Comme vous avez pu le voir, ces derniers temps, une kheyette m'a pris en grappe (je ne la citerai pas pour éviter toute publicité non méritée, mais vous la retrouverez facilement en tapant mon pseudo dans la barre de recherche des messages et en constatant ses indénombrables mentions de mon saint nom).
Bref, elle a commencé à s'inventer une romance à notre propos (alors que j'ai toujours été clair : elle ne serait jamais plus qu'une amie à mes yeux, je tenais ses tirades pompeuses à propos de l'amour en horreur). Elle m'a dit qu'elle avait quitté son copain (soi disant que le temps passé avec lui n'était plus "réel", qu'est-ce que cela même veut dire ?) et qu'elle souhaitait qu'on se voie, pour se changer les idées
Bon vous me connaissez, moi, je suis du genre serviable, incapable de dire non, écrasé, d'ailleurs. (elle m'a proposé de lui masser les pieds également, je ne suis qu'un homme). Alors je suis allé le boire, son putain de verre (inadapté social que je suis, ça constitue une corvée infecte, je vous le jure), mais elle était charmante, et non sans raison : elle voulait effectivement me charmer.
Longue histoire en court : je me suis retrouvé dans son lit, elle faisait glisser des "ce que j'aime avec toi c'est que je sais que je ne pourrais pas être séduite, je me sens en sécurité" sur la joue, mais du même coup elle frottait mon entrejambe avec ses genoux tout aussi cagneux que sa morale. Et ses genoux sont particulièrement doux, je vous prie de me croire. Mais moi je suis du genre rancunier, et sa phrase de peste infernale faisait écho dans ma tête vous voyez, je ne voulais rien lui céder, alors je l'ai repoussée et je suis rentré chez moi, non content de l'avoir remise à sa place par mon inaction (ne l'interprétez pas comme de la faiblesse, ou de l'impuissance, ce serait ne rien comprendre aux rapports de force qui nous lient)
Faites attention à elle, elle est de la plus vicieuse des races, sa langue de serpent vous hypnotise de paroles douceâtres pendant que tout son corps vous étreint jusqu'à ce que le votre sclérose
