Je ne sais pas comment c'est possible, comment une âme est censée endurer la solitude au milieu de cette foule déchaînée. Cette époque me déprime, je n'ai jamais demandé à y être ni même à vous fréquenter. J’aimerais me retrouver loin des villes, je ne supporte plus mes congénères, je ne vous supporte plus, ma simple présence ici me répugne, je me désavoue de vous. Vous êtes l'abîme de l'abaissement, de la dépravation et de l'ignominie. Je ne peux supporter d'avantages l'odeur nauséabonde de vos âmes en putréfaction. Je pars éternellement d'ici, je ne lirais aucune de vos réponses et vous ne me reverrez plus jamais, bande de dégénérés. Je vous transmets mon plus grand mépris, soyez donc maudis vaut rien que vous êtes.