la religion ayaaa
Supprimé- 1
https://www.youtube.com/watch?v=7sCYe7Kb5qw
Au cours des dernières décennies, des scientifiques du monde entier ont fait des découvertes montrant clairement qu’un Concepteur intelligent est responsable de la création de l’Univers. Beaucoup croient que l’univers tout entier est né à partir de rien, par hasard. Mais si vous y pensez vraiment, du rien ne pourrait pas faire naître l’univers, puisque du rien ne produit que du rien. Tout ce qui vient à exister se doit d’avoir une cause.
https://www.youtube.com/watch?v=1QebJ6dZa3c
On peut ajouter à cette donnée scientifique précise bien d’autres arguments et preuves irréfutables comme : le nombre d’or, le modèle fractal de la création, le concept de symétrie,… Mais il est vrai qu’aucune preuve scientifique ne peut ouvrir les cœurs, aucune preuve matérielle ne peut faire gagner raison aux égarés, c’est ainsi.
https://www.youtube.com/watch?v=RE7iEQ8dyO0
D'après vous les rathées, cette créature a t-elle dû passer une formation ? Faire le même CAP que ta magalax pour atteindre ce degré de compétences, de précision ? Alors qu'il faudrait des années de formations et d'apprentissage pour un être humain.
Mais on nous dira que l'homme est issu d'un poisson malformé qui s'est fait enculer par un lezard qui ont eux même eu un enfant malformé qui a enculé un chimpanzé et blablabla
I. Le témoignage du registre fossile
A. Les fossiles sont la seule preuve directe de l’évolution
Comme Darwin l’avait reconnu en son temps, la doctrine de l’évolution tient ou tombe avec les fossiles. Selon cette théorie, si elle est vraie, une quantité colossale de fossiles de créatures intermédiaires doit être enfermée dans les strates géologiques. Ces fossiles sont l’unique preuve possible de l’existence, à un moment donné du passé, du passage entre espèces différentes. Or, cette preuve unique était absente à l’époque de Darwin. Darwin reconnaissait cette absence de formes intermédiaires, mais il l’attribuait au faible nombre de fossiles découverts et à l’extrême rareté de leur formation.
« La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c’est en cela, peut-être, que consiste l’objection la plus sérieuse qu’on puisse faire à la théorie. Je crois que l’explication se trouve dans l’extrême insuffisance des documents géologiques[3]. »
Darwin pensait, espérait que les recherches paléontologiques confirmeraient sa théorie ; de son vivant, il se cramponnait à cette hypothèse devenue sa vision du monde. Mais aujourd’hui les muséums du monde entier contiennent plus de 200 millions de fossiles, de sorte qu’il est impossible d’avancer que le registre fossile est incomplet. Comme Carl Werner l’écrit en citant de nombreux paléontologues réputés, « les archives fossiles sont complètes, équilibrées, précises et impressionnantes[4] ». Que nous enseignent donc, aujourd’hui, les fossiles après cent cinquante ans de recherches et de fouilles intenses ? Il est possible d’affirmer que les fossiles témoignent d’une histoire de la Terre marquée par des catastrophes de grande ampleur, de la discontinuité, de la complexité et de la stabilité des espèces.
B. La discontinuité du registre fossile
Pratiquement toutes les nouvelles espèces fossiles découvertes depuis les années 1860, représentant des milliers d’espèces différentes, montrent soit des formes voisines ou identiques aux espèces connues, soit des types, des groupes uniques de parenté inconnue. L’absence de nombreuses formes intermédiaires exigées par la théorie de l’évolution est remarquable. Dès le début de leur apparition dans les archives fossiles, les onze grands types d’invertébrés sont complètement distincts les uns des autres. Ces groupes fondamentaux sont donc apparus sans histoire évolutive. Les fossiles démontrent les fossés énormes qui existent entre toutes les espèces, passées et présentes. Ces faits bruts justifient un verdict sans appel de la part des scientifiques évolutionnistes les plus renommés :
George Neville : « … le registre fossile continue toujours d’être composé principalement par des fossés[5]. »
Stephen Jay Gould : « … L’archive fossile avec ses transitions abruptes ne soutient en rien un changement graduel… Tous les paléontologistes savent que l’archive fossile contient précisément peu de formes transitoires ; les transitions entre les groupes majeurs sont caractéristiquement abruptes[6]. »
Steven M. Stanley : « … le registre fossile connu ne documente pas un seul exemple d’évolution phylogénique accomplissant une transition morphologique majeure et donc n’offre aucune preuve que le modèle gradualiste puisse être valable[7]. »
Autrement dit, les fossiles ne témoignent en rien d’une histoire transformiste graduelle mais bien plutôt d’apparitions soudaines de créatures entièrement formées et fonctionnelles, soit de créations spéciales.
C. La complexité
Aujourd’hui, les organismes sont rangés dans des séquences allant du plus « simple » au plus « complexe » ; mais si nous regardons chaque plan de base séparément, nous nous apercevons que les types « primaires » ne sont pas simples. Ils sont, au contraire, extrêmement complexes. Dès la base de la colonne géologique se trouvent beaucoup d’exemples d’organismes complexes défiant toute imagination : par exemple, l’œil incroyablement complexe des trilobites qui font partie pourtant des animaux les plus anciens.
L’apparition quasi simultanée des grands groupes d’invertébrés dès le début de la vie montre la présence d’organes complexes : yeux composés, appareils digestifs, appareils locomoteurs, système nerveux, organes des sens (fossiles du gisement d’Ediacara, etc.).
https://larevuereformee.net/articlerr/n261/levolution-une-theorie-invalidee-par-les-faits
enfin ..
- 1
Données du topic
- Auteur
- RinnelidoV58
- Date de création
- 7 juillet 2022 Ă 19:54:54
- Date de suppression
- 7 juillet 2022 Ă 20:04:37
- Supprimé par
- Modération ou administration
- Nb. messages archivés
- 12
- Nb. messages JVC
- 12