Le 28 novembre 2011, 20 Minutes publiait un article titré "Wikileaks: La diplomatie américaine très embarrassée". En voici trois extraits :
"Il est demandé aux diplomates américains de se procurer les données personnelles et même l'ADN de divers diplomates et dignitaires étrangers, dirigeants de l'Onu, militants d'ONG, à des fins de renseignement"
"Un mémo (...) demande que soient fournis listes d'emails, mot de passe internet et intranet, numéros de cartes de crédit, numéros de cartes de fidélité de compagnies aériennes, horaires de travail"
"D'autres documents montrent que des donateurs saoudiens restent les principaux financiers d'organisations radicales comme Al-Qaida".
Nous apprenons aujourd'hui que "Julian Assange risque 175 ans de prison", "en vertu d’une législation contre l’espionnage", dans un pays souvent présenté comme "le leader du monde libre".