Pour les Corses Yvan Colonna est innocent.
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"Je n'ai jamais tué personne, je n'ai jamais pensé tuer quelqu'un, je n'ai jamais imaginé participer au meurtre de quelqu'un. [...] Je vous demande tout simplement de me croire, parce que c'est la vérité. [...] Je suis innocent."
Yvan #Colonna, Cour d'assises, juin 2011.
Et on le croit.
Emprisonné toutes ces années sans la preuve que ce soit lui...
Pendant ce temps les pédos sont dehors
La France
jubillar aussi est emprisonné sans preuve
vous vous rendez compte qu'on interdit la diffamation mais que la justice diffame jubillar et colonna??
Le témoin qui a vu l'assassinat du préfet Erignac
Aucune empreinte, aucune trace d’ADN, aucune image de vidéosurveillance ne démontraient la présence d’Yvan Colonna sur les lieux. Ajoutons à cela des témoins qui ne reconnaissaient pas l’accusé... Près de vingt personnes ont été témoins du crime. Pas un ne reconnait Colonna. Ainsi Jean Pierre Versini, un enseignant de 61 ans, décrit les membres du commando avec précision, le premier, « longiligne », et le second « grassouillet ». « En tout cas, pas du tout monsieur Colonna qui ne cadre pas avec mon visuel ». Autre témoin, Joseph Colombani, haut fonctionnaire corse et ami de Claude Erignac, a expliqué aux jurés aux deux procès qui se sont succédés : « J’ai regardé Yvan Colonna ici même en 2007 et je n’ai pas eu le déclic. Je le regarde aujourd’hui, et je n’ai pas de déclic. » « J’ai eu le temps de le regarder et je suis sûre et certaine, ce n’est pas lui », assure quant à elle Marie-Ange Contard, croupière de casino et passagère d’une voiture qui circulait, le soir du crime, aux abords du lieu de l’exécution.
Ce sont les listings d’appel téléphonique des portables des membres du commando présents sur les lieux du crime, qui ont permis de les confondre peu après leur arrestation. Seul hic, Yvan Colonna ne possédait pas de portable. Il n’existe, dans ces conditions, aucune preuve matérielle de sa présence sur les lieux.
Et pourtant, la cour d’assises spéciale aggrave la peine prononcée en première instance en prononçant la période de sûreté maximale.
Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, n’avait pas hésité à déclarer en 2003, lors de l’arrestation d’Yvan Colonna : « La police française vient d’arrèter … l’assassin du Préfet Erignac ».
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- Sergent_Reznov
- Date de création
- 22 mars 2022 à 18:11:28
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