Prologue- Mon histoire fantaisie/fantastique
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En 537, une bataille eut lieu, camlann. Ce fut la défaite du druide Myrddin et du Roi Arthur. Le jour où tout a basculé.
Un homme aux mèches blondes portant une couronne siégeait sur un trône. Il portait une fourrure ornée d'une teinture rouge. Il avait de lourdes bottes en cuir et portait un pantalon fait d'un tissu gris.
Une personne arriva en ouvrant brusquement la grosse porte. Il avança maladroitement en direction du trône, le beau tapi rouge fut taché par de la boue.
Le chevalier mit un genou à terre et dit : « Votre majesté Pendragon, je suis Robin, fils de Edwin le vaillant, Comte de Galles. Nous avons observé des mouvements du côté de l'Irlande, il semblerait qu'ils aient recruté des démons, des elfes, des géants, des fées et des nains. Qu'allons-nous faire ?"
Le roi se mordit la lèvre : « Que fait Myrddin ? Est-il toujours absent ? Si l'Irlande à des alliés de toutes ces races, nous risquons beaucoup avec notre armée actuelle. Surtout depuis que Guenièvre, Mordred et Lancelot ont trahi. Ils n'ont pas mis longtemps avant de réagir.
Faisons appel à nos alliés ! Owen, mettez 5 soldats à la recherche de Myrddin, sa folie dure depuis trop longtemps. »
Le messager du nom de Owen, alla distribuer les ordres aux chevaliers disponibles.
Il passa cette grande porte. Un grand couloir se dessina devant lui, il se dépêcha en se faufilant entre les personnes. C'est alors qu'il prit une porte à droite, il descendit un escalier en colimaçon. Il continua son chemin et tomba sur Gaius, le médecin de la cour. Il salua Gaius qui recoiffait ses cheveux blancs.
Il continua en empruntant un large escalier avec Gaius. Une grande cour intérieure se révéla, ils descendirent l'une des quatre entrées principales. Celle-ci se trouvait au milieu. Il prit l'aile nord du château, et salua Gaius de la main.
Il arriva alors à une partie du château où les militaires n'avaient pas de plastron, la plupart portaient des cottes de mailles ou étaient revêtus d'une tunique. Des cris se faisaient entendre de toute part. Certains faisaient plus de bruit que les autres, installés sur quelques tables. Ils tenaient des cartes, ils échangeaient de grosses sommes d'argent entre eux. Un homme pleurait et tapait du poing, il était en sous vêtement.
Tout cet entrain s'arrêta brusquement, les chevaliers froncèrent les sourcils vers le messager. Il demanda de l'écouter attentivement, le concerné ajouta qu'il fallait des volontaires pour ramener Myrddin.
Soudain, les chevaliers lui jetèrent de la bière, ainsi que des assiettes en bois. Le messager se retrouva empestant la bière et pleins d'hématomes.
Il se mit à hausser la voix, leur disant qu'il rapporterait cela au roi.
Les individus qui furent désignés étaient Jules la chèvre, Albert le brave, Alphonse d'acier, Jean le trouillard et tom de l'Arduinna Silva furent choisis pour ramener Myrddin.
Les chevaliers retournèrent à leurs occupations, quatre personnes quittèrent la pièce en silence. Dans le couloir, un chevalier aux cheveux blonds prit la parole : « Pourquoi doit-on aller chercher ce fou ? Et avec vous, surtout avec Jean, ce traitre. Tu devrais être expulsé du Royaume. Tout ça, c'est à cause de Myrddin. En plus, Jules, dégage ! Sale paysan ! »
Un autre chevalier réagit : « Alphonse Acier, tu ne sais pas ce que cela fait d'être abandonné par ses parents, non ? Je viens de la campagne mais je sers notre roi comme toi. Je suis un chevalier de Gamelot. »
- Un chevalier, laisse-moi rire. Tu te bats avec quoi ? Des chèvres. Ton épée faite en quoi ? en bois ? Tu as une armure rouillée édition paysan.
En sortant, un petit roux s'exclama sur l'intolérance d'Alphonse et lui réclama des excuses pour Jules et Jean. Il tira la langue puis demanda où était Albert, s'il était son petit frère.
La dernière personne, marchant dernière leur dit d'arrêter et de faire la paix.
Une écurie se présenta, il y avait une dizaine de chevaux. Jean alla vers un cheval au pelage gris, sur un panneau était marqué le nom de Jolly. Il ouvra le box, mit l'équipement. Quant à Tom, il se rua sur son cheval noir, gravé sur le bois « Canine ». Jules en avait un d'un pelage brun, déjà sellé, Epona, c'était son nom. Les deux autres passèrent une porte et six chevaux au poil étincelant se dressaient devant eux. Au sol, deux personnes dormaient ensuite Alphonse les cogna. Ils gémissement, puis mirent expressément l'équipement. Un d'entre eux donna un poney, Sam à Albert. Il se courba et parti. Le cheval de Alphonse était massif, son pelage blanc contrastait avec le noir de sa selle. Il lui dit : « Merci bouffon ! Donne-moi Armin dit-il en lui crachant dessus.
Le groupe était réuni devant un énorme pont levis, ils traversèrent cette arche en pierre. Tous munis d'une sacoche et d'un sac, s'éloignèrent de Gamelot pour chercher Myrddin qui se trouvait à Brocéliande.
Ils progressèrent durant des jours et des jours parcourant les grandes plaines d'Albion, battant les bandits sur leur route. Un soir, la troupe fit une halte dans la clairière d'une forêt.
Tom s'occupait de rassembler des brindilles et de l'herbe sèche, il prit un bâton et le frotta de nombreuses minutes et une petite flamme apparu puis il souffla. Un grand feu éclaira ses compagnons dormant et Jules qui découpait des lapins en morceau. Tom mit une marmite sur le feu , une fois l'eau bouilli, jules y mit ses morceaux.
Tom demanda comment appréhendait-il Myrddin.
- J'ai peur, comme tout le monde, je suppose. Tu sais, cela fait 5 ans que je suis à Gamelot. A chaque fois que j'ai croisée Myrddin, Je ne savais jamais ce qu'il pensait. Il ne m'inspirait pas confiance et j'ai toujours le même avis. Un froid glacial l'accompagne.
- Que veux tu dire ? Je l'ai rencontré, avant cette histoire. C'était dans la forêt la plus dangereuse que je connaisse, l'arduinna Silva. J'ai vécu là-bas jusqu'à mes 20 ans. Je n'avais jamais vu le bout de cet endroit avant que Myrddin me montre le chemin, qu'il me trouve au milieu de ce cauchemar Il est mon sauveur, il m'a sauvé des abominations de cette forêt, ramené ici. Je lui dois tout. Quelquefois, je voyais quelque chose dans ses yeux, une sorte de culpabilité. Ce n'est pas mon problème.
- Comment ça ?
- Je te l'ai dit, ce n'est plus mon problème, plus jamais.
- Jean, Albert et Alphonse réveillez-vous, on mange !
- Que mange-t-on ?
- Encore un truc de paysan ! je ne mangerais pas vos trucs un jour de plus, je ne tiens pas à attraper vos saloperies dit le blond en se relevant péniblement. J'arrête de manger jusqu'au retour au château.
- Tu es vraiment ridicule fit le roux en commençant à manger.
- Où va-t-on demain ? Tom ?
- Jules, vois-tu, nous galopons à travers Albion depuis 2 jours. Si mes calculs sont corrects, nous arriverons demain au port de Sutton pool
Le lendemain comme prévu, ils arrivèrent à Sutton Pool.
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Données du topic
- Auteur
- masterium
- Date de création
- 4 avril 2022 à 21:31:47
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