Mon article sur les femmes pures (ma vision)…

Qu’est-ce qu’une femme pure ?

Inconsciemment, la plupart des hommes recherchent des femmes pures, qu’ils perçoivent comme étant respectables et donc désirables. Cette notion de pureté mérite d’être approfondie pour comprendre à quels critères elle correspond.

En réalité, comprendre ce qu’est une femme pure n’est pas particulièrement complexe. En effet, il suffit de se représenter l’inverse de l’archétype de la femme décadente d’aujourd’hui.
Les dernières décennies ont été marquées par une évolution profonde des mœurs (les prémices de cette évolution coïncident d’ailleurs avec l’arrivée de la gauche au pouvoir). Cette évolution s’est traduite par la création d’une jeunesse de plus en plus décadente et d’un accès pour les femmes à des pratiques jusque là plutôt réservées aux hommes (relation sans lendemain, consommation d’alcool, etc.).
Dans ces conditions, la femme pure est donc la femme rare, celle qui échappe à la décadence généralisée de notre époque. Plusieurs critères permettent de dessiner un portrait robot de cette femme tant convoitée.

La femme pure a des principes loin de ceux prônés par nos sociétés. Elle est animée par des valeurs fortes et rassurantes pour l’homme : fidélité, honnêteté, dévotion, etc. Ces valeurs doivent évidemment se manifester au quotidien pour avoir du sens.
Par opposition, la femme impure est très épicurienne. L’accession au bonheur ne doit, selon elle, souffrir d’aucune restriction. Elle ne consent pas à endurer des obstacles pour obtenir, in fine, un bonheur plus grand. Étant dans la recherche du plaisir immédiat elle n’est pas en mesure de prôner des valeurs qui, par définition, doivent être durables dans le temps.

Le mode de consommation de la femme pure, respectable et désirable, est également révélateur. Une femme chaste est abstème et ne fume pas car elle a suffisamment d’amour propre pour respecter son corps et le rendre attractif aux yeux de son époux.
La femme décadente est, typiquement, une grande consommatrice d’alcool et de tabac. L’auto-destruction n’est jamais attractive et ce type de vices, quand ils touchent les femmes, sont d’autant plus repoussants (celles-ci étant censées incarner une certaine élégance et innocence).
Bien entendu, la question de la consommation d’alcool est à nuancer. Une femme alcoolique n’est pas à placer au même rang qu’une femme ayant une consommation très modérée d’alcool. En revanche, fuir les femmes ayant l’habitude de fumer est compréhensible ne serait-ce que pour sa santé personnelle. Il n’est d’ailleurs pas étonnant que la plupart des sites de rencontre permettent d’indiquer si la personne inscrite fume ou ne fume pas puisqu’il s’agit d’une précision importante pour de nombreuses personnes.

La nature des loisirs, activités et passions est également un critère de premier choix. Une femme pure est davantage capable de pratiquer des loisirs solitaires (tel que la lecture par exemple). Elle ne cherche pas à fréquenter des lieux incarnant la décadence comme les boîtes de nuit où les mœurs y sont particulièrement frivoles.
Au contraire, la femme impure est celle qui ne vit qu’à travers le regard des autres. Sa superficialité l’empêche d’exister par elle-même et son quotidien en est la démonstration : elle fréquente sans cesse les bars, les boîtes de nuit, et ses loisirs illustrent sa pauvreté intérieure puisqu’ils dépendent toujours d’autrui et ne sont jamais autosuffisants.

La vision même du couple est centrale et diffère considérablement entre la femme pure et la femme dévergondée. Cette vision est certes fonction de critères contextuels (éducation, législation, etc.) mais elle dépend aussi d’une volonté ou non de respecter des logiques naturelles.
La femme pure ne va pas à l’encontre des lois de la nature qui la pousse à vouloir trouver un homme capable de lui assurer une forme de protection. Le mariage est évidemment prônée par la femme pure qui a conscience du symbole fort que représente cette union. La femme pure a également conscience de la place qui est la sienne dans le couple. Elle connaît ses droits mais aussi ses devoirs en tant que femme.
Aux antipodes de la femme pure, la femme impure considère que le mariage est facultatif, que les rôles au sein du couple sont interchangeables. D’une certaine manière, elle se considère comme l’égal de l’homme et, dans le pire des cas, elle se revendique ouvertement féministe. Elle va à l’encontre des lois naturelles qui font de la femme, dans son couple, la mieux à même d’éduquer au quotidien ses enfants. L’instinct maternel est bien plus développé que l’instinct paternel ce qu’elle ne parvient pas à comprendre.

L’un des critères les plus fondamentaux auxquels doivent s’intéresser tous les hommes cherchant une femme digne d’intérêt est celui du passé, et en particulier du passé sexuel. Nous sommes tous jugés sur notre passé et cela est tout à fait normal puisque le passé reflète le chemin d’une personne (le passé pouvant être plus ou moins éloigné dans le temps). Une femme pure ne l’est pas à un instant précis mais de manière perpétuelle ou, à défaut, temporelle. Il ne peut y avoir de pureté sans un passé justifiant cette pureté. Autrement dit, la pureté se construit, se perd éventuellement mais ne se décrète en aucun cas.
Le passé sexuel d’une femme est primordial et, à critères équivalents, une femme vierge sera toujours plus attirante qu’une femme non vierge. Cette préférence ne doit pas être perçue comme étant réservée aux salafistes ou aux chrétiens chastes. En effet, tout homme ayant un minimum d’amour propre préfère être le premier plutôt que le énième. De même, tout le monde préfère le neuf à l’occasion. Il en va de même pour les femmes.
Un passé sexuel chargé doit absolument être un repoussoir pour les hommes cherchant à fonder une relation saine. Moralement, il paraît inconcevable d’accepter de sortir avec une personne ayant multiplié les partenaires au cours de son existence. Les mœurs légères (telles que les « plans cul ») annihilent l’aspect passionnel des relations sexuelles. Les femmes s’adonnant à ce type de pratiques ne mériteront jamais la confiance d’hommes dignes de ce nom. Ceux-ci redouteront toujours que la personnalité décadente de leur compagne ne ressurgisse et cela à juste titre. Une étude a d’ailleurs montré que plus une femme a connu de partenaires au cours de sa vie, plus sa capacité à se maintenir dans une relation stable est faible. Outre l’aspect scientifique, comment un homme peut-il accepter de passer après un autre homme ? Ceux-ci justifient l’injustifiable en avançant des arguments insidieux tels que « plus une femme a connu de partenaire plus elle sera expérimentée » comme si le fait de bien savoir manipuler un phallus était valorisant. Il y a fort à parier que ces hommes seraient capables d’élever un enfant qui n’est pas le leur (summum du candaulisme figuratif)… Certains arguent aussi que « les femmes ont le droit d’avoir un passé » auxquels il faut répondre que des hommes ont également le droit de ne pas être intéressés par ce type de femmes. La virginité est le Saint-Graal mais, effectivement, les aspirations varient considérablement d’une personne à une autre. Certains se satisferont du moindre quand d’autres viseront le meilleur.

Les critères évoqués précédemment peuvent paraître restrictifs tant les relations homme-femme ont évolué dans le mauvais sens ces dernières décennies. Il n’est cependant pas judicieux de renoncer à tous ces critères qui préservent l’intégrité mais aussi la solidité du couple. Évidemment, passé un certain âge, la raréfaction de cet idéal rend particulièrement complexe la quête de la perle rare. Il est évident qu’il est plus aisé de trouver, à titre d’exemple, une femme vierge à 20 ans plutôt qu’à 30 ans. Dans certains cas « critiques », reconsidérer quelques critères peut donc être envisageable même si ceux-ci doivent rester sélectifs. Le but ne devrait jamais être de s’ouvrir à toutes les femmes, y compris les plus dévergondées. Cette pseudo-ouverture et pseudo-tolérance doit être laissée aux untermensch.
De surcroît, il est évident que des critères stricts ne doivent pas être contrebalancés par des critères larges sur d’autres sujets. Bien que la beauté soit un critère hautement subjectif, il convient pour un homme de ne pas se mettre volontairement avec une femme laide sous prétexte que celle-ci répondrait à plusieurs de ses critères. Le physique constitue évidemment un critère à part entière et la liste des critères évoqués dans cette chronique n’est pas exhaustive.
Certains prétendront que les hommes doivent être tout aussi purs que les femmes qu’ils recherchent. Cette vision est défendable mais il convient de rappeler que les hommes ne jouent pas le même rôle que les femmes dans notre société et que des différences fondamentales existent entre les deux sexes. Le rapport homme-femme est en réalité un rapport dominant-dominé ou, sexuellement, un rapport pénétrant-pénétré. Inconsciemment, la femme recherche un homme (à partir de critères tels que la virilité, la force physique, etc.) capable d’assurer sa protection et de transmettre les meilleurs gènes à sa progéniture. L’homme cherche quant à lui une femme capable de le soutenir au quotidien. Ce rôle presque « secondaire » permet à l’homme d’être plus détaché. Cela se manifeste par une capacité à faire la part des choses dans un rapport sexuel strictement charnel et un rapport sexuel davantage passionnel. Les femmes, dans leurs relations sexuelles, font rarement de telles distinctions bien que l’hypersexualisation des sociétés pourrait à terme altérer cette réalité. Cela ne justifie pas pour autant qu’un homme soit infidèle en exigeant que sa femme soit fidèle. Cette distinction, vérifiable empiriquement, permet simplement de comprendre pourquoi un homme est plus à même d’être exigeant sur certains points (comportement, passé sexuel, etc.) qu’une femme. Les femmes recherchent rarement des hommes puceaux alors que les hommes recherchent souvent des femmes vierges, chacun choisit la personne avec qui construire une solide relation à partir de critères propres à chaque sexe.

Le 12 juin 2022 à 21:06:18 :
J'ai envie de dégueuler en lisant ça. Totalement misogyne et sexiste comme pavé

Première redpill difficile à avaler.

Je vais te donner une redpill, la femme que tu décris n'existes pas, n'a jamais existé et n'existera jamais.
Même dans les pays dit "traditionnels" cette femme n'existe que sous la contrainte.
Les seules femmes qui pourraient correspondre se dedient à Dieu.

Sinon par instinct la femme se dédie d'abord à ses enfants. C'est les enfants qui servent de ciment au couple. Et encore, vu le taux de divorce...

Le 12 juin 2022 à 21:18:05 :
Je vais te donner une redpill, la femme que tu décris n'existes pas, n'a jamais existé et n'existera jamais.
Même dans les pays dit "traditionnels" cette femme n'existe que sous la contrainte.
Les seules femmes qui pourraient correspondre se dedient à Dieu.

Sinon par instinct la femme se dédie d'abord à ses enfants. C'est les enfants qui servent de ciment au couple. Et encore, vu le taux de divorce...

Elle est juste très rare en ces temps troubles.

Le 12 juin 2022 à 21:37:39 :
Tu fais pitié

issou