En 1945, il a eu ce mot étonnant "l'Europe est morte" en tant que cerveau du monde. Il voyait que de dominante, l'Europe allait devenir un dominion. Il a eu cet autre mot : "L'Europe n'a pas eu la politique de sa pensée". L'Europe n'a pas pris corps, nous n'avons pas de sentiment d'appartenance, donc chacun reprend ses billes. Régis Debray