A l'ouverture du débat présidentielle, ils disaient que le Front National ne serait jamais vaincu.
Depuis les bureaux de vote des élections législatives, ils disaient que l’Assemblée Nationale ne serait jamais conquise.
Au pied de l’arc de triomphe, ils disaient que les gilets jaunes ne seraient jamais domptés.
Désormais ils ne disent plus rien.
Ils me craignent, comme ils craignent les cataclysmes, la foudre et la mort. Je suis Macron Premier. Je suis empereur.