Elles font baisser les standards de qualité, détournent les hommes de leurs instincts guerriers, ne servent à rien, font tout de travers, sont tellement faibles physiquement qu'elles doivent faire moins et plus lentement que les hommes, reçoivent continuellement des traitements de faveurs, gauchisent le milieu, étudient par cœur pour vite monter en grade et se planquer, sont continuellement frustrées, séduisent et s'offrent aux naïfs pour les parasiter.
Un simple exemple : le test de course à pied.
La distance est super courte et les barèmes ne sont déjà pas bien haut, pourtant elles peuvent faire deux minutes en plus pour réussir.
Même là, la plupart échouent puis réussissent miraculeusement aux rattrapages ou en commission.
D'ailleurs c'est toujours le même profil : des moches fainéantes et grasses, parfois lesbiennes, qui baisent la moitié du régiment puis se rangent après quelques années pour pondre des enfants avec un officier Célestin naïf et finir en congé maladie ou dans un bureau à se plaindre jusqu'à leur retraite.
C’est caractéristique du besoin des femmes d’investir un espace masculin pour le détourner de sa fonction afin d’assouvir leur hypergamie.