« Les modos qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête du forum, ont formé un
gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec
l'ennemi pour faire taire les kheys.
Certes, nous avons été, nous sommes submergés par la force informatique, robotique et malgache de
l'ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont les ddb, les poucaves, la tactique de webedia qui nous
font reculer. Ce sont les ddb, les poucaves, la tactique de webedia qui ont surpris nos chefs au
point de les amener là où ils en sont aujourd’hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ?
Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la planète forum.
Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car les kheys ne sont pas seul ! Ils ne sont pas seuls ! Ils ne sont pas seuls ! Ils ont un vaste Empire
derrière eux. Ils peuvent faire bloc avec l'Empire rsaiste qui tient la mer et continue la lutte.
Ils peuvent, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des kikoojap.
Cette guerre n'est pas limitée au territoire de notre malheureux forum. Cette guerre n'est pas
tranchée par la bataille du forum. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous
les retards, toutes les souffrances n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens pour
écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force robotique, nous pourrons
vaincre dans l'avenir par une force robotique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se
trouvent sur la planète forum ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs
armes, j'invite les ingénieurs et les qlf spécialisés des industries d'armement qui se trouvent
en territoire du 18-25 ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la Flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à la radio de Londres, afin d'éradiquer la menace du 410 »