Mon braquemard ils ont beau dire

Quand je ramène une bonne femme chez moi, je me fends la gueule tu peux même pas imaginer. Je sais exactement ce qu'il va se passer. Ni une ni deux, je trimballe ma biche jusqu'à ma piaule pour lui faire sauter le soutif comme un souillon et m'attaquer aux choses sérieuses : la chignole

Quand il s'agit de planter le javelot dans la moquette, là, je ne déconne pas. Bienvenue, tu es ici dans mon domaine, le braquemard de 12. Le genre de chibrax qui fait hurler les gonzesses et pester les voisins. Mon gland touche sol dès que je chope une demi-molle. Crois-moi que quand je pisses dans mes chiottes le matin je tâte la température de l'eau avant pour être sûr de pas me geler le casque.

Et puis là, quand je dezip ma braguette et que je tombe mon slibard, je laisse alors pendre un long et large gourdin des plus rustiques, lancinant de tout son poids, sans déconner faut le voir pour le croire.

J'ai un de ces mastard, une lourde queue que je manie difficilement de mes deux mains. Mon chibre à des veines semblables à celles d'un cou de taureau, et quand mon engin se gonfle de sang, les 3/4 des bellettes qui voient ça tombent instantanément dans les pommes. J'ose pas trop me la péter et le gueuler sur tous les toits d'habitude de peur que tout ce qui possède un vagin dans les 50 bornes à la ronde se mettent à trembler des genoux.

Quand je pilonne c'est un spectacle, les draps s'en souviennent et la rombière qui encaisse les coups de boutoir se doit d'avoir des hanches en adamentium sinon, elle est bonne pour demander à la sécu des genoux en plastiques.

Tartiner, c'est une besogne sérieuse. Et mon chibrax du cosmos l'a bien compris. Je remercie chaque jour le ciel de m'avoir doté d'un bras d'enfant capable faire gueuler les bobones comme des poissonnières un jour de bonne pêche.

Moi, mon baobab, quand il s'agit de soulever, il est là, ils auront beau dire, c'est la vérité.