Je préfère mille fois être traîné dans de la boue dans d'humiliantes conditions et devant le regard de tous, puis conduit sur un échafaud sur lequel bouchers et bourreaux viennent de découper en morceaux pour ensuite pendre les divers partis de mon corps, écartelé au préalable, aux quatre coins de la ville... plutôt que de m'abaisser à un acte aussi détestable, fort et immonde que celui de lécher une chatte.
La banalisation de cette immondice est manifeste de l'indécence des mœurs sexuelles. Les hommes semblent aujourd'hui mieux se livrer à l'impulsion corporelle plutôt qu'à l'usage de la raison, laquelle s'indigne de l'acte consistant à lécher un trou aussi puant et ignominieux qu'une chatte dont le rôle est, en plus d'accueillir le sperme, de vider la femme de ses déchets corporels par l'urine.
Je méprise quiconque s'adonne à un tel acte.