Topic de
Cabrellesang
:
Cabrel
Mon enfant nue sur les galets
Le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet
Un diamant tombé d'un coffret
Seule la lumière pourrait
Défaire nos repères secrets
Où mes doigts pris sur tes poignets
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Et quoique tu fasses
L'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l'espace
Dans le moindre rêve où tu t'attardes
L'amour comme s'il en pleuvait
Nu sur les galets
Le ciel prétend qu'il te connaît
Il est si beau c'est sûrement vrai
Lui qui ne s'approche jamais
Je l'ai vu pris dans tes filets
Le monde a tellement de regrets
Tellement de choses qu'on promet
Une seule pour laquelle je suis fait
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Et quoique tu fasses
L'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l'espace
Dans le moindre rêve où tu t'attardes
L'amour comme s'il en pleuvait
Nu sur les galets
On s'envolera du même quai
Les yeux dans les mêmes reflets
Pour cette vie et celle d'après
Tu seras mon unique projet
Je m'en irai poser tes portraits
À tous les plafonds de tous les palais
Sur tous les murs que je trouverai
Et juste en dessous, j'écrirai
Que seule la lumière pourrait
Et mes doigts pris sur tes poignets
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet
Un diamant tombé d'un coffret
Seule la lumière pourrait
Défaire nos repères secrets
Où mes doigts pris sur tes poignets
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Et quoique tu fasses
L'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l'espace
Dans le moindre rêve où tu t'attardes
L'amour comme s'il en pleuvait
Nu sur les galets
Le ciel prétend qu'il te connaît
Il est si beau c'est sûrement vrai
Lui qui ne s'approche jamais
Je l'ai vu pris dans tes filets
Le monde a tellement de regrets
Tellement de choses qu'on promet
Une seule pour laquelle je suis fait
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Et quoique tu fasses
L'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l'espace
Dans le moindre rêve où tu t'attardes
L'amour comme s'il en pleuvait
Nu sur les galets
On s'envolera du même quai
Les yeux dans les mêmes reflets
Pour cette vie et celle d'après
Tu seras mon unique projet
Je m'en irai poser tes portraits
À tous les plafonds de tous les palais
Sur tous les murs que je trouverai
Et juste en dessous, j'écrirai
Que seule la lumière pourrait
Et mes doigts pris sur tes poignets
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Que dire de plus ?
Les pyjs aller écouter le goat svp
Les pyjs qui connaissent pas le goat
Le +35 qui me surkiff
Et vous non
On voit bien le déclin de la société ici
Le +35 qui me surkiff
Et vous non
On voit bien le déclin de la société ici
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Le GOAT
Le seul et le vrai
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Le GOAT
Le seul et le vrai
Vous êtes pulco? Normal vous connaissez pas le GOAT
[02:14:37] <Cabrellesang>
Dieu
Depuis le temps que je patiente dans cette chambre noire
J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante
Au bout du couloir
Quelqu'un a touché le verrou
Et j'ai plongé vers le grand jour
J'ai vu des fanfares, des barrières
Et des gens autour
Dans les premiers moments
J'ai cru qu'il fallait seulement se défendre
Mais cette place est sans issue, je commence à comprendre
Ils ont refermé derrière moi
Ils ont eu peur que je recule
Je vais bien finir par l'avoir
Cette danseuse ridicule
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
Andalousie, je me souviens, les prairies bordées de cactus
Je ne vais pas trembler devant ce pantin, ce minus!
Je vais l'attraper, lui et son chapeau
Les faire tourner comme un soleil
Ce soir la femme du torero dormira sur ses deux oreilles
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
J'en ai poursuivi des fantômes
Presque touché leurs ballerines
Ils ont frappé fort dans mon cou pour que je m'incline
Ils sortent d'où ces acrobates
Avec leurs costumes de papier?
J'ai jamais appris à me battre contre des poupées
Sentir le sable
Sous ma tête, c'est fou comme ça peut faire du bien
J'ai prié pour que tout s'arrête
Andalousie, je me souviens
Je les entends rire comme je râle et je les vois
Danser comme je succombe
Je pensais pas qu'on puisse autant
S'amuser autour d'une tombe
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
Si, si hombre, hombre
Baila, baila
Hay que bailar de nuevo
Y mataremos otros
Otras vidas, otros toros
Y mataremos otros
Venga, venga a bailar
Y mataremos otros
Venga, venga a bailar
Venga, venga a bailar
J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante
Au bout du couloir
Quelqu'un a touché le verrou
Et j'ai plongé vers le grand jour
J'ai vu des fanfares, des barrières
Et des gens autour
Dans les premiers moments
J'ai cru qu'il fallait seulement se défendre
Mais cette place est sans issue, je commence à comprendre
Ils ont refermé derrière moi
Ils ont eu peur que je recule
Je vais bien finir par l'avoir
Cette danseuse ridicule
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
Andalousie, je me souviens, les prairies bordées de cactus
Je ne vais pas trembler devant ce pantin, ce minus!
Je vais l'attraper, lui et son chapeau
Les faire tourner comme un soleil
Ce soir la femme du torero dormira sur ses deux oreilles
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
J'en ai poursuivi des fantômes
Presque touché leurs ballerines
Ils ont frappé fort dans mon cou pour que je m'incline
Ils sortent d'où ces acrobates
Avec leurs costumes de papier?
J'ai jamais appris à me battre contre des poupées
Sentir le sable
Sous ma tête, c'est fou comme ça peut faire du bien
J'ai prié pour que tout s'arrête
Andalousie, je me souviens
Je les entends rire comme je râle et je les vois
Danser comme je succombe
Je pensais pas qu'on puisse autant
S'amuser autour d'une tombe
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
Si, si hombre, hombre
Baila, baila
Hay que bailar de nuevo
Y mataremos otros
Otras vidas, otros toros
Y mataremos otros
Venga, venga a bailar
Y mataremos otros
Venga, venga a bailar
Venga, venga a bailar
Le 24 avril 2022 à 02:15:32 :
[02:14:37] <Cabrellesang>
Dieu
Très bon choix mi amor
Parole de cuck, musique de cocu
Bon, ben
J'crois que vous connaissez tout le monde, hein?
Mais si!
De ce côté-ci vous connaissez tout le monde
Effectivement, de ce côté-ci
Oh! Pardon
Sa seigneurie Bernard Paganotti
Monsieur Bernard Paganotti!
Monsieur René Lebhar
Monsieur Denys Lable
Qu'est-ce-qui se passe?
Qu'est-ce-qui se passe?
D'abord vos corps qui se séparent
T'es seule dans la lumière des phares
Et t'entends à chaque fois que tu respires
Comme un bout de tissu qui se déchire
Et ça continue (encore et encore!)
C'est que le début (d'accord, d'accord!) voilà
L'instant d'après le vent se déchaîne
Les heures s'allongent comme des semaines
Et tu te retrouves seule assise par terre
À bondir à chaque bruit de portière, mais
Ça continue (encore et encore!)
C'est que le début (d'accord, d'accord!)
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant
La même nuit que la nuit d'avant
Les mêmes endroits deux fois trop grands
T'avances comme dans des couloirs
Tu t'arranges pour éviter les miroirs
Mais ça continue encore et encore
C'est que le début d'accord, d'accord
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant, personne
Faudrait que t'arrives à en parler au passé
Faudrait que t'arrives à ne plus penser à ça
Faudrait que tu l'oublies à longueur de journée
Dis-toi qu'il est de l'autre côté du pôle
Dis-toi surtout qu'il ne reviendra pas
Et ça te fait marrer les oiseaux qui s'envolent
Les oiseaux qui s'envolent
Les oiseaux qui s'envolent
Tu comptes les chances qu'il te reste
Un peu de son parfum sur ta veste
Tu avais dû confondre les lumières
D'une étoile et d'un réverbère
Ça continue (encore et encore!)
C'est que le début (d'accord, d'accord!)
Mais, ça continue (encore et encore!)
C'est que le début (d'accord, d'accord!)
D'accord, d'accord, d'accord, d'accord
Y a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant
Personne
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant
Personne, personne, personne, personne, personne, personne
Personne!
Personne!
Le 24 avril 2022 à 02:17:45 :
Parole de cuck, musique de cocu
Petit pulco
Toute les 23/50ans tu les pecho en 3 musiques avec le GOAT.
Ce mec est le meilleur de la chanson française. Qu'est-ce que j'en es embrasser et enlacés des femmes sur Cabrel
Données du topic
- Auteur
- Cabrellesang
- Date de création
- 24 avril 2022 à 02:09:50
- Nb. messages archivés
- 42
- Nb. messages JVC
- 42
En ligne sur JvArchive 98