales, en ce jeudi 7 juillet. Cette fois-ci, le prévenu, un homme de 20 ans, réfugié économique et climatique originaire du Cameroun est poursuivi pour des faits de violences habituelles suivies d’une incapacité supérieure à huit jours. Sa victime, également la vingtaine, est quant à elle originaire de Guinée et bénéficie d’une protection subsidiaire sur le territoire national.
Un casier judiciaire vierge, mais des faits gravesPour débuter, la présidente du tribunal Anne Monnini-Michel fait un bref rappel des faits indiquant que le prévenu et la victime se connaissent depuis 2019. Les deux protagonistes vivent toutefois séparés. Le premier ayant son propre logement, tandis que la jeune femme vit dans un immeuble paroissien, à Mende. Un lieu où résident également des religieux. "Le 17 juin dernier, la victime a déposé plainte au commissariat de Mende, explique la présidente. Elle indique que ce jour, alors qu’elle se trouvait chez elle, vous lui avez tiré les cheveux, vous l’avez frappée plusieurs fois au visage, bien qu’elle vous ait demandé de partir […]"
En réalité, ces violences auraient débuté en 2020 avec des faits récurrents lors des deux années suivantes. Le prévenu l’aurait d’ailleurs menacée, si elle portait plainte, d’être contraint de repartir au Cameroun. L’enquête démontre également que la victime est passée pas moins de 27 fois aux urgences. "C’est une chose que l’on voit rarement", confie la présidente. En garde à vue, le prévenu a d’ailleurs partiellement reconnu les faits, notamment ceux du 17 juin. Il ajoute cependant : "C’est elle qui a commencé à me frapper en me tirant les cheveux et je me suis défendu". Ce à quoi la présidente rétorque : "On va rappeler, monsieur, que vous faites 84kg, que vous mesurez 1 m 87 et que vous pratiquez la boxe." Un gabarit imposant face à une victime bien plus petite que lui.
De son côté, la substitute du procureur de la République Magali Espaze, lors de son réquisitoire, revient sur les différents témoignages dont celui du prêtre. "On a plusieurs témoins qui assurent avoir assisté à ces violences, indique-t-elle. […] Le prêtre, lorsqu’il dit – vidéo à l’appui – que la porte, même fermée, bougeait face à la violence. Que vous vous en êtes pris à plusieurs reprises à la victime en la prenant, notamment, sous votre bras avec force et qu’il a dû se mettre à genoux et vous implorer pour que vous arrêtiez. Il ment ?"
« Il me prenait pour la bonne »C’est ensuite au tour de la victime de se présenter à la barre. Face à la présidente du tribunal, elle décrit le prévenu comme étant quelqu’un de calme en apparence, mais qui peut devenir violent lorsqu’il y a des disputes. "Il me prenait pour la bonne. En Afrique, l’éducation fait que la femme doit tout faire. Il ne voulait jamais m’aider", confie-t-elle. "Pourquoi ne pas avoir mis fin à la relation ?" demande la présidente. "Il me disait qu’il allait changer", explique la jeune femme. L’avocat de cette dernière, Me Alain Dibandjo, ajoute : "C’est quelqu’un de fragile (la victime, NDLR). Elle a vécu des choses que la décence m’interdit de dire devant vous. Elle les a subis à l’âge de 13-14 ans. C’est pour ça que la France lui a accordé sa protection. […] Aujourd’hui, elle veut être protégée. C’est toujours difficile pour une victime de passer la porte d’un commissariat." Du côté du prévenu, son avocate, Me Marie-Laure Chavin, plaide, face à ces faits, pour une condamnation adaptée à sa vie passée où la violence était presque naturelle. "Il ne pensait pas faire aussi mal", indique-t-elle.
Finalement, le tribunal correctionnel de Mende suit, en partie, les réquisitions de la substitue du procureur en déclarant coupable le prévenu. Il est condamné à douze mois d’emprisonnement, dont six mois de sursis probatoire pour une période de deux ans. Il a également une obligation de soins et doit réparer les dommages causés à la victime. Il a interdiction de rentrer en contact avec elle ou de se rendre à son domicile. Il devra aussi réaliser, à ses frais, un stage sur les violences sexistes et sexuelles. Enfin, alors que la procureure avait demandé une interdiction de se rendre sur le territoire national pour une durée de cinq ans, le tribunal décide de ne pas suivre cette réquisition.
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- taredu31
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- 11 juillet 2022 à 12:51:08
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