Barbizon, où au moins 40 postes sont à pourvoir pour accueillir les touristes cet été, manque de bras. La mairie qui a tenté d’attirer du monde lors d’une journée de job-dating.
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Seul un établissement semble aujourd’hui épargné par cette crise des vocations : la pizzeria L’Angelo, dont le gérant Fred a une explication simple : « dans notre milieu, tous les employés se connaissent et parlent ensemble, comparant les employeurs et les avantages donnés. Ma base de travail est simple : une heure travaillée est une heure payée. Je ne fais pas d’arrangements alambiqués ou de cadeaux qui restent non numéraires. À l’heure actuelle, la crise fait que les gens ont besoin d’argent. Je reçois encore des candidatures alors que mon équipe est opérationnelle ».