Les hommes non-vierges sont misérables et pathétiques !

Il n'y a que les esclaves qui peuvent désirer le sexe, car ils se cherchent des maîtresses.

Ils sont incapables de vivre seul, ils deviennent l'esclave de la femme, dont ils envient la beauté ; la femme, parasite et égotiste, profite allègrement de la naïveté, de l'animalité et du besoin de reconnaissance des hommes pour les étourdir entre leurs cuisses, en lui donnant de faux espoirs et en volant énergie et ressources.

Dans l'acte sexué, la femme expose pleinement sa nature de parasite : l'homme s'évertue à la combler tandis qu'elle, passive, jouit de posséder l'énergie de l'homme jusqu'à ce que ce dernier s'écroule de fatigue.

Typique des sous-hommes, incapables de vivre par eux-mêmes, prêts à tout pour se faire voler leur énergie par la première venue, tout cela pour l'illusion du Moi originel, réconfort presque enfantin : "oh oui, par l'union des corps je suis redevenu Adam, fini la solitude." Mais c'est illusoire et vos chimères vous poussent à perdurer dans les actes vains et néfastes, manifestations pitoyables d'esprits remplis de boue.

Il faut vraiment être un imbécile fini pour tomber dans le piège des succubes. Les femmes n'aiment pas le corps masculin bien sûr, elles ne copulent que par perversité malsaine et instinct de survie : c'est pour elles le moyen le plus sûr de voler de l'énergie.

Ma pucellerie prouve ma supériorité sur le peuple; les femmes me méprisent car je suis bien trop malin pour qu'elles ne me volent, ces immondes receleuses; les esclaves se gaussent de moi car ils ont bien peu d'esprit, ce ne sont même plus des hommes mais plutôt des singes.

Le 15 juin 2022 à 23:15:00 :
Sans foi il n’y a aucun mal à coucher avec n’importe qui

La morale n'appartient pas aux fils d'Abraham.

Le 15 juin 2022 à 23:15:15 :
La femme est condamnée à la médiocrité, elles n'ont jamais rien fait de bon. C'est le mal absolu, une nonne vaut bien mille diables.
Le marin ne craint ni l'incendie, ni la tempête : il n'a peur que des sirènes.
La femme, naufrage de l’homme, tempête en la maison, obstacle au repos, chienne chargée d’ornements, mal nécessaire. Les femelles sont biologiquement plus faibles et plus froides, et il faut considérer leur existence comme une défectuosité de la Nature.

Plus faibles et plus froides ? Et la maternité dans tout ça ?

Le 15 juin 2022 à 23:15:47 :

Le 15 juin 2022 à 23:15:00 :
Sans foi il n’y a aucun mal à coucher avec n’importe qui

La morale n'appartient pas aux fils d'Abraham.

Ça n’est pas une question d’appartenance, elle nous à été dicté

Le 15 juin 2022 à 23:15:54 :
Et si on est gay l'OP ?

Alors c'est de la perversité, du masochisme et l'abjection déifiée; nihilisme abject, laideur ontologique et finitude permanente; être défectueux, bon à la morgue.

Le 15 juin 2022 à 23:16:43 :

Le 15 juin 2022 à 23:15:15 :
La femme est condamnée à la médiocrité, elles n'ont jamais rien fait de bon. C'est le mal absolu, une nonne vaut bien mille diables.
Le marin ne craint ni l'incendie, ni la tempête : il n'a peur que des sirènes.
La femme, naufrage de l’homme, tempête en la maison, obstacle au repos, chienne chargée d’ornements, mal nécessaire. Les femelles sont biologiquement plus faibles et plus froides, et il faut considérer leur existence comme une défectuosité de la Nature.

Plus faibles et plus froides ? Et la maternité dans tout ça ?

La femme aime son enfant parce que c'est sa création, son objet, son esclave. Comme toujours, la femme ne s'aime qu'elle-même.

Le 15 juin 2022 à 23:24:41 :
Toi tu es encore plus misérable à critiquer des hiearchies pour te sentir mieux que les autres.

"Toi tu"

Le 15 juin 2022 à 23:25:55 :

Le 15 juin 2022 à 23:24:41 :
Toi tu es encore plus misérable à critiquer des hiearchies pour te sentir mieux que les autres.

"Toi tu"

Ça se dit pas ?

Le 15 juin 2022 à 23:27:11 :

Le 15 juin 2022 à 23:25:55 :

Le 15 juin 2022 à 23:24:41 :
Toi tu es encore plus misérable à critiquer des hiearchies pour te sentir mieux que les autres.

"Toi tu"

Ça se dit pas ?

Dans les banlieues sûrement, sinon ce n'est guère d'usage.