Topic de Kyomaster87 :

Les footeux on en parle ?

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Passent leur temps à commenter tel ou tel transfert, but , match plutôt que de s'occuper de leur vie.

Parlent de mecs millionnaires qui les prennent pour juste de la viande pour payer les places, maillots, goodies et qui surtout se branlent complètement de leur existence.

Pensent que le sport à "haut niveau" (nan en fait il y a mieux mais ils passent pas à la télé) est tout à fait réglo avec les milliards en jeu alors que même dans leur taff, gilles 50 ans est prêt à tout pour leur marcher dessus pour 100€ de primes.

On en parle de ce niveau de maladie mentale ?

Post avant le "areeuu t'es jaloux, areeuuu tu connais pas la passion" hey les footix une passion ça se vit ça se regarde pas .

"hey les footix"
Troll détecté mais pas mal

Le 14 mai 2022 à 08:07:17 :
"hey les footix"
Troll détecté mais pas mal

1er footix

+1 l'OP jamais compris le délire de vivre par procuration https://image.noelshack.com/fichiers/2018/19/2/1525777302-risisingechicha.png

Il est vrai que ”s’intéresser au foot” peut être un moyen de sociabilité, de convivialité, de création de liens, de conversation. Mais, comme sujet de débats, c’est assez pauvre. Commenter des matches ou des sélections de joueurs, on touche là au degré zéro de l’échange. On parle de quoi ? On parle de foot puisqu’on n’a rien à se dire.

Le football n’a plus grand-chose à voir avec le sport, il est devenu le premier spectacle international et un business mondial aussi juteux qu’opaque. Sociologue et politologue du football, Pascal Boniface faisait remarquer que le résultat d’une équipe ”nationale” pouvait influer sur le moral d’une nation et donc, par exemple, sur sa santé économique. On a pu être frappé par cette scène surréaliste filmée avec complaisance : François Hollande invitant une centaine de personnes dans la salle des fêtes de l’Élysée devant un écran géant pour je ne sais plus quel match opposant la France à une autre équipe et se livrant à de savants commentaires sur le jeu. Le but de cet exercice dérisoire était évidemment de redorer sa popularité. Et, de fait, il n’est pas exclu que si l’équipe de France emportait le Mondial, le calamiteux président et son gouvernement ne remontent de quelques points dans les sondages. Autant que si les statistiques du chômage baissaient un peu.

Le football possède cette caractéristique de tirer vers le bas les préoccupations collectives. Aucune autre activité ne cumule à la fois une telle popularité et une telle insignifiance. On peut parler d’abrutissement collectif surtout quand on analyse la figure du supporter. Des poireaux bedonnants et avinés qui applaudissent sur un écran plat les performances de frappe dans un ballon d’athlètes africains, maghrébins ou autres, millionnaires et illettrés, en criant ”vive la France !”, il y a de quoi pleurer. Le milieu des ”fans de foot” n’est pas caractérisé, en effet, d’après toutes les enquêtes sociologiques, par un haut niveau d’originalité ou d’intelligence. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer les bandes hurlantes de supporters déguisés en déplacement dans les rues, agitant comme autant de fétiches les drapeaux de leur club ou leur drapeau national. Quand ils ne s’affrontent pas dans les stades en des rixes parfois mortelles.

À cet égard, le football donne l’occasion de fabriquer un simulacre de patriotisme. Personne n’irait plus se sacrifier pour le drapeau national, mais les supporters l’agitent frénétiquement dans les stades en se peinturlurant le visage des trois couleurs. À ses débuts, le football, sport d’équipe né en Angleterre tout comme le rugby, avait une connotation d’enracinement très forte : deux villages, deux villes, deux nations s’affrontent, dans une sorte de simulacre pacifique de guerre, à travers des équipes très représentatives. Aujourd’hui, tout s’est inversé. Les joueurs des clubs (villes) ou des nations (surtout l’équipe de France) ne sont que des mercenaires, achetés sur un marché international, qui ne représentent en rien la ville ou le pays dont ils forment l’équipe.

Le 14 mai 2022 à 08:09:15 :

Le 14 mai 2022 à 08:07:17 :
"hey les footix"
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1er footix

nop

Le 14 mai 2022 à 08:16:27 :

Le 14 mai 2022 à 08:09:15 :

Le 14 mai 2022 à 08:07:17 :
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1er footix

nop

El famoso FC Barcelona du tennis .

Le 14 mai 2022 à 08:13:19 :
Il est vrai que ”s’intéresser au foot” peut être un moyen de sociabilité, de convivialité, de création de liens, de conversation. Mais, comme sujet de débats, c’est assez pauvre. Commenter des matches ou des sélections de joueurs, on touche là au degré zéro de l’échange. On parle de quoi ? On parle de foot puisqu’on n’a rien à se dire.

Le football n’a plus grand-chose à voir avec le sport, il est devenu le premier spectacle international et un business mondial aussi juteux qu’opaque. Sociologue et politologue du football, Pascal Boniface faisait remarquer que le résultat d’une équipe ”nationale” pouvait influer sur le moral d’une nation et donc, par exemple, sur sa santé économique. On a pu être frappé par cette scène surréaliste filmée avec complaisance : François Hollande invitant une centaine de personnes dans la salle des fêtes de l’Élysée devant un écran géant pour je ne sais plus quel match opposant la France à une autre équipe et se livrant à de savants commentaires sur le jeu. Le but de cet exercice dérisoire était évidemment de redorer sa popularité. Et, de fait, il n’est pas exclu que si l’équipe de France emportait le Mondial, le calamiteux président et son gouvernement ne remontent de quelques points dans les sondages. Autant que si les statistiques du chômage baissaient un peu.

Le football possède cette caractéristique de tirer vers le bas les préoccupations collectives. Aucune autre activité ne cumule à la fois une telle popularité et une telle insignifiance. On peut parler d’abrutissement collectif surtout quand on analyse la figure du supporter. Des poireaux bedonnants et avinés qui applaudissent sur un écran plat les performances de frappe dans un ballon d’athlètes africains, maghrébins ou autres, millionnaires et illettrés, en criant ”vive la France !”, il y a de quoi pleurer. Le milieu des ”fans de foot” n’est pas caractérisé, en effet, d’après toutes les enquêtes sociologiques, par un haut niveau d’originalité ou d’intelligence. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer les bandes hurlantes de supporters déguisés en déplacement dans les rues, agitant comme autant de fétiches les drapeaux de leur club ou leur drapeau national. Quand ils ne s’affrontent pas dans les stades en des rixes parfois mortelles.

À cet égard, le football donne l’occasion de fabriquer un simulacre de patriotisme. Personne n’irait plus se sacrifier pour le drapeau national, mais les supporters l’agitent frénétiquement dans les stades en se peinturlurant le visage des trois couleurs. À ses débuts, le football, sport d’équipe né en Angleterre tout comme le rugby, avait une connotation d’enracinement très forte : deux villages, deux villes, deux nations s’affrontent, dans une sorte de simulacre pacifique de guerre, à travers des équipes très représentatives. Aujourd’hui, tout s’est inversé. Les joueurs des clubs (villes) ou des nations (surtout l’équipe de France) ne sont que des mercenaires, achetés sur un marché international, qui ne représentent en rien la ville ou le pays dont ils forment l’équipe.

C'est très flippant comment le supporter de base a suffisamment pour vivre mais comprends pas que c'est tout ce qu'il aura avec sa mentalité de suiveur

Le foot , rugby , basket , peu importe , ça apporte des valeurs que tu ne retrouveras pas en salle basic fit , a la base , mais dans 20 ans ça sera tombée aux oubliettes je pense :-)
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Kyomaster87
Date de création
14 mai 2022 à 08:02:05
Date de suppression
16 mai 2022 à 05:07:23
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