Mais de quoi s’agit-il alors exactement ? « Par exemple, participer à des ateliers dans lesquels on peut faire un bilan personnalisé – cela peut permettre d’identifier les freins à l’emploi, comme des problèmes de santé, et de proposer une prestation. Ou bien aider à faire un CV et apprendre à se présenter devant un employeur. Ou encore découvrir des métiers grâce à des immersions en entreprise, puis, financer une formation professionnelle. » Il ne serait pas question de travailler en contrepartie d’une allocation.
D’ailleurs, elle a précisé que la proposition de Macron sur le RSA « ne concerne pas les personnes qui font face à de graves problèmes de santé ou d’addiction, à des problèmes psychiques, à des difficultés de garde d’enfants ».
Dommage le Golem Macroniste