Ces trois jeunes étudiantes en fleurs, dansantes, chantantes, frémissantes, s'entre caressant ; l'expression de la volupté du logos radical de la tradition primordiale du produire jouir humain authentique.
A l'intérieur de ce petit salon d'étudiante de 15m2, j'ose imaginer les effluves, les odeurs dans ce tourbillon de joie ; le lâcher prise, laissant l'expression animale de ces êtres si voluptueuses. Elles se cherchent, se défient, se testent, hésitent, se repoussent s'attirent, se caressent, se griffent, se mordillent, se pourlèchent ; tantôt hésitantes, tantôt mordantes ; d'une zone à l'autre, cherchant les endroits joyeux des corps. Cela va si vite...
Je ne sais pas si vous avez vu la même, je n'ai seulement celle qui fait 1m42 et ça coupe au moment où la blonde se fait déposséder de son string orgueilleusement par la petite châtain. Quelle paire de fesses incroyable... quelle douceur autoritaire qu'est cette croupe invitant à la création.