[PUTAIN DE BORDEL DE MERDE] On est le 6 juin...
Les américains ont financer l'Allemagne
Tu ouvré un open blitz il y avait un moteur de marque américaine .
Le 06 juin 2022 Ă 22:06:45 :
Les américains ont financer l'AllemagneTu ouvré un open blitz il y avait un moteur de marque américaine .
Oui, les Amerloques ont jugé bon de financer l'Allemagne pour faire barrage au communisme qui menaçait à l'Est et dans une partie de la classe ouvrière allemande. Et?
Le 06 juin 2022 Ă 22:11:07 :
Le 06 juin 2022 Ă 22:06:45 :
Les américains ont financer l'AllemagneTu ouvré un open blitz il y avait un moteur de marque américaine .
Oui, les Amerloques ont jugé bon de financer l'Allemagne pour faire barrage au communisme qui menaçait à l'Est et dans une partie de la classe ouvrière allemande. Et?
Les américains ont financer aussi l'URSS
Le programme Prêt-Bail était un programme d'armement mis en place par les États-Unis afin de fournir les pays amis en matériel de guerre.
La loi Prêt-Bail, signée le 11 mars 1941, autorise le Président des États-Unis à « vendre, céder, échanger, louer, ou doter par d'autres moyens » tout matériel de défense à tout gouvernement « dont le Président estime la défense vitale à la défense des États-Unis. »
Les principaux bénéficiaires du prêt-bail étaient l'Union soviétique et le Royaume-Uni. De 1941 à 1945, les aides américaines se sont élevées à 18 millions de tonnes et 44 milliards de dollars et ont permis la livraison d'armes, de matières premières, de denrées alimentaires, de carburants…
Les livraisons américaines à l'Union Soviétique se faisaient à plusieurs routes dont celles maritimes jusqu'à la péninsule de Kola et le long du détroit de Béring par les convois arctiques et celle à travers l'Iran appelé le Corridor Perse.
Il faut noter aussi le grand effort du Royaume-Uni pour envoyer du matériel en URSS.
effectivement, aucun média n'en parle
c'est pas le cas d'habitude c'est bizarre
Le 06 juin 2022 Ă 22:12:40 :
Le 06 juin 2022 Ă 22:11:07 :
Le 06 juin 2022 Ă 22:06:45 :
Les américains ont financer l'AllemagneTu ouvré un open blitz il y avait un moteur de marque américaine .
Oui, les Amerloques ont jugé bon de financer l'Allemagne pour faire barrage au communisme qui menaçait à l'Est et dans une partie de la classe ouvrière allemande. Et?
Les américains ont financer aussi l'URSS
Le programme Prêt-Bail était un programme d'armement mis en place par les États-Unis afin de fournir les pays amis en matériel de guerre.
La loi Prêt-Bail, signée le 11 mars 1941, autorise le Président des États-Unis à « vendre, céder, échanger, louer, ou doter par d'autres moyens » tout matériel de défense à tout gouvernement « dont le Président estime la défense vitale à la défense des États-Unis. »
Les principaux bénéficiaires du prêt-bail étaient l'Union soviétique et le Royaume-Uni. De 1941 à 1945, les aides américaines se sont élevées à 18 millions de tonnes et 44 milliards de dollars et ont permis la livraison d'armes, de matières premières, de denrées alimentaires, de carburants…
Les livraisons américaines à l'Union Soviétique se faisaient à plusieurs routes dont celles maritimes jusqu'à la péninsule de Kola et le long du détroit de Béring par les convois arctiques et celle à travers l'Iran appelé le Corridor Perse.
Il faut noter aussi le grand effort du Royaume-Uni pour envoyer du matériel en URSS.
Les Américains ont financé l'URSS pendant la guerre, oui, à partir du moment où ils ont décidé de faire la guerre à l'Allemagne.
Mais avant la guerre leur stratégie était de financer l'Allemagne pour empêcher l'expansion de l'URSS et de l'idéologie communiste.
En fait, l'Allemagne leur a échappé des mains
Si les ricains n'Ă©taient pas lĂ
Vous seriez tous en Germanie..
Le 06 juin 2022 Ă 22:16:35 :
Le 06 juin 2022 Ă 22:12:40 :
Le 06 juin 2022 Ă 22:11:07 :
Le 06 juin 2022 Ă 22:06:45 :
Les américains ont financer l'AllemagneTu ouvré un open blitz il y avait un moteur de marque américaine .
Oui, les Amerloques ont jugé bon de financer l'Allemagne pour faire barrage au communisme qui menaçait à l'Est et dans une partie de la classe ouvrière allemande. Et?
Les américains ont financer aussi l'URSS
Le programme Prêt-Bail était un programme d'armement mis en place par les États-Unis afin de fournir les pays amis en matériel de guerre.
La loi Prêt-Bail, signée le 11 mars 1941, autorise le Président des États-Unis à « vendre, céder, échanger, louer, ou doter par d'autres moyens » tout matériel de défense à tout gouvernement « dont le Président estime la défense vitale à la défense des États-Unis. »
Les principaux bénéficiaires du prêt-bail étaient l'Union soviétique et le Royaume-Uni. De 1941 à 1945, les aides américaines se sont élevées à 18 millions de tonnes et 44 milliards de dollars et ont permis la livraison d'armes, de matières premières, de denrées alimentaires, de carburants…
Les livraisons américaines à l'Union Soviétique se faisaient à plusieurs routes dont celles maritimes jusqu'à la péninsule de Kola et le long du détroit de Béring par les convois arctiques et celle à travers l'Iran appelé le Corridor Perse.
Il faut noter aussi le grand effort du Royaume-Uni pour envoyer du matériel en URSS.
Les Américains ont financé l'URSS pendant la guerre, oui, à partir du moment où ils ont décidé de faire la guerre à l'Allemagne.
Mais avant la guerre leur stratégie était de financer l'Allemagne pour empêcher l'expansion de l'URSS et de l'idéologie communiste.
En fait, l'Allemagne leur a échappé des mains
La France aller passer chez les communistes, si la guerre n'avait pas eu lieu
Le front populaire était majoritaire à l'assemblée
Dans tous les cas, les américains avait tout intérêt à financer la guerre pour ensuite venir à ça toute fin .
Le plan Marshall est un exemple .
Pour tous les élèves de France, depuis 75 ans, le 6 juin 1944 est le jour de notre libération. Si déloger les Allemands à coups de bombardements aériens était nécessaire, la nécessité de bombarder toutes les grandes villes de la côte normande interroge aujourd’hui. Le peu de considération pour les civils et pour les villes provient-il du fait que les Anglo-Américains considéraient la France et les Français comme des ennemis ? Quelle différence finalement entre les milliers de morts caennais ou rouennais et ceux de Dresde ? Les bombardements de civils n’auront pas eu raison de la résistance armée allemande dans les deux cas. Au contraire, ils ont levé les populations contre l’envahisseur, ou le destructeur.
Dresde ? Rouen, fin août 1944...
Le peu de cas de l’envahisseur yankee (même si les Anglais étaient majoritaires le jour du débarquement) envers la population de Normandie est le résultat de l’image du Français veule et collaborateur, une image élaborée par les services de propagande américains, notamment dans le journal Stars and Stripes (Étoiles et Bandes).
Mary Louise Roberts a publié What Soldiers Do (Ce que font les soldats), un livre détonnant sur la sexualité des soldats américains après le Débarquement de 1944, écrit L’Express du 26 juin 2013. Les viols massifs des Françaises par les soldats libérateurs y sont abordés sans tabou, un tabou qui aura tenu des décennies. Les flonflons de la victoire évaporés, il reste la réalité, sale, grise, dérangeante.
Mary Louise Roberts : « En épluchant la presse militaire, en particulier le magazine Stars and Stripes, on réalise que toute l’expédition américaine en Normandie a été vendue aux soldats comme une formidable opportunité sexuelle. Ailleurs, sur le front du Pacifique, il est facile de motiver les troupes, car, après tout, les Japonais nous ont attaqués. En Europe, en revanche, les Allemands représentent un ennemi différent, des Blancs difficiles à diaboliser par des stéréotypes raciaux. L’état-major américain a besoin de trouver un stimulant basique et efficace qui encourage ces jeunes hommes à débarquer sous les balles à Omaha Beach. C’est pourquoi on a sexualisé à outrance l’enjeu de la future bataille sur le sol français.
L’Express : Comment a-t-on procédé ?
Mary Louise Roberts : D’abord, la réputation libertine de votre pays est confortée par les souvenirs vécus, mais souvent très exagérés, du contingent américain venu en renfort pendant la Première Guerre mondiale, en 1917. Un dessin de Stars and Stripes montre deux GI traquant des jeunes filles dans un village. L’un d’eux dit : "Papa m’a beaucoup parlé de cet endroit !" Le Guide pratique à l’usage des GI’s en France, en 1944, est à cet égard un chef-d’œuvre de duplicité alléchante : "On dit que les Françaises sont faciles, alerte-t-il. Mais en fait, pas du tout !" On ne manque pas de le mentionner tout de même... Et les soldats qui rampent sous le feu allemand le 6 juin 1944 portent tous un lot de cinq préservatifs distribué avec leurs munitions... »
La France est donc à punir, mais il faut le faire hypocritement. Elle n’a pas résisté aux Allemands, elle a collaboré, alors elle doit payer. Les Français sont considérés comme des couards, les Françaises comme des salopes, et les deux méritent leur sort. Ce seront les bombardements et les viols. Mais cela va plus loin, politiquement :
L’Express : « Visiblement, les Américains ne prennent pas la France au sérieux.
Mary Louise Roberts : C’est effectivement l’arrière-plan politique de toute l’histoire. On connaît l’inimitié de Roosevelt envers de Gaulle et, surtout, le peu d’intérêt des Américains pour un rétablissement rapide de la souveraineté française. Le cliché d’une nation de débauchés justifie tacitement le contrôle total de la France au nom des priorités politiques et militaires américaines. Il porte les relents d’un classique discours colonial décrivant le peuple dominé comme trop lascif, primitif, indolent et irresponsable pour s’administrer lui-même. »
Les clichés servent les buts de guerre, il s’agit pour l’Amérique de dominer la France, ce qu’elle fera par la suite culturellement et politiquement, jusqu’à ce que de Gaulle dise stop, 14 ans plus tard. Mais l’indépendance sera de courte durée... On a accusé le futur sauveur de la France d’avoir collaboré avec les Anglais et les Américains lorsqu’il était à Londres, avec son embryon de gouvernement provisoire. Dans ses Mémoires de Guerre (tome 2), de Gaulle rappelle pourtant que c’est Darlan qui était la « chose » des vainqueurs :
« Il n’en faut pas davantage pour que le Président Roosevelt surmonte, à l’égard de Darlan, les scrupules démocratiques et juridiques que, depuis plus de deux années, il opposait au général de Gaulle. Par son ordre, Clark reconnaît le haut-commissaire et entame avec lui des négociations qui aboutissent, le 22 novembre, à un accord en vertu duquel Darlan gouverne et commande, pourvu qu’il donne satisfaction à ses vainqueurs anglo-saxons. »
Données du topic
- Auteur
- le_defossoyeur
- Date de création
- 6 juin 2022 Ă 21:00:41
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