Dès que je suis rentré chez elle, c'est-à-dire chez mon plan cul, ça sentait le pet de vieux dans tout l'appartement, même en l'embrassant ça sentait le pet à l'intérieur de sa bouche. Elle m'a dit qu'elle avait mangé un paquet entier de céréales, je voulais tellement niquer que je n’en avais rien à foutre de la baiser dans cette atmosphère impure. Je lui ai flanquée une bonne fessée sur ses fesses bien joufflues, et un prout s'est fait entendre, mais surtout très vite sentir, et cette idiote rigolait, avec son regard suppliant, toute excitée de savoir si je la baiserais dans toute son intimité actuelle ou si je partirais en courant.
Pour commencer je lui ai bouffé la chatte en 69 pendant qu'elle s'occupait de mon gourdin, c'est comme ça qu'on procède depuis toujours et ce n’est pas le pot d'échappement en pleine éruption qui se trouvait à 2cm au dessus qui allait me faire changer d'avis. Pendant que j'étais entre ses deux fesses qui avalaient mon visage, mes coups de langues avaient achevés de la mettre dans une transe incontrôlable, et des prouts bien gras sortaient en boucle pendant que la masse charnue de son fessier m'empêchait d'avoir accès à de l'air pur. Je ne voulais pas mourir, pas comme ça, il fallait combattre à arme égales et donc j'ai commencé à souffler dans sa chatte, elle a bondi du lit en hurlant, avec une symphonie de pet qui accompagnait son agitation, et à la fin un long prout de cinq secondes qui resonnait dans tout l'appartement et qui s'est terminé sur une note aigue, qui nous a bien fait rire tous les deux dans cette odeur puante de prout qui me faisait avoir des réflexes de vomissements, c'était musicalement pas mal.
Je l'ai choppée en levrette ensuite, et je pouvais sentir les effluves de pets chauds remontés le long de mes abdominaux suants, cette odeur m'énivrait à mesure que l'excitation grimpait, comme si la plus dégueulasse des odeurs devenait érotique à mesure qu'elle faisait partie depuis le début de nos ébats, et j'ai même pu remarquer que ses pets devenaient plus chauds à mesure que son excitation grimpait
Tout à coup elle se mit à hurler en tremblant, tout en m'arrosant de cyprine et un gaz d'une température élevé, d'abord silencieux devenait de plus en plus grave jusqu'à vous en crever les tympan, je sentais mon torse brûler, j'ai du me retirer avec vitesse, mais l'air de la chambre devenait de plus en plus chaud, brûlant, l'odeur était pestilentielle je pouvais pas respirer et c'est là que son cul pris feu, « aide-moi », qu'elle me dit alors que son lit était en feu, j'ai pris mon courage à deux mains et je l'ai emmenée jusqu'au toilettes, relevé la cuvette et mise à l'intérieur et j'ai tiré la chasse, d'ailleurs j'ai vu une crotte partir avec, elle avait chié Sauf que le feu s'était propagé encore plus dans l'appartement, sur les rideaux et les meubles
On ne pouvait pas sortir car la porte elle même était en feu, j'ai eu une idée fantastique, j'ai ouvert la fenêtre et je l'ai prise dans mes bras, nous avons sautés et avant d'atteindre le sol je lui ai donné le signal « pète ! » et notre chute fut amortie. Ensuite je l'ai amenée chez le médecin pour traiter ses brûlures anales, elle avait le canon encore fumant