Ce mal-être existentiel depuis enfant Tenter un truc stupide à 26 Entrer dans ce merveilleux engrenage psychiatrique à la suite Vivre (trainer ma carcasse) depuis 5 1/2 au rythme des hospits/thérapies Actuellement à 12 mois d'hospit de jour (après 2 complètes), avoir fait le tour et retourner dans l'état mental du début d'hospit être enseveli par une vague scélérate d'émotions, d'angoisses, d'anxiétés dès qu'il s'agit de vivre des choses du monde. Constater que mon rapport au monde ne changera jamais malgré des tentatives de travailler sur malléabilité de mon cerveau et que mes apprentissages pour évoluer sur la déferlante de mes ressentis ne mènent à rien. La vie à un goût de pain rassis. La vie est une farce et j'en suis le dindon. Je ne sais pas ce que j'ai fait de mal pour avoir un cerveau et un coeur pareil. J'ai l'impression qu'ils ne peuvent plus rien pour moi
ça ne va pas trop, c'est pas folichon. Parfois j'aimerais ne plus rien ressentir.
Le 15 juin 2022 à 23:16:12 : Résumé de ta vie? C'est pas les gens qui vont trouver la solution. Ils peuvent juste te montrer quel clef utiliser pour t'en sortir.
échec dans mes études supérieurs de psycho, aller presque au bout de mes études d'Assistant Social mais pas diplômé car incapable de rendre mon travail de fin d'étude (tous les cours réussis). into dépendance affective qui m'a niqué le cerveau. TS. Légumineuse depuis à vomir mon dégoût de la vie et de moi en thérapie depuis 5 ans. 31 ans, pas de situation, aah pour je ne sais pas encore combien de temps, jamais travaillé de ma vie en dehors des stages. Je n'aime pas la vie et toutes les relations sociales me font souffrir. Une poubelle a plus de valeur que moi.
Je suis à laah comme toi et je souffre parfois aussi mais ta pas de mystère faut se faire violence pour avancer se plaindre ne mène à rien au final même si je te comprends
Le 15 juin 2022 à 23:27:46 : Je suis à laah comme toi et je souffre parfois aussi mais ta pas de mystère faut se faire violence pour avancer se plaindre ne mène à rien au final même si je te comprends
Tu as raison mais je ne sais même plus quelle type de violence m'infliger, ni ce que je suis censé faire.