[ALERTE] Je prédis un éveil de masse !
L’Histoire nous mène à un éveil collectif, dont lequel le plus haut potentiel de l’être humain pourra être atteint.
Les gens sont épris de folie car ils vivent constamment dans leurs boites crâniennes : les pensées, au lieu de s'abandonner dans l'éternel moment présent, dans la pleine conscience de ce qui est. Moment après moment, nous avons la possibilité d’être présent dans ce qui est. Mais nous nous faisons berner par l’unique l’alternative : les pensées. Notre mental nous berne depuis le début. Si un homme dans la rue est perçu en train de parler constamment à haute voix, il sera perçu comme fou. J'ai une question pour vous. Cette personne n'est t-elle pas moins folle que la personne qui est constamment en train de penser? La différence, c'est que l'un est plus discret que l'autre. L'homme est aussi épris de folie car il désire changer le monde avant de changer sa perception du monde. C'est le fait ultime de notre monde actuel. Les gens sont bouffés par l'insatisfaction permanente car leurs désirs ne sont pas satisfaits. Comme un enfant de 10 ans, ils réclament la matérialisation de leur pensées, croyances, religions et préférences dans le monde physique. La vie est mouvante. Vouloir changer la vie, c’est comme vouloir vider l’océan d’eau avec un sceau. C'est perdu d'avance. La seule chose qui est permanente dans notre réalité subjective est la conscience de ce qui est. Vivre dans nos pensées, c'est vivre dans le film de la conscience de ce qui est. C'est vivre le film du présent. C'est vivre le film de votre vie au lieu de réellement la vivre. C'est vivre dans une prison mentale qui nous empêche d'admirer le spectacle de la vie moment après moment. S'abandonner au moment présent et donc à l'inconnu totale est la solution.
Le 30 avril 2022 à 08:55:46 :
L’Histoire nous mène à un éveil collectif, dont lequel le plus haut potentiel de l’être humain pourra être atteint.Les gens sont épris de folie car ils vivent constamment dans leurs boites crâniennes : les pensées, au lieu de s'abandonner dans l'éternel moment présent, dans la pleine conscience de ce qui est. Moment après moment, nous avons la possibilité d’être présent dans ce qui est. Mais nous nous faisons berner par l’unique l’alternative : les pensées. Notre mental nous berne depuis le début. Si un homme dans la rue est perçu en train de parler constamment à haute voix, il sera perçu comme fou. J'ai une question pour vous. Cette personne n'est t-elle pas moins folle que la personne qui est constamment en train de penser? La différence, c'est que l'un est plus discret que l'autre. L'homme est aussi épris de folie car il désire changer le monde avant de changer sa perception du monde. C'est le fait ultime de notre monde actuel. Les gens sont bouffés par l'insatisfaction permanente car leurs désirs ne sont pas satisfaits. Comme un enfant de 10 ans, ils réclament la matérialisation de leur pensées, croyances, religions et préférences dans le monde physique. La vie est mouvante. Vouloir changer la vie, c’est comme vouloir vider l’océan d’eau avec un sceau. C'est perdu d'avance. La seule chose qui est permanente dans notre réalité subjective est la conscience de ce qui est. Vivre dans nos pensées, c'est vivre dans le film de la conscience de ce qui est. C'est vivre le film du présent. C'est vivre le film de votre vie au lieu de réellement la vivre. C'est vivre dans une prison mentale qui nous empêche d'admirer le spectacle de la vie moment après moment. S'abandonner au moment présent et donc à l'inconnu totale est la solution.
ça arrive toujours au dernier moment quand il est presque trop tard
Le 30 avril 2022 à 08:55:46 :
L’Histoire nous mène à un éveil collectif, dont lequel le plus haut potentiel de l’être humain pourra être atteint.Les gens sont épris de folie car ils vivent constamment dans leurs boites crâniennes : les pensées, au lieu de s'abandonner dans l'éternel moment présent, dans la pleine conscience de ce qui est. Moment après moment, nous avons la possibilité d’être présent dans ce qui est. Mais nous nous faisons berner par l’unique l’alternative : les pensées. Notre mental nous berne depuis le début. Si un homme dans la rue est perçu en train de parler constamment à haute voix, il sera perçu comme fou. J'ai une question pour vous. Cette personne n'est t-elle pas moins folle que la personne qui est constamment en train de penser? La différence, c'est que l'un est plus discret que l'autre. L'homme est aussi épris de folie car il désire changer le monde avant de changer sa perception du monde. C'est le fait ultime de notre monde actuel. Les gens sont bouffés par l'insatisfaction permanente car leurs désirs ne sont pas satisfaits. Comme un enfant de 10 ans, ils réclament la matérialisation de leur pensées, croyances, religions et préférences dans le monde physique. La vie est mouvante. Vouloir changer la vie, c’est comme vouloir vider l’océan d’eau avec un sceau. C'est perdu d'avance. La seule chose qui est permanente dans notre réalité subjective est la conscience de ce qui est. Vivre dans nos pensées, c'est vivre dans le film de la conscience de ce qui est. C'est vivre le film du présent. C'est vivre le film de votre vie au lieu de réellement la vivre. C'est vivre dans une prison mentale qui nous empêche d'admirer le spectacle de la vie moment après moment. S'abandonner au moment présent et donc à l'inconnu totale est la solution.
Bien écrit mais trop long à lire ton pavé
Dans un monde urbanisé, marchandisé, ou les enfants sont élevés des années dans des salles fermées assis sur des chaises sous les néons à regarder un mur, pendant que les parents esclaves font leurs 35 heures
Le soir ? Télévision
Le dimanche ? Balade en famille sur le chemin gravillonné d'un parc où la pelouse est interdite, à moins que ce soit dans une forêt d'exploitation aux arbres bien rangés et où ils peuvent ni sortir du sentier pour pas se salir, ni ramener un bout de bois parce que c'est sale
Je plussoie l'OP
Mais y'aura pas d'éveil de masse
Le 30 avril 2022 à 09:03:55 :
El famoso éveil des masses
Dans un monde urbanisé, marchandisé, ou les enfants sont élevés des années dans des salles fermées assis sur des chaises sous les néons à regarder un mur, pendant que les parents esclaves font leurs 35 heures
Le soir ? Télévision
Le dimanche ? Balade en famille sur le chemin gravillonné d'un parc où la pelouse est interdite, à moins que ce soit dans une forêt d'exploitation aux arbres bien rangés et où ils peuvent ni sortir du sentier pour pas se salir, ni ramener un bout de bois parce que c'est sale
C'est justement pour toutes ces raisons que la supercherie se révèlera d'elle-même. Les gens font de plus en plus d'études et les finissent avec brio. Et pourtant, ça ne suffit pas. Ils se rendent compte que même en ayant réussi leur vie, ils leurs manquent quelque chose. Pour combler ce manque, ils prennent la mauvaise décision. Il se tourne vers l'extérieur, le monde matériel afin de combler de manque par l'usage compulsif de moyen de plaisir ou de distraction, appelle cela comme tu veux, tel que les sorties entre amis, le sport, l'amour de quelqu'un d'autre, la philosophie, etc. On dit que l'expérience est reine. Et pourtant, ils continuent. Plaisir, pas plaisir, plaisir, pas plaisir, plaisir, pas plaisir. Mais l'éveil survient lorsque la supercherie devient grotesque. Lorsque les gens se rendent compte que personne est heureux alors qu'on a jamais été autant épanoui matériellement parlant. Ne plus succomber à ses distractions, nous permet d'aller à l'encontre de la nature même du problème. A sa source. Qui est le mental.
Le 30 avril 2022 à 09:11:18 :
L’OP a raison mais a oublie de dire que le fossé va etre de plus en plus grand entre ceux qui s’éveillent et ceux qui ne le sont pas.
C'est possible même si il est important qu'on ne sous-estime pas la puissance de la globalisation. Celle-ci peut permettre la diffusion des enseignements partout dans le monde par le biais du net et on sait très bien que c'est un formidable outil lorsqu'il est bien exploité. Comme le mental en fait.
Le 30 avril 2022 à 09:06:38 :
Je plussoie l'OPMais y'aura pas d'éveil de masse
Car tu es ancré dans ton époque. Le recul peut nous aider à être plus mesurer dans nos propos. A l'époque de l'Eglise, personne aurait prédit que la science gagnerais du terrain au dépends de la religion, au point d'en devenir l'effigie du monde actuel. Laissant la religion au second plan.
Données du topic
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- 30 avril 2022 à 08:55:46
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