Quel plaisir, quelle relaxation.
En général, je n'ai pas à scroller bien longtemps, pour tomber sur un masturbateur poussif, qui fait son œuvre dans un clair-obscur digne du grand Caravage.
Alors, ni une, ni deux... j'enfile mon casque, tandis qu'il enfile sa main droite, même si j'ai déjà vu des gauches...
Et j'entreprends alors de réviser, ou d'écrire mon travail. Le son des frottements péniens, couplés à la respiration saccadée des masturbins qui suent me détend, et m'aide à me concentrer. Ils sont là, dans mes oreilles, tels un ASMR ou une musique mise en fond.
Combien de travaux ai-je terminé en même temps qu'eux, finissaient leur frénétique besogne ? Je ne saurais le dire. Parfois, j'attends qu'ils atteignent le nirvana pour poser mon point final. Parfois, je m'y refuse, comme un edging insolent dont moi seul ai le secret...
Omegle, merci pour tout.