Schopenhauer, Kafka, et Ionesco (oui, Ionesco, ce dépressif latent qui m'a montré à quel point l'absurde pouvait devenir une farce, voire une oeuvre d'art, comme du Lewis Carroll affranchi de toute entrave... Quelle libération ! ce jour j'ai su qu'on pouvait être spirituel et outrancier, et que non seulement cela était possible, mais que cela était la clef ! )
Tous leurs livres sont éclairants
Lautréamont, aussi, pour la vie qui palpite à chacune de ses pages, sa volonté de vivre qui hurle encore après 150 ans, lui qui n'a jamais été qu'un autiste asocial qui se réfugiait dans des provocations faciles, et qui n'a jamais vécu en dehors de ses lignes.