[PAVÉ] Résumé de la SOCIÉTÉ en 2022 ...

Ce monde n'a plus aucun sens !
Tout est basé sur la forme, les gens se construisent pour plaire aux autres, tout n'est que tourne vers son petit égo et sa petite image.

Toutes vérités est ridiculisé, le bien est devenu mal et le mal tend à être le bien.
Il n'y a plus aucun moyen d'accéder à une information correcte, la totalité de l'information et de l'aspect culturel de notre époque se passe sur internet, hors, internet est noyé d'informations, il est très difficile de se faire un avis objectif.

Les réseaux sociaux ont donné la liberté de parole à tous le monde, le dernier imbécile peut exprimer sa pensée et sa vérité et l'inculturation de masse empêche les gens à se remettre en question.
Il ne savent plus apprendre, ni désapprendre, ni réapprendre. Combien même ils savent au fond d'eux même qu'ils sont dans l'erreur, ce qui compte c'est d'être accepté par le système.
Les gens se détestent tous, tout le monde porte un masque, une fausse image, c'est une société de l'ultra-violence psychologique où tous le monde expose sa vie sur les réseaux et les gens cherchent à se conformer à la vie des influenceurs.

L'argent a complètement dénaturé le monde, le seul intérêt pour les êtres humains est d'acquérir de l'argent, toujours plus d'argent. Le système capitaliste basé sur l'argent a détruit tous les socles traditionnels, ne laissant plus que l'avidité.
Comment accepter de travailler 35h voire plus pour un smic tandis qu'une jeunette de 17ans se fait l'équivalent d'1 ans de salaire en postant une vidéo de son boule ?
Une société ne peut fonctionner ainsi, plus personne ne veut fournir d'effort,
le capitalisme touche à sa fin.
Sans compter la bêtise ambiante, il n'y a plus d'élévation spirituelle, tout est plat, vide, informe, le seul but étant de se complaire dans sa petite vérité, les relations sont tous faussé, tu n'as d'amis que par les intérêts qu'ils t'apportent.

La sexualité complètement décadente et immorale a pervertie la relation homme-femme, les familles explosent car il n'y a plus de socle commun.

Et puis comment pardonner un peuple manipulable, influencable, qui ne se bat que quand sa propre liberté individuelle est concernée ? Un peuple qui stigmatise les non vaccinés, ne bouge pas le petit doigt pour les soignants suspendus qu'il applaudissait il y a peu, parce que ça ne le concerne plus.
Un peuple qui ne s'intéresse pas à l'économie, a la géopolitique ou au droit mais qui ramène sa fraise au bon vouloir des médias. Un peuple qui a la mémoire bien courte sur les bavures, les scandales et les réformes. Un peuple qui votera pour faire barrage pour un corrompu qui ne fait même plus de débat,un traître a la nation qui revend notre savoir faire à l'étranger et coule notre économie de l'intérieur. Et ils diront au pmu du coin "t'sais loh c'étai Macron ou Zemmour, on n'avai pas le choix. J'espère que yaura des meillors candidats dans 5 ans loh, parce que la c'est pas des vacances"

Cette folie atteint un tel point que l'on oublie que la vie naturellement est violente ! mais chacun s'imagine que tout cela continuera ad vitam aeternam, hors, nous voyons bel et bien que la finalité commence à se percevoir au loin, les ténèbres se rapprochent et c'est une bonne chose car c'est dans les ténèbres que nous pourrons reconnaitre un peu de lumière, un peu de vrai et non les paillettes de la médiocrité, de la fausse gentillesse de ce bas-monde.

La version plus intelligente :

« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. »

Le 11 juin 2022 à 10:46:30 :
Palu

c'est ton choix le golem

Le 11 juin 2022 à 10:58:01 :
Le constat est sans appel. Maintenant savoir ça ne sert à rien car individuellement on ne peut rien faire.
Quand bien même on aurait le pouvoir de changer quelques trucs, je pense qu'on est arrivé à un tel non-sens qu'il vaut mieux tout laisser brûler pour reconstruire.

c'est bien triste à en arriver là