Le nouveau Ministre de l’Éducation est un WOKE
Formé à l'École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé d'histoire, il est titulaire d'un doctorat de l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS), où il est maître de conférences, spécialiste d'histoire sociale des États-Unis et des minorités. En 2012, il est promu professeur à l'Institut d'études politiques de Paris. En 2021, il devient directeur général du palais de la Porte-Dorée et dirige le musée de l'Histoire de l'immigration.
De 1991 à 1996, il étudie aux États-Unis pour préparer une thèse d'histoire sur la société pétrochimique DuPont de Nemours. Boursier à l'université de Virginie, il est choqué lorsqu'une fraternité noire, la Black Student Alliance, l’invite à une réunion non mixte, mais il y retourne. Ce séjour dans la société américaine a sur lui l'effet d'une prise de conscience : « Il n'y a pas, aux États-Unis, ce modèle de citoyen abstrait qui commande de faire fi de ses particularités individuelles » ; selon le journaliste Christophe Boltanski, il se découvre en quelque sorte « Noir sur le tard ». Il se met alors à lire Aimé Césaire et Frantz Fanon.
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?
Il est dans ce penchant idéologique, ses publications, ses petites phrases, son parcours professionnel le prouvent.
Le 23 mai 2022 à 13:27:18 Saparitang a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?Il est dans ce penchant idéologique, ses publications, ses petites phrases, son parcours professionnel le prouvent.
Il est historien et DG d'un musée. Je ne vois pas trop le problème. Il faut arrêter de faire des publications, d'étudier l'histoire (enfin surtout ce qui nous plait pas), et de s'interroger sur les problématiques sociologiques , c'est bien ça ?
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?
https://www.letemps.ch/monde/pap-ndiaye-noirs-ne-veulent-plus-payer-un-impot-couleur-peau
Le Temps: Une des choses qui frappent dans les manifestations actuelles, c’est l’âge des participants. Sommes-nous devant un événement générationnel?
Pap NDiaye: Ces manifestations, qu’elles aient lieu à Minneapolis, à New York, à Berlin ou à Genève, rassemblent des foules impressionnantes de jeunes gens: lycéens, étudiants, jeunes professionnels. Une génération qui n’est pas spontanée. Elle s’est socialisée, politiquement, ces dernières années, dans des mobilisations autour du climat, en particulier. A ce premier groupe relativement aguerri se sont ajoutés des nouveaux venus, par exemple des lycéens, qui ont profité de la fermeture des établissements scolaires pour s’organiser et manifester. C’est donc bien la jeunesse qui est descendue dans les rues, d’un bout à l’autre de la planète, et qui s’est éprouvée politiquement dans un même élan, avec l’aide des réseaux sociaux. La génération George Floyd, la génération Adama en France, et bien d’autres, sont semblables, tout en s’emparant de questions locales qui résonnent les unes avec les autres.
Cette mobilisation d’une génération est plutôt une bonne nouvelle…
C’est une excellente chose, mais il faut sans doute apporter un bémol: aux Etats-Unis, la jeunesse blanche non diplômée ne s’est pas mobilisée dans les mêmes proportions que les jeunes diplômés et les minorités. On retrouve là une coupure sociologique bien connue, entre l’électorat de Donald Trump (les hommes blancs non diplômés l’ont plébiscité en 2016) et l’électorat démocrate (plus urbain, plus féminin, diplômé, multiculturel). Dans les meetings de Trump, il y a des jeunes (certes moins nombreux que leurs parents ou grands-parents) qui sont indifférents ou même hostiles aux questions qui mobilisent tant en ce moment. Bref, la jeunesse n’est pas homogène, même si le rapport de force est clairement en faveur de la jeunesse «woke» (celle qui est mobilisée, éveillée sur les questions raciales notamment).
Le 23 mai 2022 à 13:26:36 :
Le mec a une bonne tête toute ronde, inspire immédiatement la sympathie et a l'air d'avoir 15 ans de moins que son âge
Un peu comme Klaus Schwab.
Le 23 mai 2022 à 13:29:16 :
Il a une tête à faire des crimes contre l’humanité sur l’ethnie Madunga depuis son palais imitation second empire bâti avec l’argent du pétrole.
Un peu comme Bill Gates.
Le 23 mai 2022 à 13:29:48 --Haloisme-- a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?https://www.letemps.ch/monde/pap-ndiaye-noirs-ne-veulent-plus-payer-un-impot-couleur-peau
Le Temps: Une des choses qui frappent dans les manifestations actuelles, c’est l’âge des participants. Sommes-nous devant un événement générationnel?
Pap NDiaye: Ces manifestations, qu’elles aient lieu à Minneapolis, à New York, à Berlin ou à Genève, rassemblent des foules impressionnantes de jeunes gens: lycéens, étudiants, jeunes professionnels. Une génération qui n’est pas spontanée. Elle s’est socialisée, politiquement, ces dernières années, dans des mobilisations autour du climat, en particulier. A ce premier groupe relativement aguerri se sont ajoutés des nouveaux venus, par exemple des lycéens, qui ont profité de la fermeture des établissements scolaires pour s’organiser et manifester. C’est donc bien la jeunesse qui est descendue dans les rues, d’un bout à l’autre de la planète, et qui s’est éprouvée politiquement dans un même élan, avec l’aide des réseaux sociaux. La génération George Floyd, la génération Adama en France, et bien d’autres, sont semblables, tout en s’emparant de questions locales qui résonnent les unes avec les autres.
Cette mobilisation d’une génération est plutôt une bonne nouvelle…
C’est une excellente chose, mais il faut sans doute apporter un bémol: aux Etats-Unis, la jeunesse blanche non diplômée ne s’est pas mobilisée dans les mêmes proportions que les jeunes diplômés et les minorités. On retrouve là une coupure sociologique bien connue, entre l’électorat de Donald Trump (les hommes blancs non diplômés l’ont plébiscité en 2016) et l’électorat démocrate (plus urbain, plus féminin, diplômé, multiculturel). Dans les meetings de Trump, il y a des jeunes (certes moins nombreux que leurs parents ou grands-parents) qui sont indifférents ou même hostiles aux questions qui mobilisent tant en ce moment. Bref, la jeunesse n’est pas homogène, même si le rapport de force est clairement en faveur de la jeunesse «woke» (celle qui est mobilisée, éveillée sur les questions raciales notamment).
Plus loin
''Les réseaux sociaux, notamment, semblent contribuer à la fragmentation des sociétés. Sur ce registre, Emmanuel Macron parle de menace «séparatiste». Est-ce le miroir de la fièvre identitaire et populiste, à l’œuvre en France ou aux Etats-Unis?
Je ne vois pas de «menace séparatiste» dans les foules bigarrées qui manifestent depuis quelques semaines. Il est certain que des petits groupes comme les «Indigènes de la République» ou la «Ligue universelle pour la défense de la race noire» sont sur des positions séparatistes et prônent la haine en parlant par exemple de la «France esclavagiste et totalitaire», mais ces groupuscules ne représentent en rien l’immense majorité de celles et ceux qui réclament simplement justice, et sont à ce titre des citoyennes et citoyens qui prennent au sérieux les devises républicaines.''
Le 23 mai 2022 à 13:29:40 :
Le 23 mai 2022 à 13:27:18 Saparitang a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?Il est dans ce penchant idéologique, ses publications, ses petites phrases, son parcours professionnel le prouvent.
Il est historien et DG d'un musée. Je ne vois pas trop le problème.
Au lieu de regarder la forme, regarde le fond, ce qu’il a fait.
Il faut arrêter de faire des publications, d'étudier l'histoire (enfin surtout ce qui nous plait pas), et de s'interroger sur les problématiques sociologiques , c'est bien ça ?
Belle extrapolation.
Le 23 mai 2022 à 13:33:36 Saparitang a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:29:40 :
Le 23 mai 2022 à 13:27:18 Saparitang a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?Il est dans ce penchant idéologique, ses publications, ses petites phrases, son parcours professionnel le prouvent.
Il est historien et DG d'un musée. Je ne vois pas trop le problème.
Au lieu de regarder la forme, regarde le fond, ce qu’il a fait.
Il faut arrêter de faire des publications, d'étudier l'histoire (enfin surtout ce qui nous plait pas), et de s'interroger sur les problématiques sociologiques , c'est bien ça ?
Belle extrapolation.
c'est toi qui regarde la forme et extrapole, je te montre les travers de ta manière de penser
Pour rappel : "Il est dans ce penchant idéologique, ses publications, ses petites phrases, son parcours professionnel le prouvent."
Le 23 mai 2022 à 13:32:36 :
Le 23 mai 2022 à 13:29:48 --Haloisme-- a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?https://www.letemps.ch/monde/pap-ndiaye-noirs-ne-veulent-plus-payer-un-impot-couleur-peau
Le Temps: Une des choses qui frappent dans les manifestations actuelles, c’est l’âge des participants. Sommes-nous devant un événement générationnel?
Pap NDiaye: Ces manifestations, qu’elles aient lieu à Minneapolis, à New York, à Berlin ou à Genève, rassemblent des foules impressionnantes de jeunes gens: lycéens, étudiants, jeunes professionnels. Une génération qui n’est pas spontanée. Elle s’est socialisée, politiquement, ces dernières années, dans des mobilisations autour du climat, en particulier. A ce premier groupe relativement aguerri se sont ajoutés des nouveaux venus, par exemple des lycéens, qui ont profité de la fermeture des établissements scolaires pour s’organiser et manifester. C’est donc bien la jeunesse qui est descendue dans les rues, d’un bout à l’autre de la planète, et qui s’est éprouvée politiquement dans un même élan, avec l’aide des réseaux sociaux. La génération George Floyd, la génération Adama en France, et bien d’autres, sont semblables, tout en s’emparant de questions locales qui résonnent les unes avec les autres.
Cette mobilisation d’une génération est plutôt une bonne nouvelle…
C’est une excellente chose, mais il faut sans doute apporter un bémol: aux Etats-Unis, la jeunesse blanche non diplômée ne s’est pas mobilisée dans les mêmes proportions que les jeunes diplômés et les minorités. On retrouve là une coupure sociologique bien connue, entre l’électorat de Donald Trump (les hommes blancs non diplômés l’ont plébiscité en 2016) et l’électorat démocrate (plus urbain, plus féminin, diplômé, multiculturel). Dans les meetings de Trump, il y a des jeunes (certes moins nombreux que leurs parents ou grands-parents) qui sont indifférents ou même hostiles aux questions qui mobilisent tant en ce moment. Bref, la jeunesse n’est pas homogène, même si le rapport de force est clairement en faveur de la jeunesse «woke» (celle qui est mobilisée, éveillée sur les questions raciales notamment).
Plus loin
''Les réseaux sociaux, notamment, semblent contribuer à la fragmentation des sociétés. Sur ce registre, Emmanuel Macron parle de menace «séparatiste». Est-ce le miroir de la fièvre identitaire et populiste, à l’œuvre en France ou aux Etats-Unis?
Je ne vois pas de «menace séparatiste» dans les foules bigarrées qui manifestent depuis quelques semaines. Il est certain que des petits groupes comme les «Indigènes de la République» ou la «Ligue universelle pour la défense de la race noire» sont sur des positions séparatistes et prônent la haine en parlant par exemple de la «France esclavagiste et totalitaire», mais ces groupuscules ne représentent en rien l’immense majorité de celles et ceux qui réclament simplement justice, et sont à ce titre des citoyennes et citoyens qui prennent au sérieux les devises républicaines.''
Il n’est pas extrémiste, mais il partage beaucoup d’idées wokistes, notamment le multiculturalisme.
Le 23 mai 2022 à 13:36:25 Saparitang a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:32:36 :
Le 23 mai 2022 à 13:29:48 --Haloisme-- a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?https://www.letemps.ch/monde/pap-ndiaye-noirs-ne-veulent-plus-payer-un-impot-couleur-peau
Le Temps: Une des choses qui frappent dans les manifestations actuelles, c’est l’âge des participants. Sommes-nous devant un événement générationnel?
Pap NDiaye: Ces manifestations, qu’elles aient lieu à Minneapolis, à New York, à Berlin ou à Genève, rassemblent des foules impressionnantes de jeunes gens: lycéens, étudiants, jeunes professionnels. Une génération qui n’est pas spontanée. Elle s’est socialisée, politiquement, ces dernières années, dans des mobilisations autour du climat, en particulier. A ce premier groupe relativement aguerri se sont ajoutés des nouveaux venus, par exemple des lycéens, qui ont profité de la fermeture des établissements scolaires pour s’organiser et manifester. C’est donc bien la jeunesse qui est descendue dans les rues, d’un bout à l’autre de la planète, et qui s’est éprouvée politiquement dans un même élan, avec l’aide des réseaux sociaux. La génération George Floyd, la génération Adama en France, et bien d’autres, sont semblables, tout en s’emparant de questions locales qui résonnent les unes avec les autres.
Cette mobilisation d’une génération est plutôt une bonne nouvelle…
C’est une excellente chose, mais il faut sans doute apporter un bémol: aux Etats-Unis, la jeunesse blanche non diplômée ne s’est pas mobilisée dans les mêmes proportions que les jeunes diplômés et les minorités. On retrouve là une coupure sociologique bien connue, entre l’électorat de Donald Trump (les hommes blancs non diplômés l’ont plébiscité en 2016) et l’électorat démocrate (plus urbain, plus féminin, diplômé, multiculturel). Dans les meetings de Trump, il y a des jeunes (certes moins nombreux que leurs parents ou grands-parents) qui sont indifférents ou même hostiles aux questions qui mobilisent tant en ce moment. Bref, la jeunesse n’est pas homogène, même si le rapport de force est clairement en faveur de la jeunesse «woke» (celle qui est mobilisée, éveillée sur les questions raciales notamment).
Plus loin
''Les réseaux sociaux, notamment, semblent contribuer à la fragmentation des sociétés. Sur ce registre, Emmanuel Macron parle de menace «séparatiste». Est-ce le miroir de la fièvre identitaire et populiste, à l’œuvre en France ou aux Etats-Unis?
Je ne vois pas de «menace séparatiste» dans les foules bigarrées qui manifestent depuis quelques semaines. Il est certain que des petits groupes comme les «Indigènes de la République» ou la «Ligue universelle pour la défense de la race noire» sont sur des positions séparatistes et prônent la haine en parlant par exemple de la «France esclavagiste et totalitaire», mais ces groupuscules ne représentent en rien l’immense majorité de celles et ceux qui réclament simplement justice, et sont à ce titre des citoyennes et citoyens qui prennent au sérieux les devises républicaines.''
Il n’est pas extrémiste, mais il partage beaucoup d’idées wokistes, notamment le multiculturalisme.
C'est parce qu'il est noir métisse et de gauche. Il va pas se tirer une balle dans le pied, non plus.
Après il est Ministre de l'Education Nationale, pas Ministre de l'Interieur ni Garde des Sceaux
Le 23 mai 2022 à 13:32:36 :
Le 23 mai 2022 à 13:29:48 --Haloisme-- a écrit :
Le 23 mai 2022 à 13:25:07 :
je vois pas où c'est marqué woke ?https://www.letemps.ch/monde/pap-ndiaye-noirs-ne-veulent-plus-payer-un-impot-couleur-peau
Le Temps: Une des choses qui frappent dans les manifestations actuelles, c’est l’âge des participants. Sommes-nous devant un événement générationnel?
Pap NDiaye: Ces manifestations, qu’elles aient lieu à Minneapolis, à New York, à Berlin ou à Genève, rassemblent des foules impressionnantes de jeunes gens: lycéens, étudiants, jeunes professionnels. Une génération qui n’est pas spontanée. Elle s’est socialisée, politiquement, ces dernières années, dans des mobilisations autour du climat, en particulier. A ce premier groupe relativement aguerri se sont ajoutés des nouveaux venus, par exemple des lycéens, qui ont profité de la fermeture des établissements scolaires pour s’organiser et manifester. C’est donc bien la jeunesse qui est descendue dans les rues, d’un bout à l’autre de la planète, et qui s’est éprouvée politiquement dans un même élan, avec l’aide des réseaux sociaux. La génération George Floyd, la génération Adama en France, et bien d’autres, sont semblables, tout en s’emparant de questions locales qui résonnent les unes avec les autres.
Cette mobilisation d’une génération est plutôt une bonne nouvelle…
C’est une excellente chose, mais il faut sans doute apporter un bémol: aux Etats-Unis, la jeunesse blanche non diplômée ne s’est pas mobilisée dans les mêmes proportions que les jeunes diplômés et les minorités. On retrouve là une coupure sociologique bien connue, entre l’électorat de Donald Trump (les hommes blancs non diplômés l’ont plébiscité en 2016) et l’électorat démocrate (plus urbain, plus féminin, diplômé, multiculturel). Dans les meetings de Trump, il y a des jeunes (certes moins nombreux que leurs parents ou grands-parents) qui sont indifférents ou même hostiles aux questions qui mobilisent tant en ce moment. Bref, la jeunesse n’est pas homogène, même si le rapport de force est clairement en faveur de la jeunesse «woke» (celle qui est mobilisée, éveillée sur les questions raciales notamment).
Plus loin
''Les réseaux sociaux, notamment, semblent contribuer à la fragmentation des sociétés. Sur ce registre, Emmanuel Macron parle de menace «séparatiste». Est-ce le miroir de la fièvre identitaire et populiste, à l’œuvre en France ou aux Etats-Unis?
Je ne vois pas de «menace séparatiste» dans les foules bigarrées qui manifestent depuis quelques semaines. Il est certain que des petits groupes comme les «Indigènes de la République» ou la «Ligue universelle pour la défense de la race noire» sont sur des positions séparatistes et prônent la haine en parlant par exemple de la «France esclavagiste et totalitaire», mais ces groupuscules ne représentent en rien l’immense majorité de celles et ceux qui réclament simplement justice, et sont à ce titre des citoyennes et citoyens qui prennent au sérieux les devises républicaines.''
Ca va alors c'est juste un woke modéré
C'est un peu comme dire que "Ca va il est pas de Daesh, c'est juste un Taliban"
Données du topic
- Auteur
- Saparitang
- Date de création
- 23 mai 2022 à 13:15:40
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