Et je ne parle pas de médicaments !
Cette jalousie est très pour très exécrables. L'image s'enseule dans le bourbier de l'émotion du malheur. C'est du croûton de pain de l'enfance qui chie l'incompétence à penser.
Le combat est entre ces 1 millièmes d'imbéciles profond et sera 2,5% des phénix de l'intelligence. Faut-il ramener l'esclavage ? Je suis tristement pour, mais cela va totalement contre mes convictions et mes croyances.
L'inépuisable soif de haine de la mauvaise caricature de l'existence prendra fin avec les décennies - peut-être même les siècles - à venir.
Mais plus qu'un combat, il s'agit là du témoignage de la grandeur de l'amour. Oui ! Il faut des esclaves ! Je suis fermement contre !
Mais esclaves, ils le sont. Soyez bon, et vous serez aimé. Soyez juste, et vous serez respectés. Ces gens-là, du l'irmoire de l'aile de Brel... fabrique le mal en soi.
QUE FAIRE ! JE VOUS LE DEMANDE !
Ah... et puis, le seul vrai gouleau est l'indépendance du pouvoir, c'est-à-dire... QU'ILS SONT INSIGNIFIANTS !!
Mais ils ont peur, et je pleurs... et la ville s'endormait.