Fin avril 1945, un suicide collectif en Allemagne fait 1000 morts

à 150 km au nord de Berlin, alors que les soviétiques approchent, 1000 personnes décident de se donner la mort à Demmin. C'est le plus grand suicide collectif de l'histoire allemande

La plupart des morts sont des femmes et leurs enfants, qui, pour la majorité, se sont volontairement noyés dans la rivière. On raconte qu'on ne voyait presque plus l'eau de la rivière, tellement il y avait de corps.

Le désespoir des habitants, abandonnés par les militaires et policiers, qui viennent de fuir la ville à l'approche des soviétiques, mais aussi la propagande nazie "Victoria aut mors", et l'extrême violence déployée par l'armée rouge, les ont amené à se suicider en masse.

Le 24 mars 2022 à 22:06:45 :
J'ai jamais compris comment on peut se noyer volontairement, le reflexe de survie t'oblige pas a ressortir la tete ?

Ils ne savaient pas nager probablement, je sais pas

Le 24 mars 2022 à 22:07:56 :

Le 24 mars 2022 à 22:06:45 :
J'ai jamais compris comment on peut se noyer volontairement, le reflexe de survie t'oblige pas a ressortir la tete ?

Ils ne savaient pas nager probablement, je sais pas

Le courant t'emporte, tu sors la tete mais finalement tu t'epuises...

Le 24 mars 2022 à 22:06:45 :
J'ai jamais compris comment on peut se noyer volontairement, le reflexe de survie t'oblige pas a ressortir la tete ?

Suffit d’accrocher un truc à ton pied non ?

Le 24 mars 2022 à 22:24:02 :
Les gosse ce suicide aussi ? C'est une blague ?

les mères les tuaient avant de se donner la mort

Pourtant tout avait "bien" commencé lors de l'entrée des soviétiques dans la ville. Ils avaient rencontré peu de résistance, et avaient sécurisé la ville. Le plus dur semblait derrière. Puis la nuit venue, et on ne sait pas précisément pour quelles raisons, les soldats russes se sont adonnés à des actes barbares envers les habitants (et surtout les habitantes).

La ville est alors en feu, littéralement. Les maisons brûlent, les gens se cachent. Il semblerait que les soldats aient bu beaucoup d'alcool dans la soirée. Puis il y aurait eu des actes de résistance de la part de la population à la nuit tombée (deux officiers auraient été empoisonnés par le pharmacien de la ville, mais aucune preuve…).

L'instabilité psychologique des soldats en seraient aussi pour quelque chose (peur d'être tué à tout moment). Leur violence n'était pas préméditée, mais elle s'est déployée selon les circonstances. Les archives et témoignages montrent certains soldats pris de pitié pour certains habitants.